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Hommage à Bernard de Montréal
1 septembre 2020

La conscience télépathique

 

PE139

La conscience évolutionnaire c’est la conscience d’une nouvelle époque. Quand on parle d’époques, on parle de longues périodes d’évolution, on parle de développement de conscience totalement différente de ce que l’humain a connu pendant l’involution, c’est-à-dire pendant la période où il a développé une conscience égoïque.

Et avec ce que nous vivons aujourd’hui ou ce que nous vivrons au 21ième siècle, 22 ième siècle, ainsi de suite, l’humain éventuellement sentira le besoin de se comporter psychologi

quement par rapport à des paramètres qui lui conviennent, qui lui conviennent parfaitement.

Et ce ne sera pas facile parce que l’humain est un être d’habitudes, et il est doté d’une pensée réflective, il n’est aucunement télépathique, il est de temps à autre intuitif mais il n’est aucunement télépathique, et lorsqu’il est télépathique, il ne le réalise pas parce que le taux vibratoire de sa pensée est inférieur à ce qu’il devrait être, donc l’humain, dans un sens, sur le plan matériel aujourd’hui, est un être qui, alors qu’il n’a pas d’identité, ne peut pas bénéficier sur le plan psychique d’une maîtrise de sa conscience. Donc l’humain n’est pas maître de sa conscience et comme il n’est pas maître de sa conscience, selon les évènements de la vie, les choses qui se passent, dépendant où il vit, ce qu’il vit, ses expériences, ainsi de suite, autant sur le plan global, international que personnel, la vie devient de plus en plus difficile à cerner, et à cause de ceci, l’humain vit un stress existentiel de plus en plus poignant.

C’est pour ça que ce qu’on appelle la conscience évolutionnaire, la psychologie évolutionnaire, cette science de l’esprit est essentielle pour l’humain parce qu’elle lui permettra éventuellement de se séparer, réellement de se séparer de la manière de penser de l’humain, de l’humanité inconsciente en général et ceci l’amènera éventuellement à gravir ou à atteindre des niveaux de conscience, des niveaux de science intérieure, des niveaux de palpabilité de son esprit qu’il n’a pas connu pendant l’involution. Et ça, ça sera une révolution.

L’humain a toujours voulu, a toujours cherché à être bien dans sa peau, il a cherché le bonheur pendant l’involution comme moyen plus ou moins satisfaisant pour y arriver, mais lorsque la vie le frappe ou l’expérience de la vie le frappe difficilement, il n’a pas les moyens pour gérer l’expérience parce qu’il est seul. Et la raison pour laquelle il est seul, c’est parce qu’il n’a pas suffisamment de conscience télépathique pour se délivrer de la réflection.

Nous avons considéré ou nous considérons la réflection comme étant le patrimoine psychologique de l’humanité parce que ça fait partie de notre évolution, ça fait partie de notre développement, les philosophies nous l’ont enseignée, l’expérience psychologique nous l’a déterminée, nous vivons un déterminisme psychologique extrêmement puissant, et ce déterminisme psychologique dure depuis des millénaires et se renforce de plus en plus, mais viendra le point dans la courbe d’évolution de l’humain, dans le développement de l’humain où il y aura une brisure, une brisure pas nécessairement radicale, mais il y aura une brisure entre le mouvement de la conscience vers la réflection et un détournement de cette conscience vers la télépathie.

Mais c’est au point où la direction de l’évolution de la conscience va indiquer à l’humain en tant qu’individu, que sa conscience personnelle est beaucoup plus complexe que semble le pointer sa vie psychologique, et que sa conscience personnelle en réalité déverse intimement dans un vaste réservoir de conscience universelle, mais un réservoir de conscience universelle qui n’est pas spirituel en essence, mais totalement mental en essence.

La conscience, le concept, les concepts, les vues que nous avons eu pendant l’évolution de la conscience de l’humain, la conscience spirituelle de l’humain comme étant le plus élevé niveau d’évolution, c’est une illusion de l’involution. C’est une illusion astrale de l’involution et ça ne donne à l’humain aucune identité fondamentale et ça ne permet aucunement à l’humain d’être en conscience prépersonnelle avec des niveaux d’intelligence qui font partie de sa mentation universelle et du lien universel avec lui, en tant qu’être protégé par la lumière.

Donc éventuellement au cours de l’évolution, lorsque le passage se fera de l’involution à l’évolution, l’humain s’apercevra que les intentions ou les bonnes intentions ou les grands désirs spirituels qui ont marqué son involution, et qui ont protégé sa conscience morale, qui ont protégé son ego contre les afflux extrêmement souvent titanesques de la vie, sont en réalité des aspects simplement primaires d’une conscience systémique.

L’humain n’est pas un être spirituel.

Dans sa définition ultimement universelle, dans son développement universel, l’humain n’est pas un être spirituel parce qu’il est un être qui peut accéder à ce que nous appelons une intelligence propre. Une intelligence propre, c’est une forme d’intelligence qui n’est pas basée aucunement sur les autorités extérieures, qui n’est pas basée aucunement sur les systèmes créés pendant l’involution donc qui est totalement libre des philosophies, des systèmes de pensées, des idéologies ou des mécanismes de réflections, créés pour son support psychologique, afin de protéger les États, les sociétés qui ont sur lui une certaine autorité au niveau gestionnaire, mais en réalité, sur le plan mental, l’humain est un être totalement libre, il est un être absolument intelligent, mais non pas intelligent dans le sens que nous le croyons ou dans le sens que nous le voyons aujourd’hui, parce que notre notion d’intelligence est une notion extrêmement réduite et c’est une notion qui est fondée sur la réflection, l’analyse, le sens critique, mais qui ne permet pas à l’humain d’entrer en conversation télépathique avec les plans systémiques de sa conscience d’où il est originalement ou avec lesquels il est originalement membre avant l’incarnation.

Donc l’humain est un être systémique, incarné sur le plan matériel pour une évolution personnelle, pour un développement personnel au niveau de l’âme, mais qui doit retourner un jour à l’immortalité en laissant sa chair et en passant du plan astral, qui est le plan de la mort, au plan morontiel, qui est le plan systémique.

Et pour que l’humain en arrive éventuellement à réorganiser psychiquement son état mental, pour qu’il en arrive éventuellement à pouvoir réaliser ce que veut dire réellement le mot intelligence, il doit se dissocier psychologiquement de sa pensée, en arriver à comprendre les manipulations extrêmement intenses de sa réflection psychologique, donc de son ego, donc de sa personnalité, pour éventuellement épouser des sentiers qui lui sont personnels, mais qui sont aussi en même temps universels et qui lui permettront un jour de ne plus revenir sur le plan matériel et de construire d’autres civilisations dans d’autres espaces temps qui ne font pas partie de la mémoire de la race.

Lorsque nous disons que l’humain est un être intelligent, nous disons que, pour que l’humain bénéficie de son êtreté, il devra un jour passer de l’involution à l’évolution, c’est-à-dire prendre conscience, prendre conscience du lien universel entre son ego, c’est-à-dire cette partie de lui qui est incarnée mais qui est aveuglée par la matière et son esprit, c’’est-à-dire cette partie de lui qui n’a rien à voir avec la notion spirituelle de l’esprit que nous avons donnée pendant l’involution à des entités spirituelles, mais réellement à des intelligences pures qui n’ont rien à voir avec les mythes formés, formulés par les religions pour l’humain de l’involution.

L’humain de l’évolution, l’humain évolué, appelez-le comme vous voulez, cet humain qui sera télépathe, cet humain qui aura une conscience mentale, cet humain qui comprendra la réflection mais n’en sera pas piégé, cet humain qui aura le pouvoir sur le plan matériel, de faire un discernement intégral entre le phénomène de penser et le phénomène de savoir, pourra éventuellement en arriver à s’accrocher, à connecter avec des niveaux d’intelligence suffisamment avancés ou tellement avancés qu’en tant qu’ego, en tant qu’ego il n’existera plus.

Et lorsque l’humain cessera d’exister en tant qu’ego, il existera simplement en tant qu’être-lumière, il sera totalement fonctionnel sur le plan psychique, il aura une conscience totalement développée et il sera capable sur le plan matériel et sur les autres plans, de converser avec des êtres qui pourront avec le temps selon son évolution, travailler avec lui.

Lorsque nous regardons ce qui se passe dans le monde aujourd’hui, avec un renouvellement de cette vague, de cette vague destructrice, destructrice de religionisme, de fanatisme, qui va nous englober au 21 ième siècle, parce que ça fait partie du karma des nations, nous avons une notion, évidemment, si nous sommes juifs, si nous sommes chrétiens, ainsi de suite, et que nous appartenons à des religions qui déjà ont développé l’esprit critique, nous ne sentons pas ces états parce que nous avons délaissé ces états au Moyen Âge, nous avons délaissé ces formes de spiritualité, des formes de religion ou de religiosité dans un temps où la science n’avait pas encore envahi complètement le temple de l’expérience. Mais aujourd’hui, avec ce qui se passe dans le monde, nous allons remettre le doigt, revoir, revisiter le caractère extrêmement nocif des religions qui ne sont pas suffisamment balancées, équilibrées, et qui plongent dans des formes d’extrémisme, et ceci va amener l’humain du 21ième siècle, les nations, à devoir considérer des changements à ce niveau-là ! Mais, c’est au niveau individuel, c’est au niveau individuel, au niveau de conscience individuelle, que l’humain va réaliser jusqu’à quel point ce qu’il considère, ce qu’il a considéré pendant si longtemps comme étant si important, les religions, la spiritualité, comme étant un masque qui cache son intelligence, un masque.

L’évolution de l’humain c’est un processus, l’’évolution de l’humain en tant qu’individu, c’est un processus. L’évolution de l’humain en tant qu’être, c’est une finalité.

Donc il y a une différence entre un processus et une finalité.

L’humain s’en va, l’humain en tant qu’individu, je ne parle pas de l’humain en tant qu’être collectif - l’humain en tant qu’individu s’en va vers une finalité.

Et il s’en va en tant qu’individu vers une préconscience, c’est-à-dire une conscience télépathe avec d’autres niveaux d’intelligence.

Mais le processus, le passage de l’involution à l’évolution, la déconstruction de l’ego et la reconstruction de l’ego permettra éventuellement à l’humain de réaliser et de savoir, même à son niveau personnel, même si c’est un niveau qui est inférieur à ce qu’il pourrait être au cours de son développement, l’humain apprendra qu’il est effectivement ou qu’il a effectivement accès à de l’intelligence.

De l’intelligence, qu’est-ce que c’est ? Qu’est-ce que ça demande ? Quelle est sa fondation ? Quelle est la fondation de ce phénomène de l’intelligence ?

Si nous le regardons d’un point de vue psychique, d’un point de vue universel, d’un point de vue évolutionnaire, du point de vue d’une psychologie évolutionnaire, nous sommes forcés de considérer l’intelligence comme étant quelque chose qui n’appartient pas à l’ego.

Donc, dans la mesure où vous avez de l’intelligence, vous sentez de l’intelligence, vous réfléchissez, vous vous sentez intelligent, vous pensez que vous êtes intelligent, dans la mesure où cette intelligence, où cette fraction de lumière qui fait partie de votre réalité appartient à l’ego, donc est trop colorée par l’ego, vous pouvez être assuré que vous n’êtes pas encore dans votre intelligence pure. Vous êtes simplement dans un mouvement, dans un rayonnement de votre conscience qui, à votre niveau, pour votre développement, selon votre développement, selon votre évolution, vous permet d’expérimenter la vie sur la Terre sans nécessairement comprendre la finalité de cette expérience, parce que l’humain n’a pas de conscience télépathique.

Si on fait une lecture, à partir des plans, regardez ce que nous recevons.

Dans la mesure où l’humain prendra conscience de lui-même, il sera obligé, forcé, amené avec le temps, de s’allier à d’autres niveaux, de s’allier à d’autres niveaux.

Nous vivons sur le plan matériel et nous ne sommes pas alliés à aucun niveau, donc à cause de ceci, nous avons la réflection, nous pensons que nous sommes sages, nous pensons que nous sommes intelligents, nous pensons que nous avons de la grande science, nous pensons toutes sortes de choses, et ceci fait partie de notre involution.

Mais pour passer de l’involution à l’évolution, donc de la réflection au savoir, l’humain sera obligé de s’allier à d’autres niveaux.

Et ce ne sera pas facile pour lui au niveau de l’ego de s’allier à d’autres niveaux, parce que l’humain a une notion extrêmement puérile, extrêmement ombragée, extrêmement sombre de ce que nous appelons la liberté.

Le concept du libre arbitre qui fait partie de sa conscience personnelle, le concept du libre arbitre qu’il épouse psychologiquement ou philosophiquement depuis très longtemps, c’est un concept qui fait partie de sa réflection.

Ce n’est pas parce que l’humain a un libre arbitre qu’il est libre.

 Et tant que l’humain ne sera pas capable, n’aura pas réussi à décortiquer, à faire la différence entre le libre arbitre, ce que l’ego croit être une forme de liberté et la liberté fondamentale, l’humain ne pourra pas conscientiser son être et ne pourra pas bénéficier d’une télépathie ou d’un lien universel avec des intelligences qui sont techniquement systémiques.

Qu’est-ce qu’une intelligence systémique ?

Si nous faisons une lecture :

Une intelligence systémique, c’est une intelligence qui n’a jamais eu d’incarnation, qui n’a pas besoin d’incarnation et qui a toujours été en dehors de ce que nous appelons les lois planétaires.

Donc une intelligence systémique, ce n’est pas une âme.

C’est ce que nous appelons un esprit, parce que nous sommes obligés aujourd’hui, pour des raisons de vocabulaire, pour des raisons de contrôle de l’information, pour des raisons de dimensionnalité psychique au niveau de la réalité du monde, ou des univers parallèles, nous sommes obligés de donner des termes ou d’utiliser des termes pour définir la nature de ces grandes intelligences, mais dans le fond, le mot esprit n’a aucune signification, parce que le mot esprit est simplement un terme spirituel utilisé par l’humain de l’involution pour essayer de sentir, de mettre le doigt sur l’ineffabilité de certains royaumes, de certains niveaux, de certaines consciences, de certaines puissances, de certaines intelligences. Et l’humain ne peut pas mettre le doigt sur ces choses, sur ces intelligences, sur ces lumières, parce qu’il n’est pas suffisamment conscient, donc il est obligé d’utiliser le mot esprit parce que le mot esprit lui convient, le mot esprit le rassure, le mot esprit l’instruit d’une sorte de structure ou d’architecture prémondiale qui ne l’effraie pas trop, une architecture qui lui permet de respirer sur la Terre sans croire ou sans devoir croire, ou sans devoir appréhender des niveaux de vie, des niveaux de civilisation, des niveaux de conscience, des niveaux de sagesse systémique tellement vastes que, confronté à sa petite réalité philosophique, il serait obligé de réellement devoir se protéger.

Donc pour le moment, nous utilisons le mot esprit et nous devrions, pour des raisons de développement inévitable, en arriver éventuellement de parler de conscience prépersonnelle. Si nous utilisons le terme de conscience prépersonnelle au lieu du concept de l’esprit, à ce moment-là, au moins, nous commençons à déspiritualiser le concept de la liaison entre l’humain et les mondes invisibles, nous commençons déjà à superposer au-dessus du monde des âmes, donc des mémoires incarnées, des états de conscience, des états de puissance, des états de conscience créative qui font partie du fameux système, jamais compris de l’humain, de la divinité.

Et nous avons fait l’erreur, pendant l’involution, de faire l’équation, de faire un parallèle, d’établir une relation absolue entre l’humain et Dieu, et ça n’existe pas ! Parce que le concept de Dieu, c’est un concept qui a été utilisé pendant l’involution pour permettre à l’humain de saisir l’ineffable, sans pouvoir le comprendre dans sa nature, dans son architecture et dans le caractère systémique de sa composition.

Donc l’humain sera obligé un jour d’éliminer le concept de Dieu et le remplacer par d’autres notions qui viendront à lui au fur et à mesure où il deviendra de plus en plus télépathe et de plus en plus prépersonnel, c’est-à-dire de moins en moins impliqué dans la conscience de son ego.

À ce moment-là, l’humain deviendra réellement un être intelligent, passera de l’involution à l’évolution et pourra finalement commencer sur le plan matériel, pas simplement au-delà de la matérialité mais sur le plan matériel, à définir par ses propres moyens les mystères parce que les mystères, dans le fond, n’existent pas.

Ce sont simplement des voiles qui ont été érigés sur la conscience de l’humain, pour sa protection, afin de permettre que le concept de Dieu pendant l’involution, serve à son développement moral, alors qu’aujourd’hui on s’aperçoit que le concept de Dieu est en train de rendre l’humain extrêmement immoral.

Ce qui retarde le plus le développement de la conscience humaine sur la Terre, c’est le concept de l’autorité.

Dans tous les systèmes de pensée, dans toutes les idéologies, dans toutes les religions, dans toutes les philosophies, dans toutes les politiques, nous sommes confrontés au concept de l’autorité.

Il y a des êtres sur la Terre qui sont extrêmement avancés dans ce qu’on appelle la conscience critique ou la conscience analytique ou la conscience dialectique, et ces êtres-là ont la capacité, pour des raisons d’autorité, pour des raisons que j’appelle des raisons d’abus de l’autre, ont la capacité d’empêcher l’humain, l’individu, de vibrer sa propre intelligence. Pourquoi ?

Parce que l’humain n’est pas dans sa propre intelligence !

 Si l’humain était en dehors de l’évolution, en dehors de l’involution, il serait dans sa propre intelligence, et il n’y a aucune autorité dans le monde ou en dehors du monde, même sur le plan astral, sur le plan morontiel, qui pourrait réduire, diminuer, si vous voulez, son intelligence, donc l’humain serait réellement un être libre. Mais ce n’est pas le cas. Ce n’est pas le cas, parce que l’humain est fasciné par l’autorité, et la plus grande autorité et le plus grand concept de l’autorité qui a été créé au-dessus de sa conscience, c’est le concept de Dieu. Et tant que l’humain n’en arrivera pas un jour à pouvoir se déposséder de ce concept pour le remplacer avec quelque chose de plus scientifique, de plus réel, de plus systémique, l’humain demeurera un être spirituel et il sera obligé, sur le plan matériel, d’invoquer l’autorité des systèmes ou des idéologies ou des religions ou des spiritualités pour pouvoir sentir qu’il est bien dans sa peau. C’est très dangereux de l’autorité.

Quand je parle, quand je dis que de l’autorité, c’est dangereux, je ne parle pas de l’autorité purement mécanique, je parle de l’autorité qui s’assied sur la conscience de l’humain, qui s’imprègne dans la conscience de l’humain, qui lui enlève sa propre lumière, pour remplacer la lumière de l’humain par ses ombres, c’est de cette autorité que je parle. Effectivement, il faut de l’autorité. Il faut qu’un policier ait de l’autorité. Mais je ne parle pas de cette autorité mécanique. Je parle de l’autorité des opinions ! Et c’est à cause de l’autorité des opinions que l’humain aujourd’hui, après des siècles et des siècles de développement, n’est plus capable de voir sa propre réalité, n’est plus capable d’être prépersonnel, et ne peut pas entretenir dans sa conscience, une conscience télépathe.

Et l’humain verra au cours de l’évolution qu’au fur et à mesure où il avancera dans son développement, au fur et à mesure il sera obligé de mettre par terre toutes les formes d’autorité. Je ne parle pas de l’autorité mécanique, je parle de l’autorité insidieuse qui affecte son mental, qui lui dit quoi est réel. L’humain doit savoir par lui-même, lorsqu’il est individualisé, quoi est réel. Ce n’est pas à quelqu’un de lui dire quoi est réel. Ça n’existe pas un humain plus grand qu’un autre.

L’humain a sa propre responsabilité, et cette responsabilité, elle est par rapport à lui-même, donc c’est à lui de pouvoir définir quoi est réel, mais s’il ne peut pas le faire parce qu’il est trop ombragé par l’autorité des idéologies, à ce moment-là l’humain demeurera un être involutionnaire, alors que d’autres réussiront avec le temps à échapper à cette condition.

Il y a des choses que l’humain en involution, l’humain intelligent, l’humain qui veut avancer, il y a des choses que l’humain doit comprendre et une des choses qu’il doit comprendre, c’est le phénomène de l’autorité.

Pendant l’involution, nous avons voulu nous élever en conscience, nous avons voulu nous élever en spiritualité, nous sommes allés vers des maîtres, nous sommes allés vers des couvents, nous sommes allés vers des conventums, nous sommes allés vers des sociétés secrètes, nous avons fait des chemins et au bout de ces chemins nous avons trouvé des maîtres, nous avons trouvé des autorités et nous avons réalisé au cours des années que… Ah il y a toujours une lacune, toujours une lacune ! Nous étudions toujours la mauvaise chose au lieu d’étudier l’autorité, nous étudions la spiritualité, nous étudions la religion, nous étudions l’idéologie, nous ne regardons pas qu’est-ce que c’est, de l’autorité. Et si nous faisons une lecture, regardez ce que nous recevons au niveau de l’autorité :

De l’autorité, c’est de la compression de l’ego-lumière.

Donc un humain qui subit de l’autorité d’un humain ou de quelque chose, son ego-lumière, son être-lumière est comprimé. Et si son être-lumière est comprimé, il ne peut pas libérer cette lumière.

Et s’il ne peut pas libérer cette lumière, il ne peut pas être parfaitement sa lumière. Ça, c’est le danger de l’autorité.

Regardez les ravages que nous vivons, que nous avons vécus pendant l’involution et que nous vivons même jusqu’à aujourd’hui. L’abomination de la vie sur le plan matériel, l’autorité des scientistes qui croient être savants, l’autorité des religieux qui croient être Dieudonnés, l’autorité des politiciens, des politiques, des idéologies qui croient pouvoir faire avec les masses humaines ce qu’elles veulent pour le principe de l’État.

Et si nous regardons la confusion qui existe aujourd’hui dans le monde, c’est parce que nous n’avons jamais compris le phénomène de l’autorité, nous avons toujours étudié la mauvaise chose. Nous avons voulu être spirituels, élevés, grands, mais grands à partir de qui, de quel maître, de quelle idéologie ?

Le plus grand danger de l’humain, c’est de ne pas comprendre, de ne pas étudier, de ne pas savoir que l’autorité comprime son énergie, comprime sa lumière, lui enlève sa lumière, parce que quand quelqu’un impose son autorité sur vous, qu’est-ce qu’il arrive de vous ? Vous n’êtes plus. Vous n’êtes plus !

Et vous osez, pour des raisons émotionnelles, pour des raisons affectives, pour des raisons de collaboration avec la mémoire de la race, vous osez dire que : Ah ! Votre Dieu est grand, que votre Dieu est meilleur qu’un autre, que votre idéologie est la meilleure, et vous tombez dans la même trappe que les autres, vous imposez sur les autres votre autorité et le phénomène continue, se perpétue dans la société.

Mais un jour ce phénomène sera arrêté par l’humain, l’humain qui est un être unique, et qui est uniquement intelligent lorsqu’il prend conscience de son autorité. Vous ne sentirez jamais votre intelligence tant que vous ne sentirez pas votre autorité, je vous l’assure. Ce ne sont pas les doctorats qui vont vous donner de l’intelligence !

Ce ne sont pas vos études universitaires qui vont vous donner de l’intelligence !

Tant que vous n’aurez pas votre autorité, vous ne serez pas dans votre intelligence. Pourquoi ?

Parce qu’un humain qui est dans son autorité définit la réalité. Selon sa capacité, selon son taux de vibration, selon son évolution, il définit la réalité ! Qui va définir la réalité ?

Qui va dire, qui va définir ce que Dieu est ? Le prêtre ? Le chaman ? Le pape ? Et si l’humain est en communication télépathique avec le plan mental et qu’il commence ce qu’il veut, pour des raisons d’instruction, pour des raisons d’étude, poser des questions, mais qu’est-ce que c’est Dieu ? On va lui donner des réponses. Il aura des réponses ! Mais les réponses qu’il aura seront ses réponses, et non pas des réponses qui ont été calquées sur la mémoire sombre d’une humanité involutive dont les états psychologiques les plus élevés étaient des formes réellement complexes et avancées de l’animisme humanitaire. C’est de l’animisme ! C’est de l’âme ! L’humain est de l’âme !

Il n’est pas de l’esprit, il est de l’âme ! Il est de la mémoire ! Consciente, inconsciente. Il n’y a rien en lui qui soit lumière parfaite ! Parce qu’il n’a pas d’autorité. Tout ce qu’il a, il est allé le chercher dans des livres, dans des revues, dans des notions, dans des catéchèses !

Ça lui a été présenté par d’autres qui sont dans la même situation que lui, souvent plus ignorants que lui, mais professant, pour des raisons de grande virtuosité, d’être supérieurs à la race moyenne.

Le plus grand problème de l’humain sur la Terre est le fait qu’il n’a pas d’autorité ! Et il n’a pas d’autorité parce qu’il n’a pas d’identité ! Et il n’a pas d’identité parce qu’il est en réflection.

Donc étant en réflection, il est incapable, il est incapabled’appliquer les lois de la critique mentale à la critique psychologique, c’est-à-dire qu’il n’est pas capable de définir par lui-même les attributs extrêmement spectaculaires d’une conscience systémique, qui peut regarder dans tous les coins, à tous les niveaux de la vie ! Comprendre, définir, sur le plan matériel, sur le plan astral, sur le plan morontiel, comment s’exécute la volonté universelle, comment se définit la réalité universelle, comment s’évoquent les architectures des mondes qui créent à l’infini, sans que l’humain ne se rende compte !

Vous croyez que vos rêves sont le produit d’un subconscient parce que Freud a parlé de subconscient ? Ça n’existe pas, le subconscient ! C’est une conception, légitime. Lorsque l’humain aura l’autorité, l’humain saura, verra que le subconscient, ça n’existe pas, que les rêves sont créés, comme la pensée est créée, sur des plans qui font partie de sa multidimensionnalité systémique.

Et la raison pour laquelle vous aimez ces concepts, vous aimez le subconscient, vous aimez la réflection, c’est parce que tous ces mots, toutes ces notions vous protègent contre votre réalité, contre votre autorité, vous protègent contre un savoir qui est plus vaste que votre capacité d’en faire la critique.

Une autre lecture :

La pensée est simplement une modification, une modification de notre relation avec l’humain, pour sa protection.

La pensée, ce que nous vivons comme pensée est une modification extrêmement intelligente, créée par la lumière des mondes systémiques, pour protéger l’humain sur la Terre d’une destruction massive de son ego qu’on appelle la folie afin qu’il puisse, sur le plan psychologique, expérimenter la vie pour pouvoir créer une mémoire qui sert, au cours de l’évolution, au développement de nouvelles architectures. La pensée humaine sur la Terre fait partie d’une immense ADN cosmique, universelle, psychique et chaque fois que l’humain pense, que ce soit une bonne pensée, que ce soit une mauvaise pensée, c’est sans importance, toute cette énergie psychique fait partie d’une immense spirale d’énergie, qui fait partie de la volonté universelle de l’évolution. Tout évolue, tout se développe ! La vie, c’est une volonté évolutionnaire. Nous n’avons pas besoin d’établir, de structurer, d’instituer une divinité pour comprendre qu’est-ce que c’est, la vie.

 

Une lecture :

Ils disent que vous ne pouvez pas vous imaginer ou vous êtes obligés de vous imaginer un concept de Dieu parce que vous n’êtes pas capables de supporter l’impression que l’univers est gouverné par des milliards d’intelligences.

Donc pour vous faciliter la tâche émotionnelle, pour vous permettre de supporter cette infinité, ces masses de mondes, ces masses de mondes, ces masses de monde où vous aimez regarder à travers la télévision, vous aimez regarder à travers le télescope de Hubble, mais vous vivez la fascination, la fascination de cette grande divinité universelle en évolution.

Mais lorsqu’il s’agit de regarder plus profondément dans l’écharpe, dans la structure des mondes systémiques, vous craignez la pluralité des intelligences qui gouvernent les univers, vous préférez la synthétiser, amener tout ceci dans une formation, dans une notion qu’on appelle Dieu, pourquoi ?

Parce que l’unité favorise votre émotivité, alors que la pluralité fracture votre propre unité.

Vous vous rappelez au début du siècle, lorsque la science commençait et lorsque l’humain avec sa technologie, commençait à regarder dans les atomes, regarder au niveau des molécules, ainsi de suite, ou que des scientistes, des médecins regardaient, faisaient des études physiologiques, par exemple, de l’amour. On disait : Ah ben, de l’amour, c’est un phénomène électrique qui passe d’ici, qui s’en va là, bababa et les gens étaient déprimés parce qu’ils disaient : Ah ben, de l’amour comme ça, c’est de la merde, ça c’est... moi, vivre de l’amour, moi je… Alors pourquoi ? Pourquoi l’humain était vitrifié, pourquoi il était dépaysé ou même déprimé lorsque le scientiste faisait une analyse un petit peu trop critique de l’amour, de ces grands sentiments ? Parce que l’analyse, la science s’éloignait de l’unité pour entrer dans le mouvement pluraliste de la conquête de l’observation. Et l’ego n’est pas bien, on n’est pas intéressé de savoir que chaque fois qu’on embrasse notre femme, ce sont des électrons qui se promènent et bababa !  On ne veut pas, on veut simplement cette unité de conscience, cette divinisation de l’émotion.  Ah là, dans cette divinisation de l’émotion, on est bien ! Mais si on demeurait à ce niveau, on n’en arriverait jamais à comprendre la pluralité des mondes, la pluralité des expériences, la pluralité des phénomènes, ainsi de suite. C’est la même chose pour le concept de Dieu !

Vous croyez que l’humain peut en arriver à avoir une conscience intégrale, c’est-à-dire une conscience systémique sur le plan matériel, pouvoir définir la réalité, le phénomène matériel, astral ou morontiel à partir d’une conscience qui réfléchit ? Une conscience qui réfléchit, c’est une conscience qui n’est pas !

Une conscience qui réfléchit, c’est une conscience qui n’est pas, même si elle est très effective.

Il ne s’agit pas pour nous, en tant qu’humains, d’être découragés et de dire : Ah ben, on n’en arriverajamais à ces états de conscience ! Il s’agit pour l’humain de commencer petit à petit, à regarder jusqu’à quel point, dans sa vie, il est sans autorité.  Déjà c’est un grand mouvement, déjà c’est de la conscience, déjà c’est de la conscience qui s’éveille, parce que ça force l’individu, à son niveau, de faire la mainmise sur ce qu’il sait et de ne jamais se laisser influencer par ce qui est extérieur à lui. Et ça, ce n’est pas facile. Ce n’est pas facile !

 

Une lecture :

Être dans l’autorité ça équivaut à ne pas pouvoir avoir de maître.

Ne pas pouvoiravoir de maître, ceci ne veut pas dire qu’il n’y a pas de grandes personnes dans le monde, de grands maîtres, mais vous ne devez pas avoir de maître. Vous devez simplement pouvoir identifier des individus qui pensent peut-être comme vous. Ce n’est pas pareil. Ce n’est pas un problème : Ah lui, c’est bien ce qu’il dit. Ah ben lui, c’est bien ce qu’il dit. Ah ben lui, c’est bien... Ah ! Pas de problème ! Vous vous identifiez des amis dans le monde, mais de là à avoir des maîtres, un maître, c’est déjà une apostasie. Regardez :

Comment, comment pouvez-vous être avec nous si vous êtes avec les humains ?

Comment pouvez-vous être avec nous, c’est-à-dire avec la conscience systémique humaine, mentale, de l’humain individualisé, si nous sommes avec les humains, c’est-à-dire si nous sommes sous le joug de leur autorité ? Impossible.

Regardez bien le phénomène de l’autorité dans votre vie !

Il ne s’agit pas d’être radical, il ne s’agit pas d’être marginal, il s’agit de comprendre le phénomène de l’autorité. Moi, je fais comme tout le monde, j’arrive sur le coin de la rue, je respecte les lois. Je rencontre un policier, je dis : Bonjour, monsieur l’officier. Je respecte l’autorité mécanique du monde. Nous avons besoin de lois. Ce n’est pas de cette autorité que je parle. Je parle de l’autorité insidieuse qui me dit comment penser, comment définir le réel, comment définir l’invisible, comment définir Dieu. Cette autorité insidieuse qui fait partie du pouvoir temporel des religions, des philosophies, des idéologies, des maîtres. Un humain qui a un maître n’est pas lui-même un humain complet.

Si vous avez un maître, vous devriez être suffisamment conscient pour maitriser votre énergie afin que lui, un jour, apprenne de vous. Mais si votre maître ne peut pas apprendre de vous, vous n’êtes pas dans votre autorité. Vous êtes un disciple, vous êtes un con disciple. Un humain dans son autorité ne peut pas apprendre de personne ! Il apprend de lui-même. Il échange avec d’autres qui apprennent de lui-même, d’eux-mêmes et c’est ça la différence entre l’involution et l’évolution. C’est ça la différence entre la psychologie mécaniste du 20 ième siècle et la psychologie évolutionnaire qui prend racine dans le monde et qui permettra éventuellement à l’humain de comprendre les grands attributs de sa carrière évolutionnaire.

La conscience, c’est une science exacte. Ce n’est pas un feeling, ce n’est pas un état ténébreux, ce n’est pas un état émotionnel, ce n’est pas un état spirituel, de la conscience. C’est une science exacte ! Elle est dans sa propre autorité. Elle ne convient d’aucune autorité, et elle peut échanger avec toutes les autorités.

C’est une science exacte, la conscience. C’est une télépathie. C’est un lien systémique avec des mondes que, pour le moment, nous ne voyons pas, parce que nous devons remplir notre rôle en tant qu’agents incarnationnels sur une planète expérimentale.

 

Une autre lecture :

Le problème de l’humain, c’est qu’il croit qu’il est petit.

L’humain croit qu’il est petit et l’humain n’est pas petit, mais s’il ne se donne pas d’être dans son autorité, dans sa globalité, il sera toujours petit, parce que l’autre, le maître, sera toujours plus grand que lui. Et si vous sentez qu’il y a des gens dans le monde qui sont plus grands que vous en conscience, ça veut dire que votre conscience est inférieure à ce qu’elle devrait être.

Ça ne se compare pas, des consciences.

De la conscience, c’est de l’énergie pure. Ça ne se compare pas. C’est vibratoire, ce n’est pas psychologique.

Un jour, vous comprendrez que tout ce que vous avez étudié pendant l’involution n’a rien à voir avec l’intelligence. Vous lirez des livres, vous lirez des livres, vous sentirez dans les livres la spiritualité, vous serez obligés de les mettre de côté.

Vous lirez des livres qui, il y a vingt ans, vingt-cinq ans, vous avaient fasciné et vous direz : Ah ça, je ne peux pas lire ça ! Vous allez avoir une autre vibration.

Les livres vous sembleront être à l’eau de rose ! Vous sentirez l’angélisme dans les livres. Vous rencontrerez les gens et vous verrez et vous saurez instantanément qu’ils sont spirituels.

S’ils le sont trop, vous aurez le frisson, vous serez obligé de vous séparer d’eux, autant que par le passé vous avez cherché leur compagnie, parce que vous étiez vous-mêmes coupé du même matériel. L’humain est unique. Chaque être humain est unique. En potentiel. Une fois que l’humain se découvre, se réalise dans son unicité, il ne peut plus se dresser, s’habiller, s’envelopper dans les linceuls utilisés par les autres. Il ne peut pas. Il n’y a plus d’âme en lui, plus suffisamment de mémoire en lui. Il devient esprit, il devient systémique, il devient prépersonnel, il devient mental. Il ne fait que vibrer. Il n’a plus besoin d’étudier pour savoir. Il n’a plus besoin de réfléchir pour appréhender. Il est dans la paix de son esprit, parce qu’il ne cherche plus.

Tant que vous cherchez, tant que l’humain cherche, il est encore dans l’involution, il a encore besoin de maîtres. Je comprends la fonction des maîtres, je ne suis pas stupide, je comprends la fonction des religions, je ne suis pas ignorant. J’explique simplement un principe d’évolution. J’explique le mouvement de l’involution vers l’évolution et la grande fracture, ici, au bas du V, qui permettra à l’humain finalement de se libérer, mais de se libérer à partir de lui-même, pas à partir des maîtres, qui l’emprisonnent à un autre niveau, qui astralisent sa conscience à un autre niveau, qui le gardent dans une personnalité.

L’humain n’a pas besoin de personnalité, il doit être une personne, unique.

Regardez bien le phénomène de l’autorité dans votre vie. Et je ne parle jamais de l’autorité mécanique, je parle de l’autorité, de cette imposition sur votre mental, à travers vos émotions, de notions qui n’ont rien à voir avec le réel et qui font partie du pouvoir des autres sur vous et vous verrez jusqu’à quel point vous êtes coincé.

 Je me rappelle quand j’étais... il y a quelques années, ma petite fille était venue à la maison, elle était au couvent dans ce temps-là et elle est venue en fin de semaine et elle me disait : La sœur, durant la semaine, nous a dit que si nous n’étions pas gentilles, le petit Jésus pleurerait.

J’ai dit : Toi, qu’est-ce que tu penses ?

Elle dit : Je ne crois pas.

Ah, j’ai dit : C’est la réponse.

Elle était dans son autorité, la petite.

Je ne l’ai pas influencée, je l’ai laissée dans son autorité.

Je ne l’ai pas influencée maladroitement pour dire : Ah ben, tu dois écouter la sœur. 

 

Fin enregistrement

 

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  • Bernard de Montréal. psychologie évolutionnaire, psychisme, évolution, satan, lucifer, involution , mensonge cosmique, planète Terre, humanité, extraterrestres, nations, astral, conscience, mental, surmental, supramental, conscience , fin de cycle
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