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Hommage à Bernard de Montréal
28 octobre 2020

Centrisme et egocentrisme

019 

Il ne s’agit pas de confondre l’égocentrisme avec le centrisme, puisque l’égocentrisme est une manifestation subjective de l’ego directement façonnée par le caractère de l’individu, et puisant sa façon, sa couleur, sa manifestation, dans le tempérament de l’individu.

L’égocentrisme est un manque de maturité, c’est une incapacité naturelle de ne pas pouvoir se mettre dans la peau des autres, de ne pas pouvoir voir une situation d’une façon objective hors de soi-même, c’est une incapacité d’être vraiment humain dans le sens universel du terme.

L’égocentrisme trouve sa place chez l’humain parce que ce dernier n’est pas conscient de la force de l’intelligence de la conscience en lui qui essaie d’égaliser son rapport avec les humains, sans pour cela lui enlever l’intimité du rapport qu’elle a avec lui-même.

Le type égocentrique ne parvient jamais à pouvoir déceler chez les autres certaines vertus qui feraient de lui un être plus aimable, plus respectueux des autres, plus égal aux autres, dans la conscience universelle de l’humain.

Le grand malheur de l’égocentrisme ce n’est pas qu’il empêche l’individu d’être vraiment un humain, un être possédant le pouvoir de communiquer, d’étendre vers l’extérieur de lui-même les facultés créatives de sa conscience, mais plutôt le fait que l’être égocentrique est incapable de voir le monde autour de lui tel qu’il est, parce qu’il est lui-même trop aveuglé par une fausse conception de lui-même fondée sur un rapetissement constant de sa perspective vis-à-vis des autres.

Il y a dans l’égocentrisme différentes formes d’immaturité, par exemple : il y a l’immaturité de l’amour, l’immaturité de la connaissance, l’immaturité de l’intérêt envers les autres, l’immaturité de la perception des autres, l’immaturité de la perception réelle de soi-même, autrement dit, l’égocentrisme est une manifestation chez l’humain de l’immaturité de l’humain.

Toute maturité demande qu’un individu puisse égaliser ses rapports avec les humains afin de former, dans le milieu où il évolue, une société égalisante dans la mesure où chaque individu a le respect de l’autre, sans pour cela être égal à l’autre en faculté créative.

Par contre, un être centrique, un être conscient, un être qui réalise en lui la pulsation de cette conscience intelligente et de cette conscience qui égalise les rapports entre les humains en vertu de la loi universelle de l’humain, permet à l’individu de se réaliser pleinement dans son pouvoir interne tout en respectant pleinement le pouvoir, la capacité de réalisation des autres autour de lui.

L’être centrique ne cherche pas à diminuer ses rapports avec la société, avec son entourage, mais plutôt, cherche à égaliser constamment ses rapports afin de créer dans sa vie personnelle une ambiance qui génère constamment une nouvelle forme d’énergie, afin de permettre que l’interaction entre lui et les humains soit une interaction qui cherche de plus en plus à s’épanouir et à devenir créative.

L’être centrique ne cherche pas à conditionner son environnement selon des prétextes psychologiques faisant partie de sa nature subjective, au contraire il essaie de renouer constamment des valeurs avec son entourage, pourvu que ces valeurs soient rendues possibles par le fait-même de sa constante attention à leur développement, par contre si ces valeurs ne sont pas possibles, l’être centrique se retire et réorganise sa vie en fonction d’autres possibilités qui existent en lui.

Si nous retournons un peu à l’égocentrisme, nous découvrons que l’être égocentrique n’a d’yeux que pour lui-même, tandis que l’être centrique n’a pas d’yeux pour lui-même, mais il a des yeux pour voir autour de lui-même si les rapports entre lui et la société revêtent un caractère sain, un caractère équilibré, un caractère où la créativité peut être engendrée.

Là où l’être égocentrique éprouvera, pendant de longues années, un certain dédain pour les autres, l’être centrique cherchera constamment à établir, entre lui-même et les autres, un rapport de communication, un rapport d’équilibre qui servira à la fois à la vie vécue par lui-même et à la vie vécue par ceux avec lesquels il sera en contact.

Beaucoup d’êtres souffrent d’égocentrisme, parce qu’ils ne savent pas qu’il y a en eux une conscience universelle, dont le rythme et l’allure se développent constamment, au fur et à mesure que l’être commence à voir et à pénétrer l’illusion de son propre ego. Lorsque cet être a commencé à voir au-delà de cette illusion, il perd de cet égocentrisme et acquiert petit à petit une autre forme de conscience directement liée à la conscience universelle qui lui donne avec le temps une centricité fondée sur le rapport étroit entre l’âme et l’ego, plutôt que sur le rapport entre l’ego et la personnalité.

L’égocentrisme est le rapport de l’ego à la personnalité, tandis que le centrisme est le rapport entre l’ego et l’âme. De ces deux rapports, celui du centrisme est le plus fondamental, parce qu’il détermine chez l’humain la possibilité d’engendrer dans son milieu social, constamment, un plus grand amour de l’autre, un plus grand amour de l’humain, sans pour cela se dénuer lui-même et s’empêcher de vivre.

Tandis que l’égocentrisme va chercher, même d’une façon subliminale, à sevrer les liens entre lui-même et l’extérieur, sans le réaliser, sans souvent le vouloir, parce que justement, il n’a pas la maturité nécessaire pour voir le dommage qu’il crée au-delà de la frontière de lui-même.

Si nous comparons l’égocentrisme avec le centrisme, c’est pour le faire comprendre à ceux qui sont sur le point de s’entretenir avec ces deux différentes conceptions de l’être humain et de leur permettre de bien réaliser les nuances de la différence de ces deux états d’esprit.

Là où l’égocentrisme dirige l’organisation psychologique de l’être, le centrisme organise la psychologie de l’être, c’est-à-dire que là où vous trouverez du centrisme dans l’humain, vous pourrez dépister la pénétration de la conscience qui organise les pensées et les sentiments de l’humain, afin que l’humain soit de plus en plus reconnu dans son milieu comme un être sain, équilibré et naturel.

De nombreuses fois, l’égocentrisme se manifestera comme une certaine force de caractère, mais remarquez bien que dans toute force de caractère fondée sur la personnalité en relation avec une prédisposition de l’ego à l’immaturité, vous trouverez dans cette force de caractère une faille, quelque part sur le chemin, quelque part dans vos rapports avec l’être égocentrique. Et cette faille, à un certain moment donné, créera entre vous et cet être une division ou même une rupture.

Par contre, vous trouverez chez l’être centrique, chez l’être qui devient de plus en plus centrique, une façon de plus en plus naturelle d’aborder les rapports entre les humains, d’aborder la valeur dans les idées, d’aborder la conception du monde, et vous verrez que l’être centrique n’est pas réellement un être subjectif, mais un être objectif dont la conscience grandissante devient de plus en plus l’enveloppe de la personnalité et de l’ego.

A partir du moment où vous saurez reconnaître chez l’être centrique la qualité supérieure de l’humain conscient, il vous sera de plus en plus difficile de trafiquer avec l’égocentrisme humain, parce que vous aurez découvert dans cet être une qualité universelle, qui appartient de droit à tous les humains, pourvu que ces humains soient conscients d’une plus grande dimension en eux que la simple subjectivité fondée sur l’apparence de la personnalité et l’aspect concret du caractère.

Pour déceler la différence entre le centrisme et l’égocentrisme, il faut soi-même être avisé de l’existence de la réalité du centrisme en soi, et lorsque nous en avons perçu un peu, même seulement un peu, la réalité de cet état d’esprit qui est en réalité un état d’âme, il nous est impossible de ne plus pouvoir différencier entre ces deux états d’esprit, de sorte que tout contact éventuel avec d’autres êtres humains devient un contact différent, vu et perçu d’une façon différente, parce que justement le centrisme en soi nous a permis de déceler l’allure naturelle, objective, de l’humain, versus l’allure non naturelle de l’humain conditionné par sa personnalité et renfermé dans un ego qui ne peut voir au-delà de lui-même.

Le centrisme chez l’humain n’est pas seulement un état d’esprit, c’est aussi un pouvoir de vie qui lui permet de vivre sa vie en échanges avec d’autres, mais jamais contre les autres, tandis que l’égocentrisme chez l’humain le force, à cause du manque de maturité, à cause de l’impotence  réelle du tempérament naturel, de se manifester d’une façon consciente et d’une façon vitale en règle avec les lois de la vie, de sorte que l’être égocentrique est incapable d’être parfaitement en équilibre avec les autres parce qu’il n’a pas encore trouvé, en lui-même, l’équilibre parfait, bien que son égocentrisme puisse lui donner l’illusion d’un bien-être, l’illusion d’une maturité, l’illusion d’une autonomie, cette illusion est quand même fondée sur une personnalité qui n’a pas encore découvert les aspects réels de l’ego et la réalité-même de l’ego conscientisé.

Si l’être centrique doit un jour voir en-dedans de lui-même que toute manifestation de vie passant par la voie de l’ego est une manifestation d’une conscience universelle, il devient évident à cet être que toute autre forme de manifestation de l’ego est subjective et doit être considérée comme étant une déformation de la réalité de l’humain, c’est-à-dire une infirmité du caractère réel de l’humain, et du caractère universel de ce dernier.

L’exploitation de l’humain par l’humain est fondée, justement, sur l’état d’esprit que nous nommons  égocentrisme, l’exploitation de l’humain par l’humain est le refus de l’ego de bien envisager avec lucidité et précision le rôle dans la vie de tous les humains, de sorte que cette incapacité, multipliée à une très grande échelle sur une planète, amène une civilisation, un peuple, une nation ou plusieurs nations, éventuellement, à la conquête du plus fort sur le plus faible.

Là où l’égocentrisme devient un poignard dans le dos de l’humain, le centrisme devient un canal par lequel l’individu alimente d’autres individus autour de lui, parce qu’il a le pouvoir interne d’être agrémenté par une vision de lui-même qui n’est pas faussée par des qualités qu’il se donne selon les ouï-dire de la société environnante.

La conscience supramentale est la porte qui permet à l’humain de vivre le centrisme et de développer en lui-même les qualités nécessaires qui lui permettront avec le temps de développer ce centrisme à un point tel que toute manifestation de son ego soit en équilibre, en harmonie totale avec la conscience universelle en lui qui réfléchit la conscience universelle chez tous les humains.

L’être égocentrique ne peut jamais trouver dans la vie un point d’appui total et réel pour son existence, parce que toutes formulations des désirs qu’il entreprendra de développer et de vivre, manifesteront toujours une incapacité réelle d’intégrer ce qu’il est réellement avec ce qu’il croit être. Une telle situation, si elle s’aggrave au-delà des limites raisonnables de l’égocentrisme, fera de cet être, éventuellement, un être malheureux, un être seul, un être solitaire.

Effectivement, là où il y a de l’inconscience dans l’ego, il y a de l’égocentrisme. Mais beaucoup d’êtres spirituels cherchent de plus en plus à se libérer de cette forme outrageante de la personnalité, afin de se rapprocher de plus en plus d’une forme idéale ou idéalisante de leur potentiel. Il est à remarquer que ces êtres, bien qu’imbus de bonnes intentions, devront, à un certain moment donné de leur vie, réaliser que le centrisme ou l’absence d’égocentrisme, est une faculté de l’âme permettant à l’ego de se réaliser pleinement dans la réalité de la lumière de cette dernière, à l’aide d’une personnalité de plus en plus harmonisée à l’ego.

Là où l’humain entre dans l’erreur de l’égocentrisme, nous trouvons toujours deux aspects.

Le premier aspect est évidemment l’absence de conscience universelle dans cet humain qui puisse lui donner un point de vue objectif sur lui-même. Et deuxièmement, l’incapacité de cet être de réaliser qu’il y a, au-delà de lui-même, une autre réalité qui influe sur le comportement de l’ego sans que ce dernier en soit conscient, ou sans qu’il ne le réalise, c’est lorsque l’ego a commencé à réaliser ces deux points qu’il commence petit à petit à perdre son égocentrisme, et à réaliser qu’il y a, au-delà de lui-même, une réalité intelligente qui organise constamment son plan de vie en fonction des qualités et des défauts de la personnalité, afin que l’ego puisse par expérience devenir de plus en plus une force créative et égalisante dans la société.

Cependant, le travail fait par les forces invisibles sur l’ego est constamment mis en échec par la personnalité de l’ego qui est aveuglée par les formes extérieures et intérieures de la vie dont elle ne comprend pas les lois, et dont elle est souffrante. L’ego n’a presque plus de pouvoir de réalisation, et les forces, les intelligences qui œuvrent dans les sphères ont beaucoup de difficultés à éclairer l’ego, parce que ce dernier devient de plus en plus incapable de voir au-delà du mur d’acier qui l’enveloppe, de sorte que l’égocentrisme devient avec l’humain grandissant, une formule naturelle d’exploitation  de son existence qui le mène petit à petit vers les limites de la vie, c’est-à-dire vers les limites qu’il s’impose concernant les possibilités de la vie.

L’être centrique, par contre, développe de plus en plus une affinité pour la réalisation infinie de la vie, et pour la réalisation infinie des étapes de vie qui se situent au-delà du monde matériel.

Malheureusement pour l’humain égocentrique, il n’y a pas de porte ouverte vers l’infinité de la conscience, et c’est pourquoi l’égocentrisme généralisé aujourd’hui dans notre société moderne, est une forme d’incarcération soufferte à la fois par l’ego, et affligeant la personnalité.

L’humain doit devenir centrique, afin de pouvoir réaliser la différence entre ce qu’il était et ce qu’il peut devenir, et c’est par le contraste des deux états d’esprit que l’humain peut réaliser le plus la différence fondamentale entre l’égocentrisme et le centrisme ou la porte vers le supramental.

Si vous avez de la difficulté à saisir la nuance de cette différence entre les deux états d’esprit dont nous parlons, il s’agit pour vous de réaliser dans quel état vous êtes au moment où vous écoutez.

Si vous écoutez et que votre ego n’est pas impliqué dans le dialogue à ce moment, votre état est un état de centricité.

Si par contre votre ego est impliqué dans le dialogue, votre état reflète une forme plus ou moins développée d’égocentrisme. L’égocentrisme réfléchit toujours sur lui-même une situation de vie.

Dans le centrisme, il n’y a aucune réflection, l’être est tout entier, unifié dans la manifestation de vie de conscience, et la réflection  que l’on vit sur le plan de l’égocentrisme est totalement inexistante.

La règle de mesure fondamentale pour déceler s’il y a l’un ou l’autre, c’est la réflection en soi-même, lorsqu’une situation se présente à soi-même. La différence entre les deux états d’esprit est essentielle et doit être perçue précisément, afin que s’engendre dans l’être une plus grande perception de l’objectivité de conscience qui émane de la pénétration de l’universel dans l’humain et de la réduction de la subjectivité chez lui-même.

Lorsque l’humain a compris la nuance entre l’égocentrisme et le centrisme, il lui est possible alors de pénétrer petit à petit au fond de lui-même et de réaliser que les qualités dont il se croyait autrefois le porteur, sont en réalité des manifestations de l’âme par le biais de l’ego, dans le but de permettre à la personnalité de découvrir son potentiel, mais ces qualités demeurent toujours une énergie manifestée originalement à partir de l’âme, et non à partir seulement de l’ego.

L’égocentrisme est un état d’esprit malheureux parce que l’humain qui en est victime, doit constamment souffrir pendant la vie du poids de toute forme de réalisation qu’il veut bien se faire envers lui-même, tandis que dans le cas du centrisme, l’être, tout en réalisant la permanence de la conscience en lui, ne subit plus le poids de la réalisation de l’énergie communiquée par le biais de l’ego pour le bénéfice de l’évolution de l’âme, il vit simplement cette énergie et son ego est toujours libre de la vibration, tandis que la personnalité continue à être un support sur le plan matériel pour l’ego.

Il est inutile à l’être centrique de vivre le combat incessant de l’être égocentrique envers lui-même ou envers les autres autour de lui, puisque l’être qui est devenu centrique a réalisé que toute forme d’énergie qui le pénètre est une forme d’énergie créative qui sert à organiser sa vie en fonction d’un but qu’il peut ou ne peut pas connaître, selon la relation étroite qu’il peut avoir avec les forces dirigeantes de l’évolution ; la vie devient alors facile car l’ego au lieu d’être en attention sur lui-même, sert plutôt de canal afin que passent à travers lui les forces créatives de la conscience, la vie devient alors plus simple, plus facile et plus agréable car l’ego n’est plus en conflit avec lui-même ou les autres autour de lui.

Mais le centrisme dans sa forme la plus parfaite n’est pas toujours facile à atteindre, parce que justement, l’ego se voit obligé de diminuer de plus en plus sa relation avec l’illusion de lui-même, pour entrer dans une nouvelle forme de vie où il s’aperçoit que c’est le courant de la vie qui mène son activité, plutôt que lui croyant mener cette activité.

Là où l’égocentrisme cherche à dominer, le centrisme cherche de plus en plus à être guidé dans toutes les facettes de la manifestation de la conscience sur le plan matériel.

Là où l’égocentrisme veut combattre, le centrisme cherche la paix, le calme, l’unité.

Là où l’égocentrisme cherche à se manifester, à se donner un statut, à se donner une fausse gloire, le centrisme ne cherche plus, le centrisme devient simplement la façon de vivre selon la loi de la conscience universelle chez l’humain.

L’égocentrisme se remarque par un effort constant, par une tendance naturelle de dépasser quelque chose. L’égocentrisme est toujours en effort, il cherche toujours à réaliser quelque chose, ou à imprimer quelque chose dans son existence, tandis que le centrisme devient de plus en plus passif, créatif, c’est-à-dire qu’il devient de plus en plus un canal par où la conscience créative se manifeste selon le degré de réceptivité de l’ego à l’énergie de l’âme.  Il est souvent difficile au début pour l’humain de bien comprendre la différence, de bien saisir la nuance entre l’égocentrisme et le centrisme. Je tiens à bien définir cette différence, à bien établir les nuances, afin que ceux qui avancent dans la conscience du supramental puissent se fortifier petit à petit de la connaissance précise, de la réalisation de plus en plus parfaite de l’état d’esprit dans lequel il se trouve.

Devenir centrique est beaucoup plus qu’une valeur morale., c’est en réalité un pouvoir interne qui force l’être humain à devenir de plus en plus conscient de toutes les faiblesses, de tous les manques, de toutes les divisions qui existent en lui, à cause de sa perte de communication avec les intelligences qui évoluent dans les sphères et qui cherchent de plus en plus à entrer, à la fin du siècle, en communication mentale avec l’humain, afin que l’égocentrisme de l’humain qui a créé sa condition présente soit remplacé par un centrisme intégral qui permettra à l’humanité, au cours des siècles qui sont devant nous, de réaliser dans la plus grande conscience des œuvres qui permettront à tous les humains d’être heureux, parce que tous les humains auront été unis dans une conscience universelle.

L’égocentrisme réfléchit la déchéance de l’humain, comme le centrisme réfléchira l’avenir nouveau de l’Humain de demain.

 

 

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  • Bernard de Montréal. psychologie évolutionnaire, psychisme, évolution, satan, lucifer, involution , mensonge cosmique, planète Terre, humanité, extraterrestres, nations, astral, conscience, mental, surmental, supramental, conscience , fin de cycle
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