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Hommage à Bernard de Montréal
13 avril 2016

Le doute - se libérer de la forme

Bernard de Montréal

Transcription conférence 012
(Bernard de Montréal - Glenn Richard)

 

Le doute - se libérer de la forme.

 

Richard Glenn :
Vous touchez de très, très près, le phénomène psychologique des êtres humains, la psychologie de l’être humain, et dans la psychologie humaine il y a des bons côtés, puis des côtés peut-être à laisser tomber, dans ces côtés à laisser tomber, il y a celui de ce que l’on pourrait appeler : le doute.
On doute : on écoute un ruisseau, si on ne le voit pas, on n’est peut-être pas sûr que c’est un ruisseau qu’on entend, on écoute le vent dans les feuilles des arbres, si on ne les voient pas, c’est peut-être d’autres choses, on écoute quelqu’un qui parle d’une façon limpide de choses qu’on ne voit pas, mais là on doute, de cette personne et on doute aussi de ce qu’elle nous transmet.
J’aimerai qu’au départ, Bernard, tu nous orientes sur ce qu’est le doute sur le plan psychologique de l’être humain, et ce qu’est le doute, perçu sur d’autres plans.

Bernard de Montréal :
Le doute c’est une des formes les plus primitives de l’être humain, une des formes mentales les plus primitives de l’être humain. Le doute c’est une force, c’est une vibration, qui s’enregistre dans le mental humain, qui peut être amplifiée par les émotions humaines et qui empêchent l’être humain d’être ce que j’appelle : centrique.

Un être humain qui est centrique, c’est un être humain qui peut faire tout ce qu’il doit faire, (Bdm répète) c’est un humain qui peut faire tout ce qu’il doit faire… Faire ce qu’on doit faire, c’est être capable de transmettre sur le plan matériel, en relation avec la faculté mentale, la faculté physique, la faculté émotive, l’énergie que l’on a en soi.

Le moindre doute, diminue cette énergie.
Le doute fait partie de la personnalité.
Le doute fait partie du conditionnement social, culturel.
Le doute fait partie du fait, que l’être humain est incapable de savoir totalement et parfaitement, par lui-même.

Il est obligé toujours de faire référence à… ce que la société à dit, ce que les organismes ont dit, ce que les grands systèmes philosophiques ont dit, autrement dit, l’être humain n’a pas de centricité, et ce manque de centricité là, est à la base même, de son incapacité de travailler mentalement, intelligemment, avec les Forces qui peuplent les Plans Invisibles et qui dirigent l’évolution de l’être humain.

De sorte que son doute retarde son évolution, l’empêche d’être capable de se manifester lui-même dans son potentiel réel, retarde son pouvoir actif dans la société, parce que lui-même dans le doute est incapable de saisir la valeur intrinsèque de toute action, et le doute va créer éventuellement la crainte dans l’action, qui va mettre terme à une activité, qu’il sera obligé de vivre dans un autre temps, dans d’autres conditions, et dans un autre médium.

Le doute, c’est lié à la crainte… quand je dis aux gens : -« Qu’on ne doit pas croire » c’est pour amener les gens à se centrer sur eux-mêmes, quand ils se sont centrés sur eux-mêmes, c’est pas facile, petit à petit le doute devient plus aiguisé, parce qu’ils deviennent eux-mêmes les juges de toutes les situations de vie, dans lesquelles ils sont. Alors, si un être humain dit telle chose, il dit telle chose, si un être humain émet telle idée, il émet telle idée, s’il a moindrement de doute, il va suer l’idée, il va il l’affaiblir et elle ne pourra pas se propager dans le temps.
Un être humain va faire quelque chose, ou va dire quelque chose, et un autre humain va le contrecarrer avec de puissants arguments, automatiquement l’être humain va douter, et là où l’on doute le plus, c’est dans le domaine de la spiritualité, là où l’on doute le plus, c’est dans le domaine où l’on est confronté avec la destruction des formes.

La destruction des formes est tellement importante dans l’évolution de l’être humain, que les humains ne le sauront, ne le comprendront, que lorsqu’ils seront arrivés au stage de la destruction de la forme. La destruction de la forme c’est occulte, ce n’est pas psychologique, ce n’est pas philosophique, ce n’est pas religieux, et surtout, ce n’est pas spirituel, alors un individu qui est dans la forme spirituelle ou dans la forme matérielle, et qui est confronté avec une idée qui provient de l’extérieur de la forme, automatiquement doute, parce que sa sécurité, qu’il trouve dans la forme spirituelle, ou dans la forme matérielle, est totalement mise de côté, totalement convoquée dans un mouvement de collision avec le néant total, le néant qui est plein, mais le néant de la Conscience Pure.

Dans la Conscience Pure il n’y a pas de doute, parce qu’il n’y a pas de question. Les gens doutent parce qu’ils ont des questions, les gens doutent parce qu’ils pensent : c’est normal de douter, mais les êtres humains qui éventuellement auront la capacité de mentaliser totalement ce qu’ils savent et de mentaliser leurs émotions et de réorganiser la matière émotive dans un instant, et amener cette matière émotive-là, à un niveau vibratoire mental, ces gens-là pourront un jour pénétrer dans ce que l’on peut appeler l’Ether, l’invisible. Mais un être humain qui a du doute, un être humain qui manque de centricité, ne peut pas entrer en contact avec ce plan d’énergie, parce qu’il s’attire automatiquement vers la matière dense.

Les gens ont des désirs spirituels, ils ont de grands désirs spirituels, les gens veulent atteindre des sommets, les gens veulent devenir des maîtres, les gens veulent devenir bons, les gens veulent devenir ci, ils veulent devenir ça… mais ses désirs là, qu’ont les gens de devenir ci ou ça, font partie de la forme dans laquelle baigne leur esprit, et c’est pourquoi il y a des écoles de différents types, qui permettent à l’être humain de gravir le sentier de l’évolution, d’une façon ou d’une autre, mais au bout du chemin, à la fin de cette pérégrination, il n’y a rien… et il y a tout.

Il n’y a rien parce que l’individu est confronté avec la Réalité, et la Réalité est impuissante, et quand je dis que la Réalité est impuissante, je dis ceci : c’est que dans la Réalité, il n’y a aucun effort, là où il y a un effort, il y a un désir, là où il y a un désir, il y a une énergie, et cette énergie-là, c’est énergie de la forme, et suivant la relation entre cette forme et une autre forme, on vit ce que l’on appelle le doute, et les gens qui souffrent le plus du doute, ce sont les gens qui sont les plus près en sensibilité, de vivre la dualité de leur esprit.

Alors, l’esprit est dualistique, il y a le bien, le mal, le bon, le mauvais, le haut, le bas, et tant que les humains pensent, tant qu’ils n’ont pas compris les Lois de l’Esprit, ils sont pris dans le combat qui peut durer pendant des années, et ce combat fait naître chez eux, l’expérience du doute, et le doute c’est une souffrance, et petit à petit, la forme qui crée le doute disparaît, disparaît, et disparaît et un jour, dans un certain temps, il n’y a plus de doute, mais à ce moment-là, l’individu ne pense plus… il sait. (Silence appuyé de BdM)

Que l’on vienne d’un coin du monde ou d’un autre, et que l’on rationalise ce qui est en dehors de la forme, cela ne change rien… cela fait partie de l’expérience de celui qui rationalise, le temps des grandes philosophies - je parle surtout dans les milieux ésotériques - le temps des grandes philosophies, des grands systèmes, des grands ci, des grands ça, tire à sa fin, c’est déjà commencé d’ailleurs, ça tire à sa fin.

La compréhension des Lois qui déterminent pourquoi l’être humain doute, est très importante, et ce n’est pas par la philosophie que vous allez détruire le doute, c’est par le développement interne de vos propres centres de gravité, et si je vais plus loin que ça, je dirais que le doute ne se détruit que par la souffrance interne, qui est causée par la dualité dans le mental de l’être humain.
Aucun être humain, ne peut échapper au doute, aucun.

Cela fait partie de la structure du mental, bon, quand il n’y a pas de combat, quand on n’est pas à la recherche de quelque chose, quand on ne compare pas entre le bien et le mal, quand on ne compare pas entre les Forces de la Lumière et les Forces des Ténèbres, quand on n’est pas pris dans ces problèmes humains, on ne vit pas le doute, si on s’occupe de vivre au niveau matérialiste le doute n’entre pas tellement en jeu, mais lorsque l’on commence à regarder les choses de la vie, d’un point de vue de l’esprit, où notre tête est en jeu - je ne parle pas de la tête physique, je parle de l’esprit - à ce moment-là, on commence à connaître le doute, et tous les humains doivent le vivre…( silence)

Ceux qui seront comptés - une expression que j’emploie pour expliquer qu’il y a un certain nombre d’êtres sur la planète matérielle aujourd’hui, qui un jour pourront passer naturellement, avec grande facilité, dans l’invisible - ces gens-là, n’auront plus de doute, et c’est quand on n’a plus de doute, que l’on peut changer vibratoirement le corps mental, le corps émotionnel, le corps éthérique et le corps physique, pour entrer en contact avec la Conscience Pure, parce que… que vous ayez des désirs de la connaissance, que vous ayez des désirs, n’importe quel désir, est une forme, n’importe lequel, n’importe lequel désir, est une forme.

Dans la Connaissance Pure il n’y a pas de forme, c’est simplement de l’énergie, la Connaissance Pure peut créer une forme pour se véhiculer, mais Elle, cette connaissance, cette énergie, cette Intelligence, Elle n’a pas de forme.

Alors Elle crée les formes nécessaires à l’évolution, des formes ont été créées voilà 4000 ans pour l’évolution de l’humanité, des formes ont été créées voilà 2000 ans ainsi de suite, et à un certain moment dans l’évolution de l’être humain, la destruction de la forme sera nécessaire pour qu’il puisse passer une fois pour toutes au stage de l’immortalité du corps matériel et de la compréhension totale, et je dis totale, des Lois de l’Univers.

Richard Glenn :
Les formes sécurisent l’être humain…

Bernard de Montréal :
Les formes sécurisent l’être humain…

Richard Glenn :
C’est que, l’être humain qui arrive au niveau de la Supra Conscience ou de la Conscience Totale, il s’aperçoit que les formes n’existent pas, il n’y a pas de forme…

Bernard de Montréal :
Non, il les crée.

Richard Glenn :
Alors, qu’est-ce qui peut sécuriser l’être humain en dehors des formes ?

Bernard de Montréal :
En dehors des formes il n’y a aucune sécurité, il n’y a aucune insécurité, il n’y a aucune dualité… si vous parlez de sécurité, vous devez parler insécurité, en dehors de la forme il n’y a rien… il y a tout… c’est la synthèse.

Richard Glenn :
Ça me semble paraître aussi à la fois l’anti-thèse donc, dans ce que vous venez de dire…

Bernard de Montréal :
C’est… comme… ce n’est pas une anti-thèse, c’est une synthèse, c’est une abolition de la dualité !

Richard Glenn :
L’être humain ne peut pas vivre sans sécurité…

Bernard de Montréal :
Je vais vous donner un exemple, si vous permettez : Prenez le phénomène de l’intelligence, quand les gens parlent d’intelligence, quand vous parlez d’intelligence, automatiquement vous associez l’intelligence, la faculté de l’intelligence avec la personnalité intelligente… mais ce n’est pas ça, de l’Intelligence…

Ce que l’on appelle sur le plan humain sur notre planète : intelligence, n’est qu’une réflection de ce qui est ordonné, il n’y a pas d’intelligence dans le Cosmos, il y a des rapports étroits entre différents niveaux d’énergie, et ces rapports étroits sont totalement harmonisés, le résultat de ce rapport étroit de vibrations produit lorsque l’énergie passe par un cerveau, ce que l’on appelle de l’intelligence, l’intelligence ça n’existe pas… telle que l’être humain la conçoit.

Nous avons un concept de l’intelligence, parce que nous sommes capables d’établir des valeurs comparatives entre une résultante de l’intelligence et une autre, nous pouvons établir des bases statistiques pour mesurer l’intelligence, mais… l’Intelligence, ce n’est pas ça. L’Intelligence c’est le rapport étroit qui existe entre différents niveaux de vibrations dans le Cosmos, et ça, c’est infini, c’est pour cela que la Connaissance est infinie, et il y a des êtres, qui sont réceptifs à ces vibrations, et automatiquement ces êtres représentent dans le Cosmos, l’Intelligence.
Ils représentent l’Intelligence ! Ils ne sont pas intelligents…

L’être humain ne sait pas comment penser, parce que lorsqu’il pense, il ne comprend pas ce qu’il pense, et s’il a l’impression de comprendre ce qu’il pense, il ne comprend pas encore ce qu’il comprend de penser. Il y beaucoup de personnes qui croient que quand je parle, je joue sur les mots, je ne joue pas sur les mots, je crée les formes nécessaires pour faire comprendre que dans les mots il y a des énergies, et ses énergies sont ce que vous appelez vous, l’intelligence, et le rapport vibratoire entre l’énergie dans une forme et l’énergie dans une autre créent une résultante qui sur le plan humain produit une philosophie ou une psychanalyse d’une situation. C’est pour cela qu’il est absolument essentiel pour moi, de n’avoir aucune mémoire, pourquoi j’aurai une mémoire ?

Quand je dis que je n’ai pas de mémoire, cela ne veut pas dire que je ne peux pas me rappeler de certaines choses, cela veut dire que je ne peux pas, à volonté, suivant le désir de mon Ego, de me rappeler telle ou telle chose, soit que l’énergie passe et c’est fini ou soit qu’elle passe et qu’elle revienne.

L’être humain pense tout à l’envers, et la forme est tellement développée du monde à l’envers, que lorsqu’on dit aux gens : « - c’est comme ça », à ce moment là ils nous prennent pour un type qui… C’est pour ça que la découverte de l’être humain de l’avenir, ce que l’on peut appeler l’être humain nouveau, la découverte de l’être humain nouveau par l’humain ancien sera très belle, et à un certain moment l’être humain nouveau sera obligé - pas pour des raisons psychologiques, mais pour des raisons vibratoires - de s’isoler complètement de l’humain ancien, parce qu’il n’aura plus, l’être humain nouveau, à vivre de l’expérience psychologique, liée à la connaissance qu’a l’humain ancien de la vertu de l’intelligence. Les scientifiques veulent étudier les phénomènes ovni avec les paramètres de la science qu’ils possèdent aujourd’hui, mais ils ne sont pas prêts à admettre, les scientistes - parce que automatiquement, ils prêchent contre leur paroisse - que la nature de l’Intelligence, ses paramètres cachés, sont infiniment plus vastes, et infiniment plus simples que ça ne leur apparaît à première vue.

Quand je dis que mon travail consiste, - on m’a déjà demandé si j’avais une mission - je n’ai pas de mission, je sais ce que je fais, et mon travail consiste à faire comprendre aux gens qui veulent comprendre que : d’abord, il n’y a rien à comprendre ! (amusements dans la salle) et ensuite, petit à petit, petit à petit, je les amène à comprendre qu’il y a quelque chose à saisir… et ensuite, je les amène à réaliser que dans ce qu’ils saisissent : il y a de l’Intelligence !

Et lorsque leur personnalité commence à travailler avec cette intelligence qui se développe, et se développe et se développe, à ce moment-là, ils commencent à comprendre que dans la Vie, il n’y a pas de hasard, que dans la Vie tout se comprend, que dans la Vie tout se situe, que dans la Vie il n’y a rien de sérieux, que toutes les formes que nous construisons pour nous protéger psychologiquement au niveau de nos personnalités sont des balounes. (Ballons en québécois) Mais nous craignons de crever ces balounes, parce que nous sommes nous-mêmes, une baloune, et nous ne voulons pas admettre que nous sommes des balounes, c’est normal.

Mais, dans certaines circonstances précises, où des gens sont confrontés avec des gens qui ne sont pas dans la forme, automatiquement ces gens sont forcés de réaliser que pendant des années, ils étaient des balounes, et à partir de ce moment-là, la baloune commence à se dessouffler, (dégonfler) et c’est là que les gens commencent à comprendre qu’il y a des illusions à tous les niveaux dans notre expérience, à tous les niveaux !

C’est infini les illusions, sur tous les plans, et que pour en arriver à être totalement libres de ces formes illusoires, avant de pouvoir en créer d’autres, il faut faire un certain acheminement, ça ne se fait pas d’un jour à l’autre… à moins qu’on soit… qu’on ait l’expérience d’une fusion, mais dans le cours normal des choses, ça se fait petit à petit.
Alors le doute est lié à tout ça, le doute est lié à toutes ces formes qui nous tirent à gauche et à droite, qui créent la crainte, et quand un être humain craint, il ne peut rien.

Richard Glenn :
Donc c’est parce qu’on ne maîtrise pas les formes, mais l’être qui maîtrise les formes, n’est-il pas lui-même une forme ?

Bernard de Montréal :
Oui… quand vous dites l’être, il faut comprendre, d’abord un être qui est en dehors de la forme, est totalement isolé de lui-même

Richard Glenn :
Vous disiez tantôt que l’être extraterrestre qui veut faire un ovni, d’abord le conçoit mentalement, puis il descend les vibrations dans la matière…

Bernard de Montréal :
Il le crée

Richard Glenn :
Mais lui-même, il est forme…

Bernard de Montréal :
Il est forme. Je ne dis pas que les formes… l’Univers est une forme, il y a des formes à tous les niveaux, bon, mais ce que je dis, c’est que pour créer des formes, pour créer, pour matérialiser une chose, la descendre dans la matière, il faut être soi-même en dehors de la forme, c’est une Loi d’énergie.

Il faut que l’être soit totalement dans la Conscience Pure pour pouvoir avoir le pouvoir de discerner s’il doit faire telle chose ou telle chose.
Une fois qu’il discerne qu’il doit faire telle chose, et qu’il sait que cette chose va se propager dans le temps pendant des années ou des siècles, il le fait, mais il le fait parce qu’il le sait : il connaît les Lois de l’action, et comme il connaît les Lois de l’action, il a le droit à la propulsion dans le temps de la forme.

Richard Glenn :
La pluralité de ces êtres, c’est une réalité aussi… il en existe plusieurs êtres qui conçoivent des formes et qui les créent

Bernard de Montréal :
Oui, oui, oui, exactement mais ces êtres sont des millions et sont sur des plans où ils sont invisibles à l’être humain.
Il y a une raison, et c’est une raison très importante … pourquoi un être préfèrerait-il l’invisible à la matière ? Parce que justement, sur ces plans, il y a de l’harmonie, tandis que sur un plan matériel, il n’y a pas d’harmonie là où il y a de l’inconscience, il peut y avoir de l’harmonie sur une planète matérielle là où il y a de la conscience, mais sur la planète matérielle physique il n’y a pas d’harmonie.

Richard Glenn :
Celle là ?

Bernard de Montréal :
Oui… il n’y a pas d’harmonie ! Alors un être humain qui est centrique, sait ce dont il a besoin, il sait le genre de calme dont il a besoin, il sait le genre d’environnement dont il a besoin, il sait ce dont il a besoin, où il va le trouver sur la planète ?
Il est automatiquement obligé de changer de plan pour trouver ce rayonnement de lui-même dans un Ether qui est différent, et là où il peut au moins communiquer, parler, pas avec des mots, mais parler, communiquer avec des êtres qui le comprennent.

Richard Glenn :
Il y a des êtres qui naissent en trop sur cette Planète, et puisque nous sommes dessus, sur la Planète Bleue, ne naissent pas tous dans les mêmes environnements, avec les mêmes nourritures à leur portée, avec la même température dans leur environnement, alors, est-ce qu’il existe une Loi Universelle pour tous ces êtres ou est-ce qu’il y a déjà une pluralité qui se manifeste sur la Terre, une pluralité qui sera inconciliable ?

Bernard de Montréal :
Il y a une pluralité qui sera irréconciliable avec le taux de vibrations de la conscience humaine de la 5ème race. Et c’est justement lorsque ces individus, parce que ce sont tous des individus, ce n’est pas un groupe là, ce sont des individus qui viennent de l’Asie, de l’Amérique du Sud qui à un certain moment lorsqu’ils auront atteint le point de concentration d’énergie qui leur permettra d’entrer en contact avec d’autres intelligences, de voir dans l’invisible, ces gens-là se rencontreront, ils se rencontreront avec une très grande facilité, et à ce moment-là ils iront là où ils veulent, là où ils doivent aller et l’humanité continuera son chemin.

Richard Glenn :
On parle de 5ème race, de 6ème race en ésotérisme, est-ce que la référence que l’on pourrait faire avec les différentes races qui existent sur la Terre, les jaunes, les blancs, les rouges, les noirs, est-ce que cette… allusion aux races, est semblable sur le plan énergétique, sur le plan vibratoire ? C’est-à-dire, est-ce que chacune des races vibrant de façon différente manifeste aussi l’intelligence de façon différente ?
Et j’en reviens encore à dire : inconciliable.

Bernard de Montréal :
Chaque race matérielle représente une vibration.
La 6ème race, sera une race à la fois matérielle et à la fois immatérielle. Elle aura le pouvoir double, de substituer la matière environnante à la matière cachée.

Richard Glenn :
Y a t-il eu des gens de la 6ème race sur la Terre ?

Bernard de Montréal :
Pardon ?

Richard Glenn :
Y a t-il eu des gens de la 6ème race sur la Terre ?

Bernard de Montréal :
…. c’est à dire qu’il y a eu des gens qui le plan vibratoire en tant qu’individu représentait l’être humain nouveau, parce qu’une fois qu’on parle de l’humain nouveau – on parle de l’humain nouveau parce qu’il y a l’ancien - mais il y a des êtres humains depuis des siècles qui ont le pouvoir de pénétrer dans d’autres zones, mais ça ne s’est jamais fait d’une façon globale, ça s’est fait d’une façon individuelle, tandis qu’aujourd’hui avec le temps qui vient, il y aura la formation d’une conscience unitaire, et cette conscience unitaire là sera faite d’un certain nombre d’individus qui n’auront aucune responsabilité les uns envers les autres, parce qu’ils seront tous dans la Conscience Totale, alors chacun fait ce qu’il doit faire, mais comme tout est fait d’une façon harmonieuse, les liens entre ces individus-là sont des liens de race, mais de race mentale.

Richard Glenn :
Et, est-ce que c’est pour cette raison qu’il y a eu des races disons privilégiées, je pense aux juifs, je pense aux Aryens, je pense à des sous races si on veut...

Bernard de Montréal :
Il y a eu des races privilégiées parce que les races… ce que vous appelez des races privilégiées, ce sont des races qui ont été initiées à des connaissances occultes, et le fait que ces races aient été initiées à des connaissances occultes, la kabbale juive est un exemple, leur donnait sur les races environnantes, les groupes environnants, les ethnies environnantes, leur donnait une prédisposition à aller dans une direction autre que les autres.

Richard Glenn :
Se peut-il qu’on vive la même chose au niveau de la race… québécoise ?

Bernard de Montréal :
Il ne faut pas tomber dans le culte de la personnalité nationale : c’est une autre forme…
(Long silence) Il y a… qu’il y ait à Québec effectivement une conscience ésotérique naissante, très puissante, et que cette conscience soit extrêmement fertile, à cause de l’histoire de Québec, à cause des liens entre Québec et la religion catholique et tout ça, parce qu’il y a un terrain religieux spirituel, ça c’est évident, mais de là à transposer l’importance de ce groupe d’individus à une échelle ou à une activité nationale, c’est autre chose, parce qu’à ce moment-là on tombe dans la prophétie, et si on tombe dans la prophétie et qu’on s’attache à la prophétie, on risque automatiquement de perturber des aspects de la réalité qui n’est pas évidente à tous, dans les années qui viendront.

Effectivement il y a quelque chose, d’ailleurs tous les gens qui s’occupent d’ésotérisme ou d’occultisme le savent, il faut être absolument insensible occultement, pour ne pas réaliser que dans la Province de Québec il y a une fermentation très puissante, en tous cas, moi je le sais.
Mais, de là… il ne faut jamais transposer la forme à une échelle trop matérielle.
Si un jour la forme éclate, et distribue son énergie sur un plan matériel, tant mieux !
Si un jour vient, où la puissance de la Conscience Supramentale éclate et se déverse sur les rives du St Laurent en tant que refonte des principes fondamentaux d’une science nouvelle, tant mieux.
Mais, de là, à trop avancer le mouvement, ça devient techniquement pas correct.

Il faut… parce qu’on crée une forme… il ne faut pas créer de forme, il ne faut pas créer de forme, même… c’est pour cela que je n’aime pas les prophéties, parce que la prophétie crée une forme automatiquement, vous dites quelque chose à quelqu’un et automatiquement la baloune qui commence à… les émotions, et tout le tralala, qu’on sache telle chose, qu’on comprenne... moi ça ne me fait rien de parler de prophéties, d’ailleurs j’en parle avec mes amis de prophéties toujours, mais il n’y a pas de forme, ils me connaissent, et à ce moment-là je dis : -« bon, il va se produire telle chose la semaine prochaine, il va y avoir telle chose » et ça se produit, mais il n’y a pas d’émotion.
Mais si on parle de prophéties et que les gens commencent à s’accrocher à ces prophéties, à perdre de l’énergie émotionnelle sur ces prophéties, à faire de l’over time mental (heures supplémentaires) avec les prophéties, ce n’est pas bon.
Il faut que les gens vivent leur vie de tous les jours, il faut que les gens se comprennent d’abord, et une fois qu’il seront très centriques, qu’ils auront la sensibilité qu’ils suivront les courants d’énergies, qu’il y ait une bombe ou un tremblement de terre ici ou là, les gens vont passer à côté, mais qu’ils sachent qu’il y ait un tremblement de terre à tel endroit et s’ils ne sont pas centriques, ils sont pris dedans pareil !

Parce que l’être humain ne va jamais mettre de côté sa maison parce que tel individu a dit que la maison était prête à être détruite par un tremblement de terre.
Il faut que les gens le sachent ! Il faut qu’ils le savent… faut qu’ils le sachent ou qu’ils le savent ? Comment est-ce qu’on dit ?...qu’ils le sachent intérieurement ! Il faut que ce soit interne.

Richard Glenn :
La prophétie est une forme, il y a des formes qui sont peut-être négatives pour l’être humain ? Qui sont faites sans un but définitivement d’atteindre l’humain dans sa liberté, dans son épanouissement, ces formes sont fabriquées par des êtres qui vivent dans l’invisible, est-ce que cela les rejoint aussi sur le plan psychologique, ils sont pris, prisonnier par des êtres dans l’invisible ?

Bernard de Montréal :
C’est très intéressant cette question.
Il y a des prophéties qui ont été dites, qui ont été écrites par des gens, cela a été mis dans des recueils, vous prenez Cayce c’est un exemple. Alors ce gens-là, donnent de l’information à l’être humain, c’est bon, mais avec les années, les années passent et les évènements commencent à se manifester et souvent c’est là que ces intelligences dans l’invisible, vont se servir de ce qui a été fait dans grand but par un humain, et vont commencer à semer dans l’esprit d’un individu avec lequel ils ont un lien, et dont il n’est pas conscient, de la crainte. C’est ça qui est le problème.

Les gens, l’être humain ne réalise pas, encore, combien grand est le Cosmos et combien grand est l’être humain.
L’être humain pense de lui-même comme tant un corps physique, des yeux, des cheveux, des jambes, des… pfff… C’est une enveloppe ça !

L’être humain est autre chose et cette autre chose qu’il est, qui est invisible dont il n’a pas conscience, est en contact aussi avec d’autre chose, qui est invisible et dont il n’a pas conscience, et si cette autre chose-là est un Ego mort, mais qui évolue dans des sphères sombres, et qui entre en contact avec cet être là, à ce moment-là cet humain peut être retardé dans son évolution par cet Ego et il ne le sait pas.

Il y a des gens qui souffrent de malaises depuis des années, ils ne se comprennent pas, ils savent qu’il y a quelque chose en eux qui ne fonctionne pas bien, ils ont toujours l’esprit négatif, l’esprit négatif, négatif… il n’y a rien de positif qui sorte de leur bouche et ces gens-là ne sont pas responsables de ce qu’ils sont, mais ils ne savent pas qu’il y a, sur d’autres plans vibratoires, des entités qui se servent d’eux pour leur propre évolution, et c’est à ce moment-là, à ce point-là que certains types d’éducateurs, des psychologues par exemple, pourraient énormément bénéficier de ces petites connaissances auxquelles on n’a pas accès par l’intelligence, par l’intellect, de ces petites connaissances qu’on appelle occultes.

L’être humain est extrêmement influençable, sur le plan matériel et sur les autres plans.
La preuve, vous vous couchez le soir et puis vous rêvez, vous êtes sur les plans quand vous rêvez, vous êtes sur un plan, alors dites-vous que ce plan que vous visitez inconsciemment la nuit existe, vous ne le voyez pas mais il existe, vous vous en rendez compte quand vous dormez parce que vos facultés matérielles sont diminuées, mais dites-vous qu’il y a des êtres qui vivent sur ces plans, d’une façon permanente, et qui s’occupe à retarder l’évolution de l’être humain, et à ce moment-là vous comprendrez combien est important, le problème de la psychologie humaine, la psychologie, la psychologie de l’âme. Savoir ce que c’est l’âme !
Ce n’est pas un mystère l’âme !
Qu’est-ce que c’est l’Esprit !
Qu’est-ce que c’est l’âme !
Qu’est-ce que c’est l’Ego !
Qu’est-ce que c’est la personnalité !
Qu’est-ce que c’est l’ajusteur de pensées !
Qu’est-ce que c’est un guide spirituel ! Quelles sont ses facultés ! Quelles sont ses limites !
Qu’est-ce que c’est qu’un être spirituel ! Quelles sont ses facultés et ses limites !
Qu’est-ce que c’est un contact psychologique ! Qu’est-ce qu’il peut faire ou ne pas faire !
Où l’être humain est protégé !
Où l’être humain n’est pas protégé !
Comment l’être humain doit se protéger !
Quoi faire pour se protéger !

Il a beaucoup de choses à apprendre l’être humain, beaucoup de choses…

Et pour comprendre les mécanismes de l’être humain, comprendre les mécanismes de l’âme, comprendre les mécanismes de l’ajusteur de pensées, et de toutes ces choses qui sont sur les autres plans il faut être en dehors de la forme ! Il ne faut pas pouvoir penser.
Alors….l’énergie passe par le cerveau et elle manifeste un entendement et cet entendement devient une règle de mesure, pour l’individu seulement. (long silence)

Vous vous demandez pourquoi le monde est là où il en est ?
C’est très simple, c’est normal ! C’est normal ! Ne vous cassez pas la tête, ne cherchez pas de panacée.
C’est normal ! Ce serait anomal que ce soit différent. Pourquoi ? Parce que l’être humain est affecté par des vibrations négatives.

Richard Glenn :
Quand vous parlez de vibrations Bernard , ce qui commence à me révolter un peu, c’est qu’il n’y ait pas une technique pour changer les vibrations, les méditations transcendantales ou toutes ces choses -là qui veulent bien que les humains communient ensemble pour changer les vibrations.

Bernard de Montréal :
Changer les vibrations c’est une chose, altérer la fréquence des corps c’est une chose, changer le couleur dans les corps c’est une chose, mais être libérés, être libres, être libres de la forme c’est autre chose.
Les systèmes philosophiques, tous les systèmes philosophiques ! Tout ! Tout ce qui est philosophique, a tendance mystique, a tendance spirituelle ou quoi que ce soit fait partie d’une forme ! Tout fait partie d’une forme !
Vous pouvez changer la couleur de votre maison tant que vous voulez, mais vous n’allez pas changer la maison, c’est la maison qu’il faut changer !
Alors les gens changent la couleur des murs, des plafonds, papapapapapa pendant des siècles et des siècles, et des siècles mais la maison elle, elle est toujours la même.

Le problème de l’être humain c’est ça, il est incapable d’être en dehors de la forme, il est toujours pris dans la couleur de la forme, et c’est là qu’il y a la grande confrontation entre l’esprit de l’être humain subjectif et l’esprit de l’être humain objectif. Ce qui dans l’être humain est infini et ce qui dans l’être humain est fini, jusqu’au moment où ce qui est fini dans l’être humain se perd dans ce qui est infini en lui.
Pourquoi je dégueule, et je dégueule, et je dégueule ? Et que je dis toujours il n’y a rien à comprendre, il n’y a rien à comprendre, il n’y a rien à comprendre… je ne suis pas un cave !
J’ai des raisons pour dire qu’il n’y a rien à comprendre, je sais pourquoi je dis : il n’y a rien à comprendre ! Les gens veulent comprendre, il n’y a rien à comprendre ! Et les gens, tant que les gens veulent comprendre ils ne peuvent pas comprendre ! Ce n’est pas une attitude philosophique ou psychologique ça ! C’est un état d’esprit.

Richard Glenn :
Il y a presque des fatalités, c’est peut-être déjà réussi la question de l’angoisse chez l’être humain, développée par les forces antagonistes, sociales ou politiques que nous avons sur la Terre ?
On sait que la semaine dernière, je ne sais pas si vous avez été mis au courant, qu’il y a eu trois fois la mise en marche de tous les systèmes de défense Nord Atlantique, trois fois ! Jusqu’au moment où l’être humain qui doit intervenir, soit peser ou ne pas peser sur le bouton ! C’est arrivé par trois fois et maintenant on sait d’où viennent les brouillages des machines électroniques Américaines.

Bernard de Montréal :
Bon. Je ne vais pas parler de çà, mais je vais parler autour, je vais expliquer quelque chose. Je n’aime pas parler de ça, j’aime ça mais je n’aime pas çà. (rires de la salle et de Richard Glenn)

Mais ce que je veux dire c’est que les gens ont un terme qu’ils emploient constamment, ils emploient le terme : contretemps, un contretemps, quelque chose de normal c’est un contretemps. Il y a une relation tellement étroite entre le matériel et l’invisible, que si l’être humain savait, jusqu’à quel point l’invisible a un effet sur le matériel, par le truchement des mécanismes matériels si vous voulez, l’être humain serait surpris, surpris de la grandeur de sa vie et de l’importance de chacune de ses actions. Le hasard n’existe pas !

La preuve : c’est qu’il y a des gens qui savent d’avance, il y a des gens qui savent d’avance ce qui va se passer, le hasard n’existe pas et les gens doivent comprendre un jour ou l’autre, que le hasard n’existe pas.
Vous pouvez penser que le hasard n’existe pas, vous vous faites des frisettes le matin et penser que la hasard n’existe pas, ça, c’est de la philosophie.
Mais, un jour… vous verrez avec votre sensibilisation, votre développement interne, et tous les machins, tous les mots là, vous verrez un jour que le hasard n’existe pas, et quand vous aurez compris ça, vous commencerez à comprendre ce que c’est que de la politique.

La politique c’est fantastique ! La politique, la chooose politique ! L’affaire politique globale, les relations entre les nations, les tensions entre les pays, la petite étincelle qui fait sauter tout un peuple !

C’est pour cela que c’est extrêmement important si l’être humain doit se servir de ce qu’il appelle de l’intelligence, qu’à un certain moment dans son évolution, surtout dans les temps qui viennent, qu’il puisse établir un contact mental télépathique avec cette énergie, pour comprendre une fois pour toutes ce qui se passe !! (Dit BdM en élevant la voix) A part de la petite bière, qu’est ce qui se passe !! Je comprends que les gens ont de l’anxiété et puis font des crises de dépressions avec les nouvelles que nous avons, mais si les gens comprenaient, ils n’en feraient pas de petites crises, parce qu’ils verraient que c’est très normal, et comme ils comprendraient, parce qu’ils seraient en contact télépathique avec un autre plan, ils sauraient, eux, que quand ce sera le temps, eux ne seront pas là.
Je ne suis pas là pour vous donner une overdose de connaissances, je vous donne des points de références, le reste faites le vous-même !

Richard Glenn :
Quand Bernard tu dis : Ils ne seront pas là, où seront-ils ?

Bernard de Montréal :
Ils seront où ils doivent être, en sécurité.

Richard Glenn :
Donc il y aura encore des places en sécurité ?

Bernard de Montréal :
Ben oui il y aura des places en sécurité, effectivement qu’il y aura des places en sécurité, tu veux commencer à compter sur tes petits doigts ? (Rires du public)
Il y aura toujours des places en sécurité, même si la Planète sautait, il y aurait des places en sécurité.
(Long silence) Il y a un nombre d’hommes, de femmes et d’enfants qui sont comptés dans le Cosmos Planétaire Terrestre, et ces individus-là se connaissent tous directement ou indirectement, et puis un jour, ces gens-là vont être appelés à aller à tel endroit par voie télépathique, ils vont entendre dans leurs oreilles bien fort, je ne dis pas penser, ce qu’ils vont entendre va venir de la Grande Chambre Souterraine, et puis ça va être dit, ils vont êtres appelés par ceux qui ont le rôle de les appeler, qui ont le pouvoir de les appeler et puis qui les connaissent tous.

Ces gens-là vont partir de Montréal, ils vont prendre l’avion pour Inukjuak ensuite ils vont se faire transférer de Inukjuak pour une autre place et puis ils vont arriver où ils doivent aller.
Je ne parle pas de prophétie, mais je peux vous dire que tout à l’heure ça va être quelque chose !
(Rires du public).

Les évènements cosmiques sont très longs, très longs, nous autres on veut que ce soit court parce qu’on a un Ego, les choses sont très longues, mais… mais maintenant on est dans la fin de cette longueur de temps-là, on est dans la fin de cette longueur, et les individus, les personnes individuellement doivent le savoir, eux, pas se faire dire par l’un ou par l’autre, chaque individu doit en arriver à avoir une radio tellement bien tunée que quand de l’Univers ils vont venir, il va partir.
Par votre propre radio à vous autres, pas par celle des autres. Votre propre radio.

Richard Glenn :
Pour en revenir au point de départ de ce soir qui était la psychologie de l’être humain, l’être humain attend que chaque individu, c’est une abstraction, ce n’est même pas savoir ce qu’est l’humanité, et l’humanité pour l’autre c’est tous les êtres humains agglomérés les uns aux autres et non seulement dans un état de vie, mais depuis des générations, et ça c’est la vibration ou c’est l’état vibratoire Planétaire qui s’appelle l’humain, je suis le fils de l’humain , comme disait l’autre, l’être humain c’est un être, qui s’est multiplié mais qui retournera à l’être et il y a l’autre qui dit « non ce sont tous des individus mais avec leur personnalité qui sont tous des dieux en soi »

Bernard de Montréal :
Le combat philosophique entre l’individualisme et la collectivité ou le collectivisme, c’est un combat philosophique, moi je m’en foute de tout ça ! Ça c’est de la philosophie !

Les individus quand ils seront des individus, quand l’être humain sera centrique, quand il sera Humain à ce moment-là il comprendra le rôle de la collectivité, et il comprendra sa puissance, parce que la collectivité est créée par l’être humain, qu’il y ait des retombées sur les individus à cause des rapports entre la société et l’être humain, ça c’est normal, mais l’individu, l’être humain, quand je parle de l’être humain, je parle de l’être humain nouveau, je ne parle pas de l’être humain d’aujourd’hui, l’être humain nouveau sera totalement libre, qu’il vive soit dans une société ou dans une autre, d’abord je dois vous dire une chose, le but des sociétés, le but des agglomérations d’individus c’est d’établir des bases d’évolution pour ces individus-là.

Une fois qu’un humain est libre, qu’il est en dehors de la forme, il est ce qu’on appelle immanent, il peut aller où il veut, il peut être dans une société et partir, il peut aller sur une autre Planète, il peut faire ce qu’il veut. S’il travaille avec des êtres qui forment une collectivité, à ce moment-là ce sont des êtres qui sont sur la même vibration que lui, et ces êtres-là sont individualisés comme lui, mais ils travaillent ensemble à créer des formes nouvelles, et ces formes nouvelles-là font partie, à une échelle plus haute, du processus social.

Sur la Planète Terre où l’être humain est inconscient, la collectivité, la société c’est un fond, contre lequel évolue l’être humain qui donne à l’être humain ses possibilités évolutionnaires. Une fois que l’être humain entre en contact avec l’infinité, avec l’invisible, avec les autres plans, il est totalement libre. Il est libre de son corps physique, il est libre d’aller où il veut, il est libre de communiquer avec qui il veut, il est libre. Le reste, c’est tout de la philosophie.

Richard Glenn :
Pour ça il faut qu’il contrôle les formes, est-ce qu’on peut dire que l’être humain de 1980 est plus libre des formes ? Il peut se déplacer en automobile, aller en avion, se déplacer autour de la Terre.

Bernard de Montréal :
Non ! Ce qui arrive c’est que l’être humain moderne a donné à la forme un plus grand pouvoir de déplacement, c’est tout.

Richard Glenn :
Ce qui ne voudrait pas dire que l’être humain primitif d’Amazonie était peut-être plus libre, que l’être humain du 20ème siècle ? Avec tous ses gadgets !

Bernard de Montréal :
Il était plus libre psychologiquement parce qu’il y avait beaucoup moins de formes pour accaparer son esprit, mais il n’avait pas l’évolution, le statut évolutionnaire et le développement du corps mental de l’être humain moderne. Il ne faut pas tomber dans le naturisme !

Richard Glenn :
Donc le développement technologique est une manifestation extérieure d’une qualité de développement mental ?

Bernard de Montréal :
Le développement technologique est une manifestation directe de l’intelligence Atlantéenne de l’être humain.

Richard Glenn :
Atlantéenne ?

Bernard de Montréal :
Oui ! C’est pour cela que les Américains sont les plus avancés dans le monde dans la technologie, qu’ils ont donné l’impétus original, (impétus : élan moteur, impulsion) parce que c’est en Amérique que l’on retrouve le plus grand nombre d’incarnations d’anciens atlantes, qui avaient eux une science très développée, mais ce qui se fait aujourd’hui et ce qui s’est fait durant la période de l’Atlantide, et ce qui se fera demain c’est une autre paire de manches.

Les atlantes avaient des vaisseaux pour aller dans les airs, et des vaisseaux pour aller dans les mers, mais ils ne pouvaient jamais sortir de l’atmosphère Planétaire de la Terre, tandis que l’être humain nouveau… Parce qu’ils étaient en stage involutionnaire ! Ils étaient en stage involutionnaire.
C’est quand l’être humain commence la période d’évolution, qu’il prend sur lui la responsabilité de ce qu’il fait, et qu’il devient lui-même responsable de ce qu’il est.

Richard Glenn :
Le tournant entre l’involution et l’évolution s’est produit à quel moment ? Lors de la destruction de l’Atlantide ?

Bernard de Montréal :
Non. Il se produit présentement.

Richard Glenn :
On est encore en involution ?

Bernard de Montréal :
On est au point de rencontre des deux…

Richard Glenn :
Est-ce que, comme d’autres diraient, c’est le Christ qui est venu tourner le vent ?

Bernard de Montréal :
Mouwaah…le Christ n’est pas venu encore….
il est en vacances.
(Rires du public !)
Quand il va venir ça va être tout un(e) party !

Fin de l’enregistrement

ΩΩΩΩΩΩΩ

 

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  • Bernard de Montréal. psychologie évolutionnaire, psychisme, évolution, satan, lucifer, involution , mensonge cosmique, planète Terre, humanité, extraterrestres, nations, astral, conscience, mental, surmental, supramental, conscience , fin de cycle
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