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Hommage à Bernard de Montréal
10 octobre 2016

la sexualité. (partie 2)

Bernard de Montréal

Richard Glenn : CKVL

La sexualité - 2ème partie

 

 

Richard Glenn :
Alors j’aimerais savoir Bernard de Montréal lorsqu’on va aborder le phénomène de la sexualité, peut-être de vous demander de faire une différence entre le mot homme et le mot humain, pour que l’on situe quand on dit le mot homme lorsqu’il s’agit de l’homme mâle et la femme femelle et que l’humain comprend les deux, qu’est-ce qui dans le fond est dans la nature de l’humain ? Est-ce la bisexualité ? L’androgynat ou cette division ? Et si c’est cette division qu’est-ce que ça signifie ?

Bernard de Montréal :
La nature de l’être humain est Universelle.
Ce qui permet à l’être matériel d’être constitué entre une partie femelle et une partie mâle, relève des Lois de la polarité, les Lois de la polarité sont des lois Universelles, ce sont des Lois qui permettent dans le Cosmos - que des êtres qui sont sujets aux Lois matérielles - de s’interpénétrer, or l’interpénétration fait partie de l’exploitation dans le domaine matériel, du pouvoir de l’énergie négative et de l’énergie positive.

Alors l’homme représente sur le Plan matériel - l’homme, le mâle - représente l’énergie positive, la femme représente l’énergie négative, et la contra-distinction que l’on fait sur le plan psychologique est une contra-distinction qui est simplement d’ordre sensoriel. Sur le Plan de l’Esprit, la polarité n’existe pas, sur le Plan de l’Esprit, sur le Plan de la Lumière la polarité n’existe pas parce que dans la Lumière, la constatation infinie de l’énergie de l’Esprit est toujours parfaite, c’est-à-dire que l’Esprit dans sa manifestation sur un Plan ou sur un autre, en dehors des faits de la création, est Absolu.

Lorsque l’Esprit se manifeste sur les Plans inférieurs de la Création, et qu’il transforme les formes éternelles de sa conscience dans des formes évolutives, à ce moment-là il peut se servir de la polarité, il peut se servir de l’aspect mâle ou de l’aspect femelle afin de recomposer la forme à l’infinité.

S’il a été donné à l’homme, quand je parle de l’homme je parle de l’homme Universellement parlant, s’il a été donné à l’homme d’être constitué en tant que partie mâle et partie femelle, c’est pour permettre sur la Terre, sur le Plan matériel, qu’il y eut une évolution animale.

Alors, là où il y a évolution animale, c’est-à-dire que là où il y a évolution sans concours direct de l’Esprit au niveau de l’intelligence, il devint essentiel que l’homme vécut l’expérience de l’Esprit, à travers une configuration dualiste, à travers une situation polarisée, afin que les aspects inférieurs soient élevés par les aspects supérieurs - les aspects inférieurs étant les aspects négatifs - par les aspects supérieurs pour que les aspects éventuellement puissent être raccordés dans l’esprit lorsque l’Homme ne sera plus constitué sur le plan matériel en tant que forme physique, mais plutôt forme éthéréelle, lorsque l’humain sera éthéréel, lorsque l’humain sera rendu au niveau de son évolution au stade de l’Homme Esprit, à ce moment-là il pourra laisser de côté sa forme matérielle et reconstituer une autre forme, créer une autre forme qui sera d’un autre domaine mais qui n’emploiera plus la polarité pour exprimer à l’infini les formes nécessaire à l’évolution, il créera instantanément les systèmes de vie dont il aura besoin, et ses systèmes de vie seront d’un autre ordre, mais ne seront plus humains, nous tomberons à ce moment-là dans l’âge du cloning.

Richard Glenn :
La mode unisexe présentement est-ce que ce n’est pas finalement un retour vers l’androgynat ?
Vers l’unité dans les deux sexes ?

Bernard de Montréal :
La mode unisexe aujourd’hui, relève du raffinement psychologique des sexes, autrement dit les sexes, d’une façon très, très inconsciente, parce que l’être humain est encore très, très inconscient il ne connaît pas les Lois Universelles, l’homme et la femme aujourd’hui sont en train de se réunir au niveau de l’esprit, mais en passant par une expérience psychologique que nous appelons l’unisexe, et cette expérience psychologique qui est d’ordre social et historique, leur permet, de petit à petit, d’une façon subliminale, de détruire les barrières, les obstacles, qui ont créé dans le passé une sorte de dualité entre les sexes, entre le mâle et la femelle, et qui ont empêché la femme d’évoluer.

Donc aujourd’hui la femme peut évoluer plus et l’homme peut s’assagir vis-à-vis de son rôle, vis-à-vis d’un rôle qu’il a envers la femme, et automatiquement la psychologie de l’unisexe, si nous la regardons d’un point de vue Cosmique, non pas simplement d’un point de vue social ou économique, ou historique, devient une des grandes poussées dans le monde, du phénomène d’égalisation entre les matières mâles et les matières femelles pour préparer l’homme petit à petit à se désintoxiquer, à se libérer des formes qui ont servies à l’ancienne involution, et à le préparer éventuellement à entrer en contact avec d’autres civilisations qui elles, sont unisexes dans beaucoup de leurs aspects.

Richard Glenn :
On entend beaucoup parler en Orient de la montée de la Kundalini, l’utilisation de l’énergie des différents chakras, et on dit que chakra signifie en Français, roue, et que c’est par le mouvement des roues qu’on produit de l’énergie électrique dans les dynamos, dans les centrales électriques, alors cette montée de la Kundalini, qui est représentée bien souvent comme deux serpents entrelacés - comme dans le caducée d’Hermès - ces deux serpents qui préfigurent peut être aussi le fameux Serpent tentateur au Paradis originel, la femme qui succombât, la femme qui vit pile sur la Terre, mais le Serpent se venge en retour, étant donné que la femme qui aura dominé la Kundalini de l’être humain, au cours de l’existence de l’humanité, ce Serpent se venge en retour et lui mord le talon comme on dit dans la bible, alors, toute cette histoire à la fois Orientale et Occidentale, nous ramène à un élément de base, c’est qu’il y a une énergie à aller chercher à la base, de quelle énergie s’agit-il ?

Bernard de Montréal :
Il y a une énergie Cosmique dans la colonne de l’être humain, dans la colonne vertébrale de l’être humain, il y a des centres d’énergie et ces centres d’énergie sont des centres récepteurs de cette énergie Cosmique.

Richard Glenn :
De l’humain ?

Bernard de Montréal :
De l’humain, de l’homme et de la femme, les deux.
Et la Kundalini, il faut comprendre une chose, c’est que l’Orient a été une des régions de la Terre qui a été les plus favorisées par ce que nous pouvons appeler l’expérience astrale, et dans l’expérience astrale les Orientaux ont découvert la Kundalini, ils ont découvert la nature voilée du corps humain, ils ont découvert la mécanicité énergétique de la colonne vertébrale, et ils ont interprété selon les Lois de l’intelligence astrale le principe de cette énergie, donc ils ont compris que cette énergie était Cosmique, et que cette énergie fonctionnait en terme de roue, qu’elle générait ,mais ce qu’ils ne savaient pas, les Orientaux, c’est que cette énergie ne doit pas être manipulée par l’être humain.

Si la Kundalini est manipulée par l’être humain, il est manipulé par l’ego, s’il est manipulé par l’ego il est manipulé psychologiquement, s’il est manipulé psychologiquement il y a de l’émotion dans le mental et s’il y a de l’émotion dans le mental, il y a du désir, c’est-à-dire que l’être humain veut parvenir à un certain état d’esprit qui lui permet éventuellement d’avoir un certain pouvoir à quelque niveau que ce soit. Ceci est très dangereux parce que l’être humain aujourd’hui n’est pas dans l’Intelligence, il est simplement dans l’intellect, et si un humain n’est pas dans l’Intelligence, comment peut-il connaître et comprendre les Lois Cosmiques !
Pour comprendre les Lois Cosmiques il faut être dans l’Intelligence, c’est à dire qu’il faut avoir un rapport vibratoire de syntonisation entre ces énergies et son mental, donc il faut que l’être humain ait une conscience mentale supérieure, qui reçoit l’information de cette énergie et qui lui permet de comprendre le rapport entre l’énergie et ses centres, ses chakras.

Mais les Orientaux, et aussi les Occidentaux aujourd’hui de plus en plus, se sont intéressés à la Kundalini, et c’est très dangereux parce qu’ils peuvent très facilement libérer des énergies et astraliser leurs centres… Donc, ils sont tellement affectés par des énergies qui proviennent d’Univers parallèles et qui sont contrôlés par des êtres qui sont anti humains, qu’éventuellement ces êtres humains peuvent atteindre des états de folie. Donc, travailler la Kundalini à partir de l’ego c’est très dangereux, et les maîtres les moindrement sages le savent.

Pour que l’être humain travaille avec les forces qui sont en lui, il faut qu’il soit lui-même en force, c’est-à-dire qu’il faut qu’il soit lui-même en Intelligence, c’est-à-dire qu’il faut qu’il soit en harmonie avec l’énergie qui passe en lui, s’il n’est pas en harmonie avec l’énergie qui passe en lui, il ne peut pas comprendre cette énergie, donc il l’intellectualisera, il la spiritualisera, il fera de la philosophie sur elle, et automatiquement il devra en payer le prix, parce que l’énergie qui passe dans l’être humain est une énergie qui est indifférenciée, et comme elle est indifférenciée, elle devient différenciée seulement dans son utilisation, donc c’est seulement lorsque l’être humain utilise cette énergie qu’elle devient différenciée, donc c’est à partir de ce moment-là qu’il est capable de bien l’utiliser parce que ses centres sont ajustés à elle, mais s’il travaille au niveau de l’ego et qu’il se sert de cette énergie sans être en harmonie vibratoire avec elle, en passant simplement par une constatation astrale de sa présence, donc à ce moment-là il peut se mettre en danger et c’est là que nous avons des cas dans l’humanité, en Orient comme en Occident, de personnes qui atteignent des niveaux de folie parce qu’ils déclenchent en eux des forces qu’ils ne sont plus capables de contrôler.

Il faut, comme disait le grand Aurobindo, il faut que l’énergie descende d’en haut, il faut que l’ouverture des chakras se fasse d’en haut, c’est-à-dire qu’il faut que l’ouverture des centres cosmiques de l’être humain se fasse par la partie Cosmique de l’être humain, et la partie Cosmique de l’être humain, c’est son double, ce double doit être créé, il doit être développé, il doit être perfectionné parce que tous les humains ont un double, mais le double qu’ils ont est à la fois vital et astral, ce n’est pas un double qui est le produit de la concentration de l’énergie astrale et mentale sur un plan supérieur. Donc, tant que l’être humain n’a pas construit le double, il ne peut pas être en harmonie avec cette énergie indifférenciée, donc il ne peut pas comprendre parfaitement sa relation avec elle, donc il se met en danger s’il travaille avec cette énergie.

Richard Glenn :
Et de là, la protection qu’il trouve dans les morales, les religions, les sociétés avec certains préjugés ou certaines techniques ou certaines réalités qu’on admet dans un cas, et dans une autre société ce seront d’autres réalités qui seront admises…

Bernard de Montréal :
Chaque société interprétera la réalité psychologique les fonctions énergétiques de l’être humain selon sa doctrine, selon sa philosophie, selon son illusion.

Richard Glenn :
Alors, si on partait de zéro, où peut-être même moins neuf, la naissance d’un être humain sur la Terre, comment descend cette énergie dans la cellule qui va devenir un être humain ?

Bernard de Montréal :
Cette énergie est présente dans la cellule au moment où il y a interaction dans le mental de l’être humain ou le corps astral de l’être humain, autrement dit, si nous prenons l’être humain comme un aspect très perfectionné de la nature animale, aussitôt qu’il y a contact entre le mental humain ou l’astral humain ou au niveau de la plante - l’éthérique plantaire - à ce moment-là, il y a dans les Plans supérieurs une résonance qui s’établit et l’énergie commence à descendre.
Et elle descend au niveau le plus bas de la constitution matérielle de la forme et ceci se trouve dans notre organisation, sur le plan génétique, et à ce moment-là l’énergie se fait par résonance, elle s’établit par résonance et comme elle est résonante l’énergie, elle n’a pas besoin d’être amenée vers la matière par le corps de désir, elle peut être amenée dans la matière simplement par interaction biologique, interaction physique et même dans certains cas par interactions où l’homme ou la femme n’ont eu aucun contact mental ou astral. Il y a des cas où des êtres humains, ou des femmes ont donné naissance à des enfants parce qu’il y a eu résonance dans leur énergie et ces êtres humains, ou ces femmes n’ont jamais eu de contact sexuel.

Richard Glenn :
On compare souvent l’ovule porté par la femme comme une planète, le spermatozoïde de l’homme comme un cosmonaute qui arrive et insémine la planète, agit sur la planète et en crée une civilisation nouvelle. Alors, quelle différence y a-t-il entre l’ovule, sur tous les plans cosmiques et tout le reste et aussi pour le spermatozoïde ?

Bernard de Montréal :
L’ovule sur le Plan Cosmique représente une spirale d’énergie, c’est une spirale qui est constamment en mouvement, qui est constamment en évolution, l’ovule ne cesse jamais de pulser, il est toujours actif, et le spermatozoïde, le sperme dort, il devient actif lorsque l’ovule a été mis en résonance.

Les gens pensent que c’est le sperme qui donne la vie, alors que ce n’est pas le cas, c’est l’ovule qui vibre et qui par sa vibration et sa résonance attire le sperme à lui, et c’est ça qui fait le choix.
C’est la femme qui attire à elle, sur le plan biologique, sur le plan micro, les aspects de l’homme qui sont fécondants, ce n’est pas l’homme, on pense sur la Terre que c’est l’homme qui féconde la femme ce n’est pas le cas, c’est la femme qui appelle l’homme à elle, et cette constatation sera réalisée un jour lorsqu’au niveau de la science on aura pris conscience de la résonance de l’ovule et on verra que dans une matière quelconque, dans un médium quelconque lorsque l’ovule… on dit dans les termes occultes : lorsque l’ovule frémit, le sperme est attiré à lui, si l’ovule ne frémit pas, le sperme ne peut pas venir à lui, et regardez dans le cas des animaux, vous verrez que dans le cas des animaux que si la femme, ou la femelle pour ainsi dire, rejette le mâle, il ne se passe rien.

Sur le plan biologique, micro, pour nous c’est la même chose, si l’ovule ne frémit pas, le sperme ne peut rien faire, c’est une illusion psychologique de la relation du positif avec le négatif, qui fait que les gens ou la science, même aujourd’hui, croit que c’est le sperme qui donne ou qui rend possible la vie dans l’ovule. La vie elle est déjà dans l’ovule, elle est toujours dans l’ovule, le sperme lui, dort comme un ours en hiver, et ça c’est une des raisons d’ailleurs pour laquelle la femme est obligée de vivre des périodes menstruelles, et vivre pendant un très grand nombre d’années cette activité physico-chimique et éthérique dans son corps, tandis que l’homme lui ne vit pas cela, la femme est toujours en vie, il y a beaucoup plus de vie dans la femme que dans l’homme.

Richard Glenn :
Pourquoi les cycles ?

Bernard de Montréal :
Les cycles menstruels sont des cycles qui relèvent de la formation dans la femme, d’une génétique éthérique qui est directement liée à la Lune, il y a une relation entre la Lune et la femme, et la Lune elle, représente en fonction de la Terre, une activité cosmique qui est très importante parce que c’est la Lune qui attire l’énergie du soleil, mais c’est l’attraction de l’énergie solaire par la Lune qui n’est pas reconnue aujourd’hui, elle n’est même pas connue dans les doctrines ésotériques ou occultes, parce que pour connaitre les activités de la lune il faut pouvoir aller dans la conscience lunaire, il faut pouvoir étudier l’esprit de la Lune et parler avec l’esprit de La lune, et lorsque l’être humain parle avec l’esprit de la Lune, il comprend les Lois de la lune, et à ce moment-là s’il est suffisamment fort, l’esprit de la Lune expliquera à l’être humain les Lois du Soleil.
Et c’est par la Lune que l’être humain comprendra les Lois du Soleil, autrement dit c’est par la femme que viendra sur la Terre, la Conscience Cosmique.

Richard Glenn :
Et cette Conscience Cosmique vient du Soleil ?

Bernard de Montréal :
La Conscience Cosmique est le résultat du passage de l’énergie du Soleil à travers la femme sur la Terre. Parce que, ce qui est le problème de l’être humain aujourd’hui et quand je parle de l’être humain je parle de l’humain ésotérique, je ne parle pas de l’homme, je parle de l’humain occulte, de celui qui est très près des mystères de la Vie sur les autres Plans, ce qui est le problème de cet humain aujourd’hui, c’est qu’il fonctionne encore par symbologie, et la symbologie c’est très dangereux en ce qui concerne l’évolution future, parce qu’on ne peut pas atteindre la connaissance en se servant des symboles, parce que les symboles sont des formes qui ont déjà été instruites dans le cerveau de l’homme pour l’empêcher d’avoir accès à la connaissance.

Si on veut empêcher un homme d’avoir accès à la connaissance on lui donne de la symbologie, parce que la symbologie est toujours ajustée à son caractère émotionnel, ou à son caractère mental ,donc la symbologie est toujours fixée dans le caractère d’une nation, la symbologie d’un Oriental, d’un Occidental, la symbologie de l’Indien, la symbologie de l’Esquimau, chaque peuple a sa propre symbologie et elle devient en quelque sorte une sorte de ciment, à l’intérieur de laquelle l’intelligence de la race piétine.

Et tant que l’homme n’est pas capable de sortir de ceci, de détruire les formes de la symbologie, il ne peut pas rentrer dans l’énergie de l’Intelligence, donc il ne peut pas comprendre les rapports énergétiques entre les différents plans d’évolution, entre le sperme et l’ovule, entre la Lune et le Soleil, entre la Terre, le Soleil et la Lune et ainsi de suite, l’être humain ne peut pas comprendre les Lois de l’énergie, et il faut que l’être humain comprenne Les lois de l’énergie parce que c’est l’énergie qui est à la base de tout, c’est l’énergie qui prend dans l’être humain la quantité essentielle dont elle a besoin pour transmuter son oxygène, c’est l’énergie !

L’oxygène n’est pas une énergie, l’hydrogène n’est pas une énergie, c’est une composante de l’énergie, c’est une physicalité de l’énergie mais qui n’a aucun rapport avec l’énergie elle-même, c’est pour cela que d’ailleurs aujourd’hui, nous sommes obligés sur la Terre de créer des systèmes énergétiques à partir de particules qui sont déjà mortes d’énergie, c’est pour cela qu’aujourd’hui nous sommes obligés constamment de créer des carburants qui brûlent et de recréer des carburants qui brûlent, au lieu de se servir d’une énergie qui est sans fin, mais une énergie qui n’est pas fondée sur les stocks infinitésimal de l’atome.

L’être humain doit aller plus loin, mais pour que l’être humain aille plus loin, il faut qu’il ait l’intelligence de l’Infinité, il faut qu’il comprenne les Lois de l’énergie, autrement dit il faut que son mental soit fusionné avec l’énergie, et à ce moment-là il peut commencer à donner, à ouvrir pour l’humanité la boite de Pandore, il peut à ce moment-là ouvrir pour l’humanité, les secrets extraordinaires de la Science Cosmique.

Richard Glenn :
Vous utilisez encore très souvent le mot homme, qui dès fois, pourrait être mieux remplacé par le mot humain…

Bernard de Montréal :
Non… J’emploie le mot homme… quand j’emploie le mot homme, je l’emploie dans un terme générique, mais je peux employer le terme humain si ça crée une confusion.
Pour moi le mot homme… quand je parle de l’homme, je parle de l’homme universellement parlant, sinon je parle du mâle ou de la femelle ou… en général je suis suffisamment précis dans ce que je dis.

Richard Glenn :
Bon alors maintenant si la langue est si peu précise, vous nous avez déjà dit qu’il faut faire attention aux mots …

Bernard de Montréal :
Oui, c’est-à-dire que la langue est précise, c’est la façon dont nous employons la langue qui nous empêche de dire exactement ce que nous voulons dire, mais comme je suis dans un champ d’énergie qui pulse à une très haute fréquence, j’ai tellement de choses à dire que j’essaie de prendre le chemin le plus court, donc c’est pourquoi souvent je vais employer un terme, lorsqu’en fait je pourrais en emprunter un autre, mais avec le temps les gens me connaissent et me comprennent et donc à ce moment-là on peut passer par-dessus et ne pas perdre trop d’énergie, avec les mots.

Richard Glenn :
Si on en revient encore aux spermatozoïdes et à l’ovule, les spermatozoïdes doivent se combattre pour atteindre l’ovule, un peu comme les mâles chez les animaux doivent faire la guerre des mâles, la confrontation pour que le plus fort, le plus résistant ait droit aux femelles.
Est-ce que c’est la même chose sur le Plan Cosmique aussi, et que tous ceux qui veulent atteindre une planète, sont obligés de se confronter pour atteindre la planète qui elle, est prête comme vous dites…

Bernard de Montréal :
Le concept du combat c’est un concept très intéressant.
Il y a combat dans le Cosmos là où il y a émotivité.
Là où il n’y pas émotivité il n’y a pas combat, il y a simplement réagencement ou activité maximalisée pour la conquête du territoire.

Sur le plan humain il y a émotivité donc il y a combat, sur le Plan Cosmique il n’y a pas combat il y a la lutte, le mot lutte sur le Plan Cosmique n’implique pas l’indication de l’émotion, le terme combat implique l’activité émotionnelle, sur le Plan Cosmique il y a lutte parce que sur le Plan Cosmique, à cause des différents Plans d’évolution, les êtres qui sont les plus évolués sont obligés constamment de remettre en place les activités ou de corriger les activités d’êtres inférieurs, donc il y a lutte parce qu’il y a plus d’êtres inférieurs dans le Cosmos que d’êtres supérieurs.

Donc il y a toujours le phénomène de la relation entre l’affect de la pyramide et la base, et la base est faite à cause de son nombre et de sa grande numérologie, elle essaie de prendre plus de place dans le Cosmos qu’elle ne devrait, mais elle doit prendre beaucoup de place parce que justement il y a un grand nombre d’activités ou d’entités en activité, c’est pour cela qu’il y a toujours le phénomène de lutte.

Le seul endroit dans le Cosmos où la lutte n’existe pas, c’est dans le centre même de l’Univers qu’on peut appeler l’Île Paradisiaque, c’est un terme qui fait partie des connaissances ésotériques qui sont données à l’être humain aujourd’hui, il y a un autre terme qu’on peut donner à l’Île Paradisiaque, c’est le Centre Parfait du retour éternel de l’Involution, alors à ce moment-là, dans ce centre-là, le combat n’existe pas, parce qu’il n’y a pas d’origine, il n’y a pas de temps, il n’y a pas d’espace et c’est à partir de cette étape de l’évolution, c’est à partir de ce lieu dans le temps et dans l’espace intemporel, que se situent ceux que nous appelons les Alephs, l’Aleph, le dieu ou les dieux, parce qu’il n’y pas seulement qu’un dieu il y en a plusieurs, la lutte à ce moment-là n’existe pas, et c’est à partir de Plan-là si vous voulez, que commence dans le Cosmos la lutte qui devient plus loin le combat et qui devient plus bas dans l’échelle de l’évolution, l’agencement des différentes forces biologiques pour la conquête du territoire.

Richard Glenn :
Normalement pour qu’un spermatozoïde atteigne un ovule, il faut qu’il y ait eu une forme d’orgasme entre les deux partenaires.
Que signifie cet orgasme sur le plan physique, physiologique et cosmique ?

Bernard de Montréal :
Ce n’est pas nécessaire qu’il y ait orgasme entre les deux partenaires pour qu’il y ait connexion. L’orgasme entre les deux partenaires est simplement un aspect de la Conscience Cosmique sur le plan sexuel, pour permettre aux êtres humains d’avoir le plaisir vibratoire de l’énergie, afin de réaliser par leur mémoire, que cela vaut la peine d’être fait encore, pour qu’il y ait au cours de l’évolution une procréation constante et continue.

Richard Glenn :
Donc l’ancienne technique religieuse qui disait, faites des petits mais moins vous jouissez, mieux c’est...

Bernard de Montréal :
Non… (Bernard de Montréal pouffe) non, les dictées anciennes des clercs ou de ces êtres religieux faisaient partie de la psychologie religieuse de ces temps-là, tout simplement.

Richard Glenn :
Aujourd’hui on est peut-être dans l’excès contraire, on dit trouvez votre jouissance par quelques moyens que ce soit c’est l’essentiel, alors, où situer l’équilibre entre les deux justement ?
Est-ce que la jouissance ou l’orgasme est une partie importante ?

Et je me référais à des textes qui nous rappellent la vie des saints, qui eux ne parlent pas d’orgasme ce serait pécher, ils nous parlent de l’état de félicité de certaines saintes, de certains saints qui sentent en eux la présence de Jésus qui les pénètre, et cet état de félicité ressemble très étrangement à un orgasme, alors qu’est ce qui se passe physiologiquement au moment de l’orgasme ?

Bernard de Montréal :
Au moment de l’orgasme il y a une concentration d’énergie Cosmique sur un plan inférieur de l’être humain, autrement dit, vivre l’orgasme dans une instantanéité, ça équivaut à vivre sur un plan plus vaste l’énergie Cosmique, autrement dit lorsque l’être humain vit l’énergie Cosmique dans le mental, lorsque l’homme vit l’énergie Cosmique dans le corps astral, lorsque l’être humain vit l’énergie Cosmique dans un centre, c’est toujours la même énergie.

Sur le plan sexuel nous appelons cela l’orgasme, autrement dit, l’orgasme c’est la connexion instantanée, très courte de ce centre d’énergie avec cette énergie qu’on appelle l’énergie Cosmique, et c’est le plus près dans l’expérience de l’être humain qui lui permet de vivre l’infinité de l’énergie, sans être affecté par son Ego, c’est pourquoi d’ailleurs c’est si puissant, si plaisant et ainsi de suite.

Richard Glenn :
Est-ce que ça peut être provoqué par le mental de l’être humain ?
Comme je pense aux saints qui sont seuls, sans contact avec une partenaire, et qui atteignent cet état de félicité, de jouissance intense.

Bernard de Montréal :
L’état de félicité du saint se situe au niveau du corps astral, donc sa félicité est d’un autre ordre de félicité, qui est beaucoup plus intense, beaucoup plus grande, beaucoup plus stable, beaucoup plus près du mental, donc beaucoup plus reconnaissante sur le plan de la conscience, donc beaucoup plus élevée et il y a à l’intérieur de cette publicité des expériences phénoménales qui relèvent du contact entre les entités dans l’Astral et l’être humain et ainsi de suite, donc ce sont des expériences qui sont d’ordres différents, mais l’énergie est toujours la même, mais il ne faut pas prendre mes mots et dire que j’ai dis qu’être dans un état de sainteté, c’est la même chose que d’être dans un état d’orgasme…
(Rires dans le public)

Richard Glenn :
Est-ce qu’on peut atteindre un état, une forme de contact qu’on appellerait l’orgasme sur le plan physique, ou de félicité sur le Plan Astral, et un état semblable, mais sur le Plan Mental Pur ?

Bernard de Montréal :
Oui, sur le Plan Mental ce même orgasme existe, si vous voulez employer des termes entre parenthèse, mais c’est d’un autre ordre, l’énergie vécue dans le mental, moi peut être que je le vis çà, cet orgasme dans le mental, mais je déteste cette comparaison… mais le Plan Mental est beaucoup plus vaste encore que le Plan Astral, c’est un plan qui est continu, qui a beaucoup plus de continuité.

Richard Glenn :
Lors de votre fusion… L’énergie est passée un peu comme lorsqu’un homme est en fusion avec une femme, et il y a une énergie passe et ça procrée ?

Bernard de Montréal :
Oui, mais comme je dis, je dois faire attention parce que je déteste les analogies et je sais très bien que… la manifestation de l’énergie cosmique sur le plan sexuel est la plus courte, sur le Plan Astral elle est plus longue, sur le Plan Mental elle est très longue, permanente et continue, donc, un être humain qui vit l’énergie cosmique sur le plan sexuel, il la vit d’une façon très courte, sur le plan astral plus longue, et sur le plan mental elle est continue et permanente, d’ailleurs c’est ça la fusion, et c’est un état, entre parenthèse, d’orgasme permanent… Hé ! (Bernard de Montréal glousse… et le public s’amuse) mais ce n’est pas ce que je veux dire !

Richard Glenn :
Sur le plan physique, atteindre l’orgasme, on en connaît plusieurs techniques, sur le Plan Astral quelles seraient les techniques ?

Bernard de Montréal :
Sur le Plan Astral les techniques… d’ailleurs lorsqu’on parle d’orgasme sur le plan physique on ne peut pas parler d’orgasme sans parler de l’activité astrale, parce que l’être humain vit sa sexualité beaucoup en fonction de son imagination, il y a des humains que se donnent des expériences dans le Plan Astral, il y a des hommes qui vont dans l’Astral et qui préparent dans l’Astral leur activité avant de la vivre sur le plan matériel.

Richard Glenn :
C’est ce qu’on appelle les fantasmes ?

Bernard de Montréal :
Le fantasmes sont un aspect de ceci mais ça va beaucoup plus loin que ça, il y a des êtres qui sont capables d’aller dans le Monde Astral et de préparer tout le scénario de leur activité, même il y a des êtres qui préfèrent vivre leur activité sexuelle dans le Plan Astral que de la vivre sur le Plan Matériel parce qu’elle est beaucoup plus belle, elle est beaucoup plus grande, les corps sont beaucoup lus harmonieux, les êtres sont beaucoup plus grands, il y a bien plus d’intelligence et il y a beaucoup plus d’harmonie entre les couples, mais ces êtres-là sont comptés, il y en a très peu.

Richard Glenn :
Alors qu’elles seraient les techniques justement pour le vivre sur le Plan Astral ?
La méditation ? La prière ? La contemplation ?

Bernard de Montréal :
Ça dépend de l’orientation psychologique de l’individu, ça dépend avec qui il est en contact sur le Plan Astral, parce que pour aller sur ces plans-là il faut être amené là par quelqu’un, il faut avoir un complice, il faut avoir accès à un maître, il faut être en contact avec quelqu’un qui déjà connaît ces mondes-là, on ne peut pas aller dans ces mondes-là sans invitation, on ne peut pas visiter ces mondes-là sans… par ce que c’est très vaste le Monde Astral, on peut facilement se perdre, donc il faut qu’il y ait connivence, qu’il y ait complice. Si un homme par exemple avait, dans le passé, pratiqué une certaine sexualité, très astrale, très sadique... heu… bon… très sadique, très négative, une sexualité très animale.
Automatiquement il aurait la chance d’être en contact avec des entités qui travaillent sur ces plans-là, et qui pourraient l’amener à vivre et à raffiner sa sexualité pour en développer des avantages humains, plus occultes, plus secrets, qui feraient concentrer beaucoup plus d’énergie sexuelle sur la Terre qu’il en est nécessaire.

Richard Glenn :
Mais, Bernard, pour vous qui considérez que l’astral est un monde très, très pollué, vous imaginez peut-être très mal qu’il y ai peut-être aussi l’autre technique qui permet d’entrer en relation avec des maîtres de l’astral, mais pas sur le plan sadique, négatif, mais ça peut être aussi sur le plan très positif…

Bernard de Montréal :
Oui… il y a… mais sur les très hauts plans de l’Astral on ne s’occupe pas de la sexualité, sur les très hauts plans de l’Astral on ne s’occupe pas de la sexualité, sur les plans médians oui, mais pas sur les très hauts plans de l’Astral, là où les grands maîtres sont, dans l’Astral, il y a beaucoup d’autres activités essentielles pour eux, que d’enseigner à l’être humain la sexualité. C’est sur les plans médians qu’on s’occupera de la sexualité.

Richard Glenn :
On relie très souvent les gens qui vivent dans l’Astral aux artistes, les gens qui sont des créateurs, ou qui bénéficient de l’imagination, de la créativité, et on sait que très souvent ces artistes ont manifestations sur le plan biologique, d’une sexualité assez spéciale, aberrante dans toutes sortes de domaines. Comment associer cette créativité positive qui leur vient de l’Astral, à une sexualité marginale par rapport au fait de procréation. Point c’est tout.

Bernard de Montréal :
On parle de sexualité marginale, tout est marginal si cela ne convient pas socialement à une convention culturelle, une convention nationale, le mot marginal n’a pour moi aucune signification particulière, aussitôt qu’un être humain… d’ailleurs tous les êtres humains qui ont moindrement marqué le monde ont été marginaux ! C’est impossible à un être humain qui est suprasensible, ou supra quelque chose de ne pas être marginal, donc les êtres marginaux sont réellement les êtres qui font évoluer l’humanité, naturellement à l’intérieur de la marginalité il peut y avoir une marginalité décadente comme il peut y avoir une marginalité créative, et ceux qui vivent la marginalité décadente font déjà partie de la décadence, ceux qui font de la marginalité créative, font partie de l’autre aspect, mais on ne peut pas… on ne peut pas… bon, il y a tellement de choses à dire…

Une des choses que moi, en tant qu’être humain j’ai réalisé depuis la fusion, c’est qu’il est absolument impossible sur le Plan Cosmique à un être humain de juger un autre humain, et ceci a été dit auparavant par d’autres initiés, et je vais vous dire pourquoi, parce que si on arrive à l’homosexualité et je me servirais de ceci pour expliquer ce que je veux dire :
Nous avons dit au début de la soirée, que l’Esprit est en dehors de la polarité, donc l’Esprit est en dehors du bien et du mal, c’est l’être humain qui est prisonnier du bien et du mal, c’est l’être humain qui dans son expérience qualifie de bien ou de mal selon les coordonnées progressives ou évolutives de sa société, de sa nation, de sa culture, de sa race, qui définit selon les mœurs de son temps ce qui est bien ou ce qui n’est pas bien, mais si nous regardons les choses du point de vue Cosmique, autrement dit du point de vue du Gouvernement Invisible, à ce moment-là tout ce qui se passe dans l’expérience de l’être humain, de l’être planétaire qui n’est pas encore Cosmique, fait partie de l’expérience dans la matière de l’Esprit.

Et un jour vient le point si l’être est suffisamment évolué, où il y a fusion entre l’Esprit et la matière, et lorsqu’il y a fusion entre l’Esprit et la matière le taux vibratoire de l’être change, donc à ce moment-là, la qualité mentale, la qualité astrale, la qualité vitale et la qualité physique de l’être change, donc toute dénomination, toute catégorisation de l’action humaine, en tant qu’expérience, n’est plus soumise aux lois de la pensée humaine, elle est soumise à la dictée télépathique de l’être avec le Cosmos.

Donc à ce moment là, l’être découvre son identité, devient totalement centrique, devient totalement autonome et il est capable de vivre sa vie selon le besoin de son énergie, tout en respectant la nature de la vie polarisée de la civilisation à l’intérieur de laquelle il vit, donc c’est très important dans le cycle qui vient, surtout au 21ème siècle, et d’ailleurs ça nous est imposé de plus en plus d’une façon inconsciente aujourd’hui, ça devient très important pour les humains de la Terre s’ils veulent évoluer, et si les humains de la Terre veulent évoluer ils devront apprendre à regarder l’expérience de l’autre humain, des autres êtres humains et de ne pas les porter en jugement, et s’ils font ceci, il se produit ceci : ils sont obligés d’absorber le choc émotionnel dans leur corps astral, ce choc change la nature de leur corps astral, change leur mental et leur donne une conscience plus grande, c’est-à-dire que ça élargit dans le contexte leur esprit, et lorsque l’esprit est très, très élargi, que la conscience de l’être humain devient très vaste, à ce moment-là l’être humain n’est plus prisonnier des petites constatations marginales, qu’il fait dans son expérience.

Richard Glenn :
Comment parler à quelqu’un qui, s’il voit un homosexuel, voudrait lui planter son poing entre les deux yeux, quelqu’un qui ne peut pas digérer quelqu’un qui n’est pas pareil comme nous ?

Bernard de Montréal :
C’est parce que c’est une personne qui est myope, c’est une personne qui est éprise d’elle-même, c’est une personne qui se prend pour un autre, c’est une personne qui se prend au sérieux, c’est une personne qui manque totalement de maturité.

Richard Glenn :
Oui mais quelqu’un qui vous répondrait : oui mais la sexualité ne sert pas se faire du fun, ça sert à faire des petits… Ça ne fera pas des enfants forts comme on entend souvent.

Bernard de Montréal :
Bon. Ok, ok…
Le point, dans le traitement très délicat de l’homosexualité, il est ici, à ce stade de la conversation. L’être humain découvrira un jour lorsqu’il sera en communication télépathique avec les Plans, les Mondes parallèles, il découvrira que l’expérience humaine sert à l’évolution de l’Esprit, et non pas à meubler le petit esprit de l’être humain.

Autrement dit l’Esprit, un être par exemple qui est homosexuel, il est dans un corps matériel, il vit une certaine souffrance parce qu’il est marginal, il vit dans une société qui rejette son activité, son expérience, et cet être là pourquoi souffre t-il ?

Parce qu’il n’est pas conscient dans son esprit des Lois de son incarnation, s’il était conscient des Lois de son incarnation, s’il savait pourquoi il était homosexuel, pourquoi il est né dans telle famille, pourquoi les conditions de son homosexualité, on lui répondrait de l’autre Plan pourquoi… et donc il serait automatiquement lavé de toute culpabilité, sociale ou personnelle vis-à-vis de cette action, mais en même temps il aurait la maturité, c’est-à-dire l’intelligence de son action, de son activité, et il serait suffisamment mur pour ne pas troubler l’humanité ambiante.

Le problème avec beaucoup d’homosexuels, c’est que beaucoup d’homosexuels ont troublé l’humanité ambiante, et quand on trouble l’humanité ambiante et qu’on fait partie d’une minorité, il est évident qu’on peut s’attendre à des chocs en retour, et si l’homosexuel ne troublait pas l’humanité ambiante, si l’homosexuel était un homosexuel normal comme il y en a d’ailleurs, moi j’en connais des homosexuels qui sont des homosexuels normaux, des gens très bien et je vous dis, quand je parle de gens très bien, je parle dans toutes les sphères de la société humaine, même dans la politique mondiale, il y a des êtres homosexuels qui voilent leur activité parce qu’ils savent, ils reconnaissent qu’ils ne peuvent pas ouvertement dans l’humanité ambiante - qui est extrêmement primitive aujourd’hui sur le plan psychologique - dévoiler leur jeu, et ces êtres-là, ont dans le monde une présence très effective, donc il y a des homosexuels… ah ! Nous respectons Michel Ange !

Alors ? Homosexuel… si c’est Michel Ange ça va !
Mais si c’est le petit bonhomme à côté de chez nous ça ne va plus ! Hein ?
Homosexuel, si c’est un grand bonhomme de l’histoire ça va ! Mais si c’est le bonhomme à côté de chez nous ça ne va plus !
Donc, il y a chez soi une sorte de présomption, il y a chez soi une sorte d’attitude, et tant que l’être humain aura des attitudes vis-à-vis de l’homosexuel, l’homosexuel sera obligé de vivre son expérience et ceci fait partie de son karma, ceci fait partie de sa souffrance et s’il a les clefs et s’il connaît et s’il comprend la relation entre son expérience et son incarnation et son esprit et entre éventuellement en contact avec les Plans qui peuvent bien lui expliquer sa situation, il ne souffrira plus de son homosexualité, et il sera un homosexuel heureux et il sera un homosexuel normal ! Comme il y a des êtres hétérosexuels normaux, il sera un homosexuel normal !

Ce n’est pas à l’être humain subjectivement, culturellement, au niveau de ses mœurs, en fonction de ses principes religieux ou de ses principes statutaires, de dire que l’homosexuel est un être qui est anormal. Il n’y a pas d’anormalité dans la nature ! Il y a dans la nature des aspects qui relèvent d’une décision qui a été prise sur des Plans invisibles avant l’incarnation.

Ça, c’est comme le jeune homme qui vient au monde avec une tête d’eau (hydrocéphalie), le jeune homme qui est totalement difforme, nous, dans la société nous le considérons comme anormal, mais nous allons précieusement essayer de le protéger, nous lui donnons un environnement pour l’aider, mais nous ne faisons pas la même chose pour l’homosexuel, nous n’oserions pas aider l’homosexuel, nous n’oserions pas définir des lois sociales, des lois psychologiques ou des principes quelconque de vie sociale pour ces êtres-là, parce que déjà ces êtres-là ne sont pas anormaux dans un sens physique, mais ils vivent une anormalité qui n’est pas psychologiquement anormale.

C’est-à-dire qu’ils vivent en dehors des lois du déterminisme biologique, et ceci fait partie de leur karma, ça fait partie de leur expérience, et si eux peuvent le vivre, vivre cette expérience sans être troublés dans l’émotionnel et dans le mental, ils vivront très bien leur expérience, parce que c’est absolument nécessaire, c’est absolument essentiel qu’il y ait dans une civilisation de l’homosexualité, c’est impossible et d’ailleurs il n’y a jamais eu de civilisation sur la Terre qui n’a pas eu son homosexualité, les Hindous ont eu leur homosexualité, les Indiens ont eu leur homosexualité, les Grecs, les Romains !
Toutes les civilisations de la Terre ont eu leur homosexualité !

Pourquoi ?
Parce que l’homosexuel est le lien entre l’homme et la femme, il est cette présence dans la matière qui permet temporairement, pendant l’involution, que l’énergie de la femme passe vers l’homme et que l’énergie de l’homme passe par la femme, ça c’est sur le Plan Cosmique, donc l’homosexuel a une fonction cosmique sur la Terre, mais lui en tant qu’individu il ne la voit pas, il ne la connaît pas, donc comment la souffre-t-il ?

Il la souffre en relation de son déterminisme biologique, qui est confronté à un déterminisme biologique qui est universellement contre lui, donc il n’est pas capable de logiquement prendre possession de son expérience, et tant que l’homosexuel ne prendra pas possession de son expérience, il sera assujetti au jugement d’une société ou d’une humanité ambiante, qui, à cause de son nombre, de sa majorité, aura le droit de juger en chef son comportement psychologique.

Richard Glenn :
Là je pense que ça clôt assez clairement pour l‘homosexualité.

Bernard de Montréal :
Ça vous donne un peu l’idée

Richard Glenn :
Maintenant si tout est normal, que penser de la pédophilie ?

Bernard de Montréal :
La pédophilie ?

Richard Glenn :
Les adultes qui s’intéressent à des enfants.

Bernard de Montréal :
Dans quel sens ?

Richard Glenn :
Euh…laissez venir à moi les petits enfants, c’est-à-dire ceux qui retrouvent ou qui recherchent la présence des enfants pour… une initiation sexuelle précoce…

Bernard de Montréal :
Il y a dans toute expérience, toute expérience, de la maturité ou un manque de maturité, ça, c’est un point commun.
Il y a dans toute expérience un ajustement qui doit être fait au niveau du corps astral, ce genre d’expérience dont vous parlez n’est pas plus différent que l’autre genre d’expérience par exemple où le type va dans un magasin et se sent obligé de voler, alors le type qui va dans un magasin, qui est attiré à prendre quelque chose et de le mettre dans sa poche, il est poussé par la même énergie que le bonhomme qui va vers le jeune, il ne s’agit pas pour nous de juger ces êtres-là, il s’agit pour nous de leur faire comprendre, il s’agit pour nous d’avoir une science psychologique du mental, qui puisse éventuellement altérer la vibration de leur corps astral, pour qu’il ne puisse plus résonner à cette énergie, donc en être libérés.

C’est ça de la psychologie ! En attendant que nous ayons des écoles ou des Universités ou des psychologues, ou des psychiatres ou des éducateurs qui connaissent les Lois de l’énergie, les Lois de l’esprit, à ce moment-là nous sommes obligés de traiter avec ces gens d’une façon légaliste et automatiquement nous empiétons dans le domaine de leur expérience, pour le bénéfice d’une humanité ambiante, pour sauvegarder les mœurs d’une société et c’est le rôle de la société de se protéger, mais c’est le rôle de l’individu de comprendre son prédicament, donc les gens qui sont tels que ceux que vous me décrivez, ces gens devraient, parce qu’aujourd’hui il y dans le monde… moi je suis un individu dans le monde qui parle, il y a des individus dans le monde qui offrent d’expliquer ce qui ne se comprend pas au niveau de leur psychologie, donc si ces gens ont besoin de comprendre leur nature, parce qu’il ne faut pas s’imaginer que le type qui est pédophile est heureux de faire ce qu’il fait.

Il faut s’asseoir avec lui et réaliser qu’il vous dira quelque part durant la conversation, qu’il n’est pas capable de s’empêcher, il n’est pas capable de s’empêcher ! Il est poussé vers ces jeunes, donc s’il est poussé vers ces jeunes il est poussé par des forces ! S’il est poussé par des forces, il y a un contact astral entre lui et ces forces, donc ce contact doit être brisé, mais nous n’avons pas de psychologie !

Nous n’avons pas de science psychologique du mental pour expliquer à l’être humain cette condition et briser le lien entre l’astral et lui, donc la situation de ces êtres est une situation d’expérience, c’est une situation karmique, ça fait partie de l’évolution de leur esprit et ça fera partie un jour de l’évolution de la société humaine, de comprendre les Lois occultes de la psychologie humaine, afin de libérer finalement une fois pour toutes l’être humain de toutes les contraintes psychologiques qu’il connaît et qu’il vit parce qu’il ne connaît pas les Lois de son esprit, il ne connaît pas les Lois de l’âme, il ne connaît pas les Lois de l’Ego, il ne connaît pas les Lois de la mémoire, çà, ça fait partie de l’évolution de la nouvelle société.

Richard Glenn :
Quand vous dites tantôt, il ne peut pas s’en passer, ça peut très bien s’associer aussi aux hétérosexuels, les hommes qui disent moi ça me prend… une femme de même…

Bernard de Montréal :
C’est la même chose, c’est la même chose !
Moi je me rappelle, j’avais fait un séminaire où j’avais reçu cette dame qui pleurait, qui était absolument dépourvue et qui me disait : « Mon mari, ça n’a pas de sens… il vient à la maison à 11h le matin, moi je suis dans la cuisine, il baisse ses culottes, à 3h de l’après-midi il revient à la maison, je suis dans la cuisine et il baisse ses culottes, il baisse ses culottes six, sept fois par jour… ! »

Donc lui, il était en proie à la même énergie, seulement il était déjà protégé parce que dans la société hétérosexuelle, c’est normal, et c’est peut être bien vu dans certains quartiers, que l’homme puisse faire vibrer sa femme aussi souvent dans une période aussi courte.
(Rires du public)

Richard Glenn :
La chose peut être l’inverse aussi, il y a des femmes qui en ont besoin très souvent.

Bernard de Montréal :
Très juste, très juste.

Richard Glenn :
Mais alors qu’est-ce que ça signifie qu’il y ait des gens qui ont vraiment souvent besoin, et d’autres, qui en ont à peu près jamais besoin ?

Bernard de Montréal :
Parce que la surexcitation du Corps Astral fait partie aussi de l’expérience, un être humain qui est… un être humain qui entre moindrement, le moindrement dans une conscience supérieure se voit automatiquement, naturellement désinvesti de cette capacité sexuelle désordonnée, automatiquement, d’ailleurs moi je sais, je fais des séminaires, et je vois des gens qui viennent me voir quelques temps par la suite et qui me disent que leur activité sexuelle, leur appétit sexuel s’est un peu radouci, ils ont pris un peu de recul, ils ne vivent plus de la même insécurité psychologique vis-à-vis de leur sexualité, donc… c’est un ajustement du corps astral.

Vous savez, le problème de l’être humain sur la Terre, ce n’est pas dans le fait, ce n’est pas seulement dans le fait qu’il ne se comprend pas, c’est dans le fait qu’il est fait de principes vibratoires, qu’il est fait de certaines énergies, le mental c’est un champ de forces, le corps astral c’est une champ de forces, le corps vital c’est un champ de forces, et ces champs de forces s’ils sont le moindrement désaxés, le moindrement désordonnés dans leur vibration imposent sur l’Ego une très grande souffrance, et il faudra un jour que la psychologie soit suffisamment avancée pour pouvoir traiter, non pas d’une façon chimique mais d’une façon verbale, de ces extrêmes de température, de ces extrêmes d’activités, pour que l’être humain puisse vivre une vie normale, vous pensez que l’être humain qui doit venir chez lui 7 fois par jour, qui doit laisser son travail pour voir sa femme dans la cuisine, vous pensez que lui il est heureux ?

Evidemment il vibre, mais il sait très bien qu’il a un problème psychologique quelque part, mais le pire, c’est que ce n’est pas un problème psychologique, c’est un problème Astral qui devient un problème psychologique ! La même chose avec l’homosexuel ! La même chose avec le pédophile !

Le problème, il devient psychologique parce qu’il n’est pas compris, mais au début c’est un problème Astral, c’est une surexcitation du Corps Astral, et avec la surexcitation du Corps Astral vous avez une télépathie inconsciente entre l’Astral et l’être humain - que j’appelle la pensée subjective inconsciente - et automatiquement, le cirque commence, et regardez dans les annales de la criminologie, à tous les niveaux, dans ses aspects les plus bénins jusque dans ses aspects les plus sensationnels, vous verrez qu’il y a toujours une activité Astrale qui n’est pas sous le contrôle de l’Ego, et c’est pourquoi l’être humain fait partie de ce que j’appelle l’involution, et que l’être humain doit aller vers l’évolution, là où il pourra avoir un mental, un astral, un vital et un physique qui sont totalement ordonnés, donc à ce moment-là, il entrera dans une nouvelle conscience.

Richard Glenn :
Peut-être que dans tout ce qui pourrait être marginal, ce qui est le plus marginal entre tout, c’est peut- être les transsexuels, ceux qui dans leur essence, dans leur intimité propre, dans leurs hormones ne se sentent pas dans leur peau, s’ils sont nés homme ils se sentent femme, et s’ils sont femme ils se sentiraient mieux en homme.
Qu’est-ce que c’est qui se passe dans ce cas là ?

Bernard de Montréal :
Chez le transsexuel, il y a une affinité astrale pour le bien-être sexuel femelle, autrement dit, chez le transsexuel il y a une conscience astrale qui s’imprime sur son centre sexuel et qui lui donne le bien-être de la femme ou le bien-être de l’homme, et où situe le bien-être de l’homme ?
Il se situe dans son pénis, où se situe le bien être … je vais continuer sur ce que je dis, parce que ce n’est pas fini, et je dois expliquer à la longue, le bien-être de l’homme vis-à-vis du Corps Astral se situe dans son pénis, le bien-être de la femme vis à vis de son Corps Astral se situe aussi dans sa partie sexuelle, alors le transsexuel lui, est très, très sensible par le biais du Corps Astral à ce bien-être, donc il y a une connexion extrêmement vitale, extrêmement électrique, entre ce centre d’énergie astrale et le centre sexuel, donc le transsexuel lui, se sent constamment poussé à vivre l’autre rôle, ça fait encore partie du débalancement du Corps Astral, ça s’explique, il peut le comprendre, mais pour neutraliser cette connexion-là, il faut qu’il change de connexion mentale, il faut qu’il change de partenaire, de complice dans l’astral, parce que les humains sont beaucoup plus dominés par l’astral qu’ils le pensent, j’ai déjà expliqué, d’ailleurs c’est la fondation de mon instruction dans le monde Occidental, que la nature même de l’intelligence humaine et consciente est régie par des Intelligences Astrales, donc l’être humain inconscient n’a aucun pouvoir sur son cerveau, son pouvoir mental est le résultat d’une communication télépathique, subliminale, entre son cerveau et ces Intelligences-là, c’est seulement lorsque ceci est brisé, que l’être humain entre dans son intelligence, et qu’il peut à ce moment-là, comprendre tous les aspects de lui-même.

Richard Glenn :
Donc en fin de compte, quelle que soit la révélation sexuelle que vit l’être humain sur Terre, il se retrouve à passer au niveau supérieur dans l’androgynat, sans sexualité mâle/ femelle, sans polarité yin/yang, c’est l’unité.

Bernard de Montréal :
Sur les autres Plans en dehors de l’Astral, oui il n’y a pas de polarité, il ne peut pas y avoir de polarité dans le Plan Mental, parce que le Plan Mental ne s’exécute pas dans la matière comme le Plan Astral s’exécute dans la matière, donc l’être humain qui est dans sa conscience Supramentale, qui a une conscience Supramentale ne se voit pas en tant qu’humain, il se voit en tant qu’être dans un corps mâle ou il se voit en tant qu’être dans un corps de femme, donc à ce moment-là il ne souffre pas de la polarité, et il peut très bien comprendre l’un ou l’autre.

Richard Glenn :
Bernard, il reste à peine 5 minutes dans cette deuxième heure sur la sexualité, et la 3ème heure sera consacrée aux interventions du public qui seront faites par écrit, pendant la pause, question de répondre très intimement à des questions très personnelles qui viennent du public en général, je pense qu’on a réussi à faire un bon tour d’horizon sur les manifestations de la sexualité…

Bernard de Montréal :
Vous savez que la sexualité… la sexualité… le phénomène humain, le phénomène humain c’est très vaste, très vaste, et je demande aux gens qui m’écoutent, soit à la télévision ou de n’importe quelle façon, de toujours prendre en considération, que si on ne me comprend pas à l’intérieur d’un terme, à l’intérieur d’une section, de paroles expliquées, qu’on revienne à moi d’une façon ou d’une autre plus tard, pour que j’explique, parce qu’il est absolument impossible à l’être humain de parler d’une façon permanente de la nature de l’être humain, du phénomène humain sans parler très, très longtemps…

Parce que l’esprit ne peut pas fonctionner comme l’intellect, l’esprit fonctionne d’une façon synthétique très rapide, tandis que l’intellect lui, fonctionne au niveau de la mémoire, donc si nous parlons surtout de la sexualité, si nous commençons à ouvrir un voile, ou dépasser le voile sur la sexualité, il est évident que les gens devront écouter très, très longuement ce que nous devons dire, parce que même moi, j’apprends quand je parle, donc il est évident que l’être humain doit apprendre à écouter avant de tirer des conclusions sur des mots qui souvent ne sont pas très bien…formés, parce qu’il y a trop de pression qui pousse derrière.
Alors, nous devons être patients, si nous allons bien comprendre les phénomènes extraordinairement complexes et très simples en même temps de la sexualité humaine. Il y a beaucoup à dire…..

Richard Glenn :
Sans préjugés.

Bernard de Montréal :
Il faut toujours être sans préjugés.

Richard Glenn :
Sauf en ce qui concerne la destruction au lieu de la créativité

Bernard de Montréal :
Oui, mais les gens sont suffisamment intelligents pour réaliser la différence entre les deux.

Richard Glenn :
Merci, Bernard de Montréal.

Ω Ω Ω Ω Ω ΩΩ

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Commentaires
Hommage à Bernard de Montréal
  • Bernard de Montréal. psychologie évolutionnaire, psychisme, évolution, satan, lucifer, involution , mensonge cosmique, planète Terre, humanité, extraterrestres, nations, astral, conscience, mental, surmental, supramental, conscience , fin de cycle
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