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Hommage à Bernard de Montréal
16 novembre 2017

le temps des révélations partie 3

 

Richard Glenn :
Ça s'intitulait les temps de la révélation, c’était pour nous je pense ce soir, non seulement un exposé sur les temps de la révélation mais ce fut même, une révélation, les propos de Bernard ce soir.
Peut-on par l’imagination transformer la réalité, amener la concrétisation d’évènements que l’on veut ou que l’on sait possibles ?

Bernard de Montréal :
C’est une question qui est vaste, d’abord il faut comprendre ce qu’on entend par imagination, l’humain ne sait pas ce qu’est l’imagination, tout ce qui est imaginable pour l’humain c’est ce qu’il peut produire au niveau de son corps mental inférieur aidé de la vision astrale qui est projetée sur son écran. Si l’humain était conscient de la nature de ce qu’il appelle son imagination, il verrait que le pouvoir de déterminer certains évènements en relation avec son psychisme, est un pouvoir qui est lié, et qui fait partie de l’orientation psychologique de son devenir au niveau de l’ego, et que tout aspect de l’imagination qui sert à créer dans l’expérience de l’humain une condition de pouvoir, une condition d’orientation liée à sa volonté, fait partie de l’organisation matérielle de son énergie, en relation avec une force qu’il ne connaît pas, dont il ne connaît pas les intentions, mais dont lui au niveau de l’ego, doit subir au niveau de son expérience, la valeur expérientielle.

Parler imagination - pour orienter les exigences de la vie - c’est parler d’une façon psychologique, interpréter le rôle de l’imagination dans l’organisation matérielle des exigences de la vie, en relation avec une faculté qui est compréhensible sur le plan vibratoire d’où provient l’énergisation du corps mental de l’humain en relation avec l’âme, à ce moment-là, c’est plus précis et ça permet de comprendre les rapports éventuels de son pouvoir mental sur la matière ou sur les évènements de la vie, dans un cadre qui est beaucoup plus vaste et qui éventuellement se détache de son ego.

Richard Glenn :
Est-ce que la mission d’Hitler d’éliminer les juifs était inspirée par des êtres supérieurs pour l’évolution de l’humanité ?

Bernard de Montréal :
La mission d’Hitler pour l’élimination des juifs faisait partie de la grande illusion de la conscience astrale d’Hitler qui était effectivement infectée par des vibrations venant des plans astraux négatifs, et qui servaient à promulguer sur la Terre une essence du mal, afin d’empêcher l’humain de reconnaître la réalité de l’ésotérisme profond de la conscience universelle.

Richard Glenn :
N’est-ce pas qu’à un moment donné, les planètes du système solaire seront transformées en comètes d’énergie négative ?

Bernard de Montréal :
Je n’ai rien compris, mais il faut que je revienne à ce que je disais, vous permettez un instant.
Le phénomène Hitlérien, le phénomène nazi, est occulte, seulement les hauts nazis le savaient, et le phénomène lui-même était directement lié à l’évolution de l’humain et au karma de l’humanité et dans cette exploitation des souffrances de l’humanité, beaucoup de karma a été vécu, et ça c’est une des raisons pour laquelle le phénomène Hitlérien s’est produit au 20ème siècle, mais derrière ces raisons il y a d’autres raisons qui sont d’ordres totalement occultes et qui font effets de la puissance de certaines forces dans les plans astraux inférieurs qui ont un pouvoir énorme sur l’intelligence de l’humain et qui ont la capacité de totalement déformer son intention, et aussi de tellement colorer son savoir supérieur, c’est ce qui est arrivé à Hitler, ils se sont servis de lui pour des fins qui étaient cosmiques et à la dernière minute, ils l’ont laissé tomber parce qu’il a effectivement perdu la guerre. 

Richard Glenn :
N’est-ce pas qu’à un moment donné, les planètes du système solaire seront transformées en comètes d’énergie négative ?

Bernard de Montréal 

C’est une question intéressante.

Les planètes du système solaire seront transformées éventuellement en planète d’énergie négative seulement lorsque la 7ème race aura détourné son regard de l’homme, c’est-à-dire lorsque la 7ème race sera prête pour l’évolution Jupitérienne, à ce moment-là tous les aspects matériels du système solaire seront retournés contre eux-mêmes et l’on évoluera dans la conscience Jupitérienne et ils seront capables à la fois d’interroger à la fois sur le plan Jupitérien, sur le plan saturnien et sur le plan morontiel de Saturne avec mars, toutes les conjonctions possibles de l’évolution d’un autre système solaire, qui sera éventuellement initié pour permettre qu’il se construise dans un lieu local de l’espace, une temporanéité parallèle à l’évolution de toutes les forces qui doivent éventuellement redonner à l’humain le pouvoir de la transcendance cosmique ce qui fera de l’humain un seigneur des mondes.

Richard Glenn :
Je le prends pas sur papier, mais j’ai plusieurs personnes qui me demandent, mais…qu’est ce qui vous dit ça ?
(Rires du public.)

Bernard de Montréal :
Je l’ai lu dans un livre.
(Rires du public.)

Richard Glenn :
Alors je peux vous demander le titre du livre ? Non, mais ça intéresse quand même : Vous avez remarqué au début de la soirée, plus de la moitié des gens qui sont ici ce soir, sont venus pour la 1ère fois. Alors, qui est Bernard un peu là ? Comment se fait-il que vous pouvez parler de cette façon là de ces choses-là, et voilà, on parle de la 6ème race qui vient et déjà on a une réponse pour la 7ème race…

Bernard de Montréal :
Chacun ses problèmes.
(Rires du public).

Richard Glenn :
Mais, on se sent un peu concerné par tout cela !

Bernard de Montréal :
On se sent concerné lorsqu’on pense.

Richard Glenn :
Pensez-vous ?

Bernard de Montréal :
Non.

Richard Glenn :
Mais vous savez que la plupart des religions sont toutes parties à partir d’un gars qui avait le verbe facile et dont plusieurs ne comprenaient pas tout à fait ce qu’il disait, mais il disait…

Bernard de Montréal :
Quand ce sera le temps je ferais de notre ami Glenn le premier grand prêtre d’une nouvelle race !
(Eclats de rire du public.)

Richard Glenn :
Et voilà, c’est parti !

Bernard de Montréal :
Les machiavélitudes du temple…

Richard Glenn :
Expliquez-nous le corps morontiel.

Bernard de Montréal :
Le corps morontiel c’est un corps de lumière qui est créé par la descente de l’énergie de l’âme sur le plan éthérique, lorsque l’énergie de l’âme descend sur le plan éthérique elle accumule graduellement les forces de ce plan-là et construit ce qu’on appelle le corps morontiel, éventuellement le corps morontiel devient le corps secondaire de l’humain, en fait il devient le corps primaire de l’homme, mais il devient le corps secondaire de l’humain si on considère l’humain comme une espèce biologique matérielle, et avec ce corps morontiel l’humain est capable de voyager , de se déplacer dans les mondes et de participer à l’évolution des mondes invisibles.

Richard Glenn :
Existe-t-il dans tous l’univers, d’autres planètes semblables à la Terre qui ont une vie comme celle de la planète Terre ?

Bernard de Montréal :
Non. La planète Terre est une planète particulière, comme toutes les planètes ont leur particularité, il n’y a aucune planète dans l’univers qui est semblable à l’autre, parce que toutes les planètes sont déterminées dans leur vibration par l’intelligence parfaite des Alephs et il n’y a pas de reproduction, même les corps humains sont discernables dans leur formation différente, et si vous regardez sur les plans, les différentes races qui viennent de différentes galaxies, ils ont tous des variations.

Richard Glenn :
Là, vous avez dit des mots, les Alephs ? C’est quoi ?

Bernard de Montréal :
Les Alephs sont les composantes éternelles de tous les attributs qui constituent sur le plan humain : Ce qu’on appelle Dieu.

Richard Glenn :
Le paradis ?

Bernard de Montréal :
Le paradis, non. Les Alephs ne sont pas au paradis, le paradis est une condition spatiale absolue créée par l’énergie de l’esprit, pour constituer d’une façon absolue, au-delà de tous les plans, des lieux spatiaux absolus pour l’éternisation des activités de l’âme.

Richard Glenn :
Combien d’Alephs se sont manifestés ?

Bernard de Montréal :
Trois.

Richard Glenn :
Bravo, 10 sur 10. Combien y a-t-il d’Alephs en tout ?

Bernard de Montréal :
7.

Richard Glenn :
Comment s’appellent les trois premiers Alephs - page 8 

Bernard de Montréal :
L’Amour, la Volonté, l’Intelligence.

Richard Glenn :
Exact. (Rires du public) Ce n’est pas vrai on est rendu bas… !
Ici, une très bonne question quand même : Quelle différence y a-t-il entre le bien et le bon ?

Bernard de Montréal :
Grande différence entre le bien et le bon, le bien est intelligent, le bon est sentimental et lié à l’activité astrale de l’humain, le bien est intelligent et le bien n’est pas nécessairement bon...

Richard Glenn :
Le jour où à partir du verbe ça descend sans le vécu, c’est là que ça sert à quelque chose.
Quels sont les moyens pour entrer en communication avec l’âme ?

Bernard de Montréal :
Il n’y a pas de moyens, l’âme est toujours là, il s’agit seulement d’ouvrir l’esprit et de substituer les mécanismes de l’ego qui retardent la pénétration de l’énergie de l’âme dans l’ego. Les gens ont, à un moment ou à un autre de leur vie, certaines sensibilités qui leur permettent de rejoindre l’énergie de l’âme mais l’ego est toujours là qui fait interférence. C’est pour cela d’ailleurs que la valeur des religions, la valeur de la prière, la valeur de différentes méthodes de spiritualisation qui permettent à l’ego de se sensibiliser petit à petit à cette énergie-là, mais ce n’est pas la fin, c’est le début.

Richard Glenn :
Que signifie l’expression : Le feu sacré ?

Bernard de Montréal :
Le feu sacré c’est la condition suprême de toute correspondance entre l’universel matériel et l’universel absolu. Le feu sacré c’est la descente de l’énergie en rapport avec les différents plans qui sous-tendent les exigences de l’intelligence de ces feux, selon la conscience des individus et des races qui sont en évolution. Un humain qui vit dans le feu sacré est un humain qui est parfait. Etre parfait ne veut pas dire être parfait… être parfait veut dire avoir atteint un niveau d’harmonie entre l’ego et l’âme, suffisamment grand pour empêcher que l’ego s’astralise et retourne éventuellement vers la matière.

Richard Glenn :
Evitez s’il vous plaît d’avoir des questions qui sont trop longues… j’en prends une ici qui dit clairement :
Le Christ reviendra-t-il ?

Bernard de Montréal :
Le Christ est déjà sur le plan éthérique.

Richard Glenn :
Son corps glorieux c’est ça…

Bernard de Montréal :
Mais oui.

Richard Glenn :
C’est ce que d’autres appellent le corps morontiel ?

Bernard de Montréal :
C’est juste, mais il ne viendra pas sur la rue Ste Catherine.

Richard Glenn :
Quand l’esprit se réincarne-t-il ? Dans le fœtus ? A la naissance ? Au premier cri ?
Et je rajouterai au premier souffle de vie ?

Bernard de Montréal :
L’ego, voulez-vous dire…

Richard Glenn :
C’est ça, ici est mentionné l’esprit.

Bernard de Montréal :
Ce n’est pas pareil, il y a une différence entre l’ego et l’esprit, et l’âme. L’âme ne s’incarne pas, l’âme elle est constamment sur tous les plans en action, elle est toujours présente, l’âme est libre de l’espace, mais l’ego lui s’incarne et lorsqu’il est prêt, lorsque le fœtus est prêt à sortir de l’enveloppe matérielle, c’est à ce moment-là que l’âme se fait savoir et que l’ego est en évolution.

Richard Glenn :
Question pratique : l’avortement ?

Bernard de Montréal :
Je n’y touche pas en public.

Richard Glenn :
C’est rare que ce soit en public de toutes façons…

Bernard de Montréal :
Je ne parle pas de l’avortement en public parce que les gens ne sont pas objectifs, les gens ne savent pas par eux-mêmes suffisamment, pour pouvoir prendre la responsabilité de ce qu’ils feraient s’ils le savaient, et au lieu de troubler l’esprit des gens il vaut mieux que les gens continuent à vivre leur vie selon les moyens qu’ils ont à leur disposition pour interpréter le phénomène selon leur conscience personnelle et leur moralité.

Richard Glenn :
Et l’euthanasie dans le cas d’un cancéreux qui souffre et que l’on sait qu’il va inévitablement mourir ?

Bernard de Montréal :
C’est le même phénomène au niveau de l’euthanasie, l’humain n’est pas prêt, l’humain moderne n’est pas prêt encore à pouvoir publiquement recevoir des données concernant ce qui touche à la vie et à la mort, et ce qui colore les activités de ceux qui sont rapprochés de ces activités-là, alors c’est pour cela que je ne parle pas d’euthanasie et de l’avortement en public, dans des séminaires personnels ça va, mais en public ce n’est pas bon.

Richard Glenn :
Il y a une nuance ici qui serait intéressante à apporter c’est la fausse couche ? C’est naturel ?

Bernard de Montréal :
Oui, c’est naturel. Alors personne ne prend le blâme, il n’y a pas de culpabilité, c’est raisonnable, il n’y a pas d’intervention directe de l’humain, autrement dit le code moral n’est pas touché.

Richard Glenn :
Mais sur le plan cosmique, est-ce qu’il y a eu un être incarné dans le fœtus ?

Bernard de Montréal :
S’il y a fausse couche c’est parce que les corps ont été mal construits, et si les corps ont été mal construits alors à ce moment-là ils ne peuvent pas suffisamment vibrer à l’énergie de l’âme qui descend, et ils doivent être remplacés et reconstruits dans une autre incarnation. C’est un mauvais job.

Richard Glenn :
Puisqu’on dit que le peuple hébreu est le peuple choisi, pourquoi est-il si lourd à s’élever spirituellement ? Ne croit-il pas à la vie après la mort ? Mais est plus attaché à tout ce qui est matérialité.

Bernard de Montréal :
Le peuple hébreu a perdu la vision initiatique de ceux qui lui ont donné naissance, sur le plan spirituel et sur le plan occulte, le peuple hébreu a perdu contact avec la destinée de sa conscience raciale, le peuple hébreu n’est plus dans le secret de ce qui donne aux races le pouvoir de se reconnaître, et automatiquement toute race qui perd le droit et la capacité de se reconnaître éventuellement tombe dans l’ignorance de son pouvoir matériel, c’est une condition naturelle de la décadence spirituelle des races, et de l’avortement éventuellement des plans cosmiques liés à ces races.

Richard Glenn :
Le peuple hébreu choisi de Dieu sera abandonné par Dieu comme le Christ l’a été sur la croix.

Bernard de Montréal :
Quand on dit que le peuple hébreu est choisi de Dieu, on ne veut pas dire qu’il est choisi de Dieu, on veut dire que le peuple hébreu a eu un mandat quelconque sur le plan cosmique en relation avec l’évolution de la race humaine, on ne peut pas se servir de Dieu à toutes les sauces, le peuple hébreu a eu des contacts avec les extraterrestres dans le passé, et ce que vous appelez Jéhovah fait partie de ces contacts.

Richard Glenn :
Elohim aussi ?

Bernard de Montréal :
Parlons pour le moment de Jéhovah : Je veux ajouter quelque chose.
Je veux ajouter que par le passé, il y a eu des confrontations entre les forces de l’humain et les forces universelles, cosmiques, les interplanétaires, il y a eu aussi des unions pour le bénéfice de l’humanité, l’évolution de l’humanité, mais le plan de ces unions était caché à l’humain, il était connu des initiés qui entraient en contact avec eux, mais tant que l’humain est en involution et tant qu’il doit savoir de l’extérieur, il est obligé d’absorber une certaine quantité de symboles pour qu’il puisse avec le temps stabiliser l’évolution psychologique de sa race, et éventuellement développer certaines propensités pour le mystère de sa race, et c’est ce qui a donné au peuple hébreu la qualité qu’il possède, mais à un certain moment, lorsque la conscience de la race est trop éprouvée dans ce sens que la race n’est pas capable de soutenir le regard intérieur de ceux qui travaillent sur les autres plans pour l’éduquer et lui donner une certaine évolution dans le temps historique, cette race au niveau de la conscience perd de sa vision intérieure et éventuellement elle tombe dans le matérialisme. Il ne faut pas toujours parler de Dieu lorsqu’on parle de religions, il y a beaucoup trop d’autres choses dans le cosmos, les mondes sont tellement vastes, et les conditions des relations entre les races planétaires et les forces intelligentes dans l’évolution, nous donnent sur le plan humain à cause de la myopie de notre savoir, des symboles qui pour nous autres deviennent absolus mais qui en réalité ne sont que des symboles relatifs à être éventuellement changés pour d’autres symboles plus absolus.

Richard Glenn :
D’après vous, qu’est ce qui pourrait être le pire châtiment pour l’être humain ? Dans son évolution.

Bernard de Montréal :
Le pire châtiment de l’humain c’est la destruction de l’âme, la pire peine de l’être l’humain c’est l’activité qui régit son retour à l’astral après le suicide. La pire peine parce qu’il est prisonnier du temps pour une très longue période et ne peut pas voir le moment où il pourra en sortir, et en général il est resitué avec des egos qui sont de très basse trempe, de là la grande souffrance, et le pire châtiment c’est la destruction de l’âme mais à ce moment-là l’ego n’est pas impliqué.

Richard Glenn :
Beau dessein…

Bernard de Montréal :
C’est le suicide.

Richard Glenn :
Le Christ ?

Bernard de Montréal :
Il ne faut pas comparer un initié avec un autre. Un initié est régi par des vibrations, il n’obéit qu’aux vibrations et en obéissant aux vibrations il est dans la loi de l’esprit, de la Volonté et de l’Amour, il est incapable de mal, ni sur le plan personnel, ni sur le plan cosmique et il est incapable de karma parce qu’il n’a pas de personnalité. Le Christ était en conscience pré-personnelle, c’est pour cela qu’on dit très souvent de lui qu’il a vécu sur le plan matériel, l’effusion, et toute effusion est sous-tendue par un lien parfait entre le cosmique absolu et l’incarnation matérielle.

Richard Glenn :
Y en a-t-il eu d’autres que le Christ ?

Bernard de Montréal :
Il y a eu beaucoup d’initiés…

Richard Glenn :
Des noms ?

Bernard de Montréal :
Il y en a eu beaucoup d’initiés…

Richard Glenn :
Ceux qu’on nomme des saints, St Jean de la croix et…

Bernard de Montréal :
St Jean de la croix n’était pas un initié, les saints ne sont pas des initiés, ce sont des êtres qui vivent un certain karma pour spiritualiser la conscience de l’âme en relation avec l’ego qui n’est pas encore défini.

Richard Glenn :
Bouddha ?

Bernard de Montréal :
Bouddha était un initié, mais dans un sens autre qu’on le comprend. Bouddha c’était un mystique, c’était un initié… Pour moi le mot initié veut dire une chose, qui n’est pas ce que les gens comprennent : Un initié c’est un être qui n’a pas de libre arbitre, qui est libre, c’est un être qui a fait le don de sa personnalité pour qu’il se fasse - entre lui et les plans supérieurs - un canal, c’est ça pour moi la définition d’un initié. Par contre il y a des maîtres, les maîtres sont des êtres qui ont la faculté de sentir en eux, la spiritualité à un très haut niveau, et de donner à l’humain par des mots, la qualité mentale de cette spiritualité. Il y a une grande différence entre les maîtres et les initiés, les maîtres ont leur personnalité, ils ont le droit de garder leur personnalité, ils ne perdent pas le libre arbitre, mais les initiés doivent perdre le libre arbitre, ils doivent faire le don de la personnalité parce que c’est la seule condition qui permet à un être de devenir un être descendant et d’assumer la tâche totale de son mandat sur une planète, sans reprocher à ceux avec lesquels il travaille la souffrance dont ils sont victimes.

Richard Glenn :
On parlait tantôt de ce qui serait du pire châtiment pour l’humain, maintenant quel serait le plus grand cadeau, si on veut… ?

Bernard de Montréal :
Le plus grand cadeau comme vous l’appelez, pour l’humain, c’est la conscience, la conscience c’est l’état d’esprit qui permet à l’humain d’être libre, et d’avoir accès à des mondes parallèles à la matière, éventuellement de développer le pouvoir de la volonté qui provient de l’âme et qui lui permet d’immortaliser son corps matériel, afin de pouvoir travailler sur d’autres plans et d’autres mondes. La conscience c’est la finalité de l’humain, et la conscience est le point le plus total de l’humain, c’est dans la conscience universelle que l’humain devient total, c’est dans la conscience universelle que l’humain cesse d’être humain, et qu’il devient ce qu’on appelle surhumain, autrement dit qu’il appartient à une autre race et qu’il n’est plus déterminé dans ses actions et ses activités par les lois qui régissent l’évolution de la civilisation.

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Commentaires
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