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Hommage à Bernard de Montréal
22 décembre 2017

Et le Verbe s'est fait chair première partie

Richard Glenn
Et le Verbe s’est fait chair la fameuse formule que le Christ utilise, est-ce que le Verbe ce n’est pas le contact entre l’Esprit, le grand Esprit, l’Esprit et la chair qui est la matière qui est en nous, qui vit à travers nous, alors ce contact entre l’Esprit et la matière c’est le Verbe, je pense que c’est un spécialiste de l’utilisation du Verbe, alors j’aimerai que tu nous transposes cette formule « et le Verbe s’est fait chair » à la manière de Bernard contacté par le supramental.

Bernard de Montréal :
Bon, d’abord ne vous occupez pas de ma gueule parce que je suis très fatigué. Mais je suis de bonne humeur.
Bon, le Verbe s’est fait chair cela veut dire trois choses, d’abord le verbe c’est ce que vous les humains vous appelez Dieu, deuxièmement le Verbe c’est ce que les humains connaitront comme étant l’organisation totale de l’Intelligence dans le cosmos, ce qu’on appelle L’Esprit. Le Dieu s’est fait chair, veut dire la pénétration de l’Esprit dans la matière.
Le Verbe s’est fait chair, c’est une parole ésotérique, ou occulte, une parole réelle plutôt, qui permet à l’humain de reconnaitre le pouvoir de l’Esprit sur la matière, et lorsque les humains auront reconnu le pouvoir de l’esprit sur la matière, c’est-à-dire que les humains seront eux-mêmes dans l’Esprit, à ce moment-là les humains auront le pouvoir sur la matière, et à partir de ce moment-là le Verbe s’étendra dans la matière et la réorganisera, pour le bénéfice de l’humain.

le Verbe ce n’est pas la parole parlée, ce n’est pas le mot, ce n’est pas la forme, c’est l’énergie de la forme, c’est l’énergie qui crée la forme, et la dimension la plus difficile aujourd’hui à la fin du 20ième siècle de l’expérience humaine, consiste à faire comprendre à l’humain que ce ne sont pas dans les mots qu’il pourra découvrir la réalité, mais dans l’énergie qui forme les mots, que l’humain pourra commencer à nettoyer ce qui a créé une obstruction à la pénétration du Verbe dans la matière, c’est à dire qu’il pourra commencer à comprendre par lui-même ce qui est caché derrière la matière, il pourra se servir des formes pour véhiculer cette information-là sans être prisonnier de la forme qui est le plus grand problème aujourd’hui de l’humanité, parce que les humains n’ont pas encore compris que dans l’humain il y a deux niveaux d’intelligence, il y a le niveau d’intelligence naturelle qui fait partie de son intelligence, de sa culture, et il y a un autre niveau d’intelligence qui n’est pas de l’humain, qui évolue avec l’humain, qui pénètre dans l’humain, et qui éclaire son intelligence et cette intelligence-là c’est l’Intelligence du supramental.
Quand l’humain sera dans le supramental, il connaîtra ce que veut dire « le Verbe » c’est-à-dire la manifestation instantanée dans le cosmos sur tous les plans de la réalité de cette énergie qui prend son origine dans le divin comme vous l’appelez, et qui se manifeste sur les plans inférieurs, mais ça, le Verbe s’est fait chair tout le monde le sait ce que c’est, tout le monde le comprend, tout le monde au moins peut l’intuiter, ça ne prend pas un doctorat à l’Université de Montréal ! Ce que les gens ne comprennent pas, c’est la nature même de ce Verbe-là, et la nature du Verbe elle est inscrite, elle est compréhensible, elle est saisissable dans l’esprit de chaque individu dès qu’il a commencé à mettre son intellect de côté, et qu’il a commencé à absorber l’énergie de ce Verbe-là, pour donner à son intelligence, à son intellect, une faculté qui dépasse le rationnel, mais qui est aussi raisonnable que le rationnel peut l’être, aussi logique que le rationnel peut l’être, et qui a d’autres qualités, celle de connaitre l’avenir, connaitre les humains, se connaitre soi-même, connaitre les lois d’évolution, enfin connaitre tout.

Richard Glenn :
L’Esprit qui a formé la matière au départ, qui est dans des formes, me semble avoir été le mouvement de départ à toute chose. Par l’Esprit, l’Esprit a engendré la matière et les formes, mais quand on veut retourner par l’esprit à l’évolution de l’être humain, il me semble évident qu’on doit éliminer les formes, éliminer la matière pour retourner à l’Esprit, source de la forme et de la matière.

Bernard de Montréal :
Bon.
Il ne s’agit pas d’éliminer la forme ou la matière, il s’agit de comprendre l’influence que la forme a sur l’humain, sur ses émotions.
Alors, le problème de l’humain, ce n’est pas la forme, d’ailleurs la forme existe sur tous les plans, mais le problème de l’humain vis-à-vis de la forme c’est l’attachement émotif qu’il a, envers cette forme, que ce soit une forme parlée, que ce soit un langage, que ce soit de la connaissance, que ce soit de la culture, que ce soit un objet matériel, une automobile, une télévision, que ce soit n’importe quoi ! Quel que soit le niveau de densité de la forme, dès que l’humain est attaché émotivement à cette forme, il est prisonnier de la forme, parce que la forme fera chez lui…. Ah, ça ne parle plus ! Quand ça ne parle plus on ne sait rien, si j’essaye de forcer et que ça parle, là je fais une gaffe.

Richard Glenn :
On peut poser une autre question.

Bernard de Montréal :
Oui.

Richard Glenn :
Parlons de la matière plutôt que de la forme. L’esprit a produit jusqu’à la limite de la création de la matière, lorsque l’humain dans sa condition matérielle veut évoluer par la matière, par les sciences matérielles, que ce soit la chimie, l’électronique etc., il va tourner son regard vers la matière, ça me parait, en même temps d’arrêter de regarder vers l’esprit, il y a une contradiction entre matière et esprit.

Bernard de Montréal :
Il semble y avoir une contradiction mais il n’y en a pas, ce n’est pas la matière qui retarde l’évolution de l’humain, c’est son attitude psychologique envers la forme, envers la matière, lorsque l’humain aura compris la nécessité et d’ailleurs lorsque l’humain sera dans l’esprit c’est-à-dire que lorsque l’humain pourra communiquer avec le supramental et qu’il travaillera dans la matière, ou qu’il travaillera dans les livres ou qu’il travaillera dans quoi ce soit, à ce moment-là il sera informé par l’esprit concernant les lois de la forme, alors à ce moment-là au lieu de faire de la recherche pénible, au lieu de faire des recherches sur des études accumulatives, qui souvent mènent à certaines erreurs fondamentales, à ce moment-là il pourra aller directement à la source de sa compréhension et établir des normes universelles pour la conquête de la connaissance de la matière, ainsi dans un cas comme ça, dans ces temps-là , les théories n’existeront plus. Je vous donne un exemple : vous avez dans la science de la physique, ce que certains appellent le phénomène dualistique de Heidegger, alors vous avez une compréhension concernant la vitesse, concernant le mouvement de la lumière qui fait que l’on a tendance à croire que la lumière est corpusculaire dans un cas, et on fait d’autres expériences et ensuite on s’aperçoit que la lumière a une autre configuration de mouvement, et qu’elle est ondulatoire, alors au début quand les scientifiques cherchent, il y en a un qui arrive à une conclusion de la théorie corpusculaire, il y en a un autre qui arrive à une autre conclusion il arrive à la théorie ondulatoire, et vous avez deux écoles qui se forment et automatiquement vous avez des conflits d’intérêts.
Si l’humain était… ou lorsque l’humain sera conscient, lorsqu’il sera supramental et qu’il fera face à une dualité qui est purement temporaire, il verra que la lumière est corpusculaire dans certains cas et qu’elle est ondulatoire dans d’autres cas, et qu’elle est d’autres choses dans d’autres cas, et au lieu de formuler des écoles qui chercheront à diviser les esprits de l’humain, et qui chercheront, à cause de l’ego des chercheurs, à établir une certaine… ça s’arrête encore je ne peux plus continuer.
Continue. (S’adressant à Richard)

Richard Glenn :
Bernard nous a déjà parlé, que tout est issue d’un lieu que d’autres appellent un paradis, îlot central, l’énergie de départ, que tout s’est manifesté en trois natures, la volonté l’intelligence, l’imagination, l’amour devrait-on plutôt dire que l’imagination, Bernard nous a déjà expliqué que de cette énergie primordiale est issue toute la création, c’est un éloignement de cet ilot, c’est un éloignement de cette perfection originelle, comment peut-il y avoir conciliation entre l’honnête humain d’aujourd’hui et je ne parle pas de celui qui sera en contact avec le supramental , mais de l’humain d’aujourd’hui qui veut évoluer et le concilier avec sa recherche matérielle et le concilier avec sa recherche spirituelle.


Bernard de Montréal :
Ça, ça fait justement partie du problème de l’humain moderne.
J’ai déjà dit qu’il y a trois niveaux d’évolution, l’humain a vécu une évolution matérielle qu’il a conquise jusqu’à un certain niveau, et ensuite, chez un certain nombre d’humains, il y a eu une évolution spirituelle qui a été très, très poussée, et qui a culminée naturellement dans les écoles, dans les sectes, dans les centres ésotériques, occultes etc. et ce que je dis, c’est qu’ensuite il y a une autre étape d’évolution, une troisième étape d’évolution où il doit y avoir une intégration des deux premières.
Alors, l’évolution matérielle, la conquête de la science, l’application de la science, les relations entre la matière et l’humain pour les plaisirs de la vie matérielle qui font partie de l’évolution originelle, l’évolution première, l’évolution culturelle, l’évolution extérieure si vous voulez, cette évolution doit être intégrée à l’évolution spirituelle, mais l’humain ne peut pas intégrer l’évolution spirituelle à l’évolution matérielle, s’il n’est pas lui-même déjà dans la troisième étape de l’évolution, parce que dans tous les mouvements, à tous les niveaux , à tous les niveaux, même de la matière, il y a toujours trois forces, la dualité n’existe pas dans le fond, les contradictions n’existent pas justement parce que la dualité n’existe pas, les contradictions sont les manifestations primaires de l’incapacité de l’esprit humain d’entrer en contact avec une troisième force qui neutralise la contradiction, alors lorsque l’humain aura conquis la deuxième étape de son évolution qui est l’évolution spirituelle, à ce moment-là il sera automatiquement par le fait même dans le supramental, et le supramental qui est la troisième force, qui est le troisième point de référence pour l’ego humain, lui permettra de faire une synthèse parfaite entre la forme matérielle et la forme spirituelle, mais aujourd hui ce qui se passe dans le monde, dans tous les pays du monde, surtout en Amérique, c’est que la conquête de la science, a donné à l’humain des fruits, l’évolution de la pensée philosophique occulte ésotérique a donné à l’humain de très grands fruits, mais l’humain spirituel d’aujourd’hui fait la même erreur que l’humain matériel d’avant, c’est que l’humain spirituel d’aujourd hui considère la fin de son évolution spirituelle ou l’étage, ou l’étape de son évolution spirituelle comme étant la fin de son évolution ! Autant la science au 19ième siècle a fait l’erreur de croire qu’elle pouvait par elle-même résoudre tous les problèmes de l’humain autant aujourd’hui le mouvement spirituel mondial fait l’erreur de croire que l’humain une fois qu’il est en recherche et en évolution spirituelle est dans la fin de son mouvement vers l’infinité, et ce n’est que le début.
L’étape, après l’évolution spirituelle, quelle que soit la forme de cette évolution spirituelle, je les respecte toutes parce qu’elles sont toutes bonnes, que ce soit au niveau de la chrétienté, que ce soit au niveau des religions, que ce soit au niveau de l’occultisme, de l’ésotérisme, des philosophies religieuses, toutes les formes d’évolution spirituelle sont des formes d’une autre essence, si vous voulez, que les formes de la science matérielle, mais elles doivent un jour arriver en confrontation avec un ultimatum, et l’ultimatum de la science sera la découverte par la science d’autres limites en dehors des limites qu’elle a déjà établies théoriquement, et d’ailleurs aujourd’hui les scientifiques commencent à s’en apercevoir, ceux qui travaillent dans la recherche pure, déjà on commence à questionner la validité de la théorie d’Einstein, et dans le domaine de la spiritualité c’est la même chose, la science spirituelle devra, au cours des années qui viennent, faire face à un ultimatum, et cet ultimatum ne sera réalisable qu’au niveau individuel, et lorsque l’individu aura réalisé la fonction terminale de l’évolution spirituelle sur la planète Terre, de la même façon qu’il a réalisé la fonction terminale mais temporaire de l’évolution scientifique cartésienne mécaniste sur la planète Terre, à ce moment-là l’humain développera des pouvoirs de compréhension qui sont au-delà de son intelligence rationnelle, au-delà de la logique, mais qui sont imperméables à toute la nature de l’évolution et des plan de l’évolution, et à partir de ce nouveau point de référence qui est un point de référence universel qui n’appartient à aucun humain mais dont tous les humains peuvent être directement liés, à ce moment-là les humains pourront faire une synthèse totale, entre la science cartésienne mécaniste, et la spiritualité, l’évolution spirituelle philosophique pour en arriver à une conscience totale, une conscience pure dans laquelle le niveau individuel de son ego est forcé de ne rien rechercher parce qu’il est dans le tout ! Et effectivement si l’individu, l’ego est éclairé par le tout, c’est à dire que si l’ego est dans une connaissance instantanée de ce qu’il doit savoir, automatiquement la lumière doit éclairer la science mécanique et changer ses points de vue et éclairer les dimensions creuses de ses points de vue, de ses théories et de ses hypothèses, et au niveau de la spiritualité la science sera aussi forcée de regarder à nouveau avec des yeux nouveaux des concepts philosophiques qui ont aidé à l’évolution spirituelle de l’humain, et qui ont maintenu sur la Terre une certaine tension évolutive pour que l’humain puisse éventuellement sortir de son barbarisme et atténuer la qualité de ses mœurs, afin qu’au 20ième siècle avec les engins que nous possédons nous puissions aussi allier une certaine diplomatie philosophique entre les peuples et à ce moment-là l’humain pourra connaitre et il pourra travailler à partir de ces temps-là avec des intelligences très supérieures à l’humain, qui évoluent dans le cosmos, qui ont le contrôle de la matière, qui sont totalement en dehors des formes spirituelles, pour qui l’ésotérisme ou l’occultisme terrien ou planétaire ici, est totalement primitif, et pour qui aussi la science cartésienne et mécaniste est un avant-goût de la science l’atome et de la science de la Lumière.

Richard Glenn :
Mais ce passage de l’humanité d’aujourd’hui à ce contact général avec le supramental est-t-il pour bientôt ?

Bernard de Montréal :
Ce passage est déjà commencé ! Ce qui se fait lorsqu’une civilisation, lorsqu’une planète entre dans un nouveau cycle d’évolution, lorsque ce cycle commence, il est su, il est entrepris, il est vécu par un certain nombre d’individus, mais la différence c’est que dans ces moments de grands changements ces perceptions nouvelles se font toujours à l’échelle de l’individu, et jamais à l’échelle de la masse.
Et tout ce qui se fait sur le plan cosmique, tout ce qui se manifeste en relation avec un plan universel concernant l’évolution d’une civilisation planétaire, visant à la destruction d’une civilisation, d’un aspect de cette civilisation pour la reconstruction d’une nouvelle forme, ce qui se fait en relation avec les forces cosmiques est toujours caché à l’humain, parce que l’humain souffre d’un mal qu’il n’a pas encore réussi à conquérir, et c’est l’abrutissement total de son émotionnel, l’effet total de son émotionnel sur son comportement psychologique, l’effet total de son émotionnel sur son comportement psychologique, philosophique et spirituel, l’effet total de son comportement psychologique en relation avec la dimension de la non êtreté de son ego, tant que l’humain est attaché à l’êtreté de son ego, et les philosophes se cassent la tête depuis des siècles à chercher justement à donner à l’humain un point de vue, un point de référence sur lequel il peut très bien asseoir son ego, et à ce moment-là les philosophes retardent l’évolution de l’humain, parce qu’ils font croire à l’humain que être c’est quelque chose d’autre qui est entrepris dans son développement justement par leur ego. si vous êtes dans une maison , vous ne pouvez pas voir une maison que de l’extérieur, alors que vous fassiez tous les mouvements que vous voulez à l’intérieur des murs, des plafonds, et des planchers de cette maison, vous serez toujours prisonnier de cette maison, quelle que soit l’attitude ou la position géographique que vous preniez en relation avec cette maison, et les philosophes ont été les premiers à créer la maison pour l’humain et aujourd’hui l’humain est prisonnier de la philosophie, soit cartésienne, mécaniste ou spirituelle.

Richard Glenn :
On sait que des intelligences extra-planétaires ont quand même atteint un haut développement d’ordre scientifique et matériel, pourquoi n’y a-t-il pas une meilleure correspondance entre ces êtres en évolution eux-aussi comme nous, avec nous qui sommes peut-être des petits frères ou des petits cousins qui sommes en cheminement et qui auraient bien besoin de connaître certaines lois si on veut, physiques ou chimiques ou autres.

Bernard de Montréal :
C’est normal que ces êtres aient atteint un niveau d’évolution aussi avancé parce que ces êtres travaillent avec la force ! Ces êtres qui ne sont pas dans l’illusion de l’ego, ils ne sont pas - leur évolution, leur évolution matérielle, leur évolution physiologique, leur évolution spirituelle a été extrêmement différente de la nôtre, remarquez bien que lorsqu’on parle des êtres venant d ‘autres planètes, il ne faut pas tomber aussi dans la diminution de l’humanité parce que j’ai toujours soutenu que l’humain était extrêmement important dans l’évolution et l’humain verra d’ailleurs éventuellement que sa position dans l’ échelle cosmique est beaucoup plus vaste aujourd’hui qu’il ne peut se l’imaginer, mais ces choses sont cachées à l’humain parce que l’humain est un orgueilleux, et l’humain aussi aime beaucoup se croire important, et comme il aime se croire important si on lui révèle des choses qui sont de grande importance, il commencera à faire du tricot avec la philosophie, il commencera à développer des volets nouveaux, pour entreprendre sur le plan matériel des allées et venues dans le cadre de son évolution possible, et on ne peut pas faire des allées et venues dans le cadre d’une évolution possible, parce que les possibilités au niveau de l’évolution, elle sont connues, les « si » n’existent pas ! le hasard n’existe pas ! et si l’humain parce qu’il manque d’information, parce qu’il est forcé de se servir de sa logique et d’entreprendre tout le pèlerinage de son éducation personnelle, en relation avec des données qui proviennent des autres, qui eux autres aussi sont forcés d’entreprendre le pèlerinage de leur évolution personnelle, et de reconnaissance personnelle en relation avec les erreurs des autres, il est évident que sur le plan d’une évolution totale concernant la nouvelle philosophie de l’humain, ce n’est pas en pensant qu’on va arriver à quelque chose ! et surtout ce n’est pas en commençant à prendre, et à vivre, et à tricoter avec les opinions des autres, c’est pour cela que le plus grand bien que vivra l’humanité, au cours des siècles qui viennent, c’est que chaque humain sera lui-même le juge de ce qu’il est, de ce qu’il sait et de ce qu’il peut ! et non les écoles, et non les philosophies, et non toutes ces petits terriers à mensonges ! quand je dis mensonges , je ne dis pas que ce sont des mensonges voulus, ce sont des mensonges qui sont le résultat de l’impossibilité à l’humain temporairement de savoir, alors si on ne sait pas on est automatiquement embarqué par une forme et la forme elle-même fait partie du mensonge cosmique, même si elle est interprétée sur le plan planétaire comme une erreur philosophique ou une erreur théorique ou une divagation dans une hypothèse.

Richard Glenn
Après l’école primaire, il y a l’école secondaire, après l’école secondaire, il y a le cégep, après le cégep il y a l’université.

Bernard de Montréal :
Après l’université, il y a la vie.

Richard Glenn :
Mais la vie ne semble pas nous avoir appris grand-chose, parce qu’autour de tous les humains qui vivent, se développe une histoire, on apprend que l’humain n’apprend rien de l’histoire.

Bernard de Montréal :
Mais que voulez-vous ! Comment voulez-vous que les humains apprennent quelque chose si les humains qui doivent savoir quelque chose doivent se fier aux humains.

Richard Glenn :
Exactement comme dans le thème de mon…

Bernard de Montréal :
C’est un cercle vicieux.

Richard Glenn :
Pourquoi n ‘y aurait-il pas après l’université et la vie dans laquelle les humains tournent en rond, cercle vicieux, une sphère université, une cosmique université qui accueillerait des gens de très hautes qualités de neurones….

Bernard de Montréal :
A ce moment-là vous parlez de l’évolution sociale à un autre niveau, l’évolution sociale à un autre niveau de telles universités, de telles écoles, pas seulement au niveau universitaire, au niveau du primaire, du secondaire, il y aura dans l’autre cycle de notre civilisation, des universités, des médecins, des professeurs, des scientifiques qui sauront et du savoir de ces humains, les affaires de l’humain seront conduites d’une façon préférentielle, mais en attendant, l’humain doit développer le muscle de son cerveau, doit développer son intelligence, il est forcé d’aller à l’école , à l’université ou au primaire, et c’est très bon, tout ce que l’humain sait, tout ce que la science a donné à l’humain, tout ce que la religion a donné à l’humain, c’est très bon, ce que l’humain doit comprendre c’est que ce n’est pas la fin, et il y a seulement à l’humain une façon de savoir, si réellement c’est la fin ou non, et de savoir quelles sont les conditions de cette continuité, quelles sont les conditions de cette évolution future parce que moi je parle de certaines choses, mais si les gens commencent à croire ce que je dis, à ce moment-là ils font la même erreur que les humains ont toujours fait, c’est de croire les autres humains, alors les gens, si les gens comprennent qu’il y a en eux un puits de connaissance, qu’ils aient accès à cette connaissance qui est universelle, ils verront par eux-mêmes, ils pourront étudier par eux-mêmes les aspects nouveaux de l’évolution, dans lesquels, telles que ces universités vous en préconisez les aspects futurs, feront partie de la vie éducative, de la vie des instructions de l‘humanité future.

Richard Glenn :
J’entendais quelque chose de très concret, de très précis et de très applicable, demain matin ce sont des civilisateurs super intelligents qui seront, disons inter planétaires et qui recevraient chez eux ou dans des centres des humains qui ont franchi l’université de la vie terrestre et qui seraient prêts à apprendre encore plus et revenir non seulement avec des connaissances en plus mais aussi des techniques pratiques.

Bernard de Montréal :
Il y a des humains… il y a des humains qui travaillent dans cette direction, mais quand un humain travaille dans cette direction, suivant l’humain, suivant ce qu’il sait, le travail qu’il fait est très concentré et à une petite échelle, pour que le travail se fasse à une échelle mondiale, à une échelle planétaire, ça nécessite des interventions directes des forces cosmiques sur une planète, et lorsque cette intervention prendra place, à la suite de cette intervention, naitra une nouvelle civilisation, mais avant c’est simplement au niveau individuel, et ce ne peut être dans le cadre d’une institutionnalité quelconque, ce doit être totalement sur un plan individuel, parce que l’humain aujourd’hui - vous savez, je vais vous expliquer une chose - lorsqu’un humain travaille avec les forces, ce n’est pas lui qui dicte comment telle chose ou telle chose, ou telle chose doit prendre place, ce n’est pas lui qui conçoit, ce n’est pas lui qui impose sa volonté, parce que cet humain par le fait même qu’il travaille avec les forces du supramental, et unifié au supramental , et en connait ses aspects évolutifs, alors l’humain automatiquement même si sur le plan matériel à l’intérieur du réseau de la structure humaine, réalise que telle chose serait très bonne pour l’humanité, que telle autre chose serait très bonne pour l’humanité, l’humain sait très bien que ce n’est pas le temps.

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Commentaires
Hommage à Bernard de Montréal
  • Bernard de Montréal. psychologie évolutionnaire, psychisme, évolution, satan, lucifer, involution , mensonge cosmique, planète Terre, humanité, extraterrestres, nations, astral, conscience, mental, surmental, supramental, conscience , fin de cycle
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