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Hommage à Bernard de Montréal
10 novembre 2020

la mort et ses effets

021a

La mort et ses effets sur la conscience de l’humain et de la Terre.

Le phénomène de la mort est inconsistant avec les hautes formes de vie car la mort retarde l’évolution de ces hautes formes de vie, de sorte que l’énergie de la vie, au lieu de se perfectionner c’est-à-dire au lieu de se raffiner constamment, se condense de plus en plus, jusqu’au point où, dans le cas de l’humain, au lieu de bénéficier de son énergie, il se voit obligé d’en revivre constamment les effets sur le plan matériel, sans pouvoir s’en débarrasser que par le phénomène de la loi de retour et d’équilibre qui demande que tout système de vie consciente et auto-réflective réorganise l’énergie mal utilisée dans son expérience passée afin qu’elle ne demeure pas en suspension indéfiniment sur les plans subtils qui risquent au cours des âges d’affecter la vie mentale, émotive et physique de l’humain, empêchant ainsi ce dernier de perfectionner ses champs de forces, c’est-à-dire sa conscience multidimensionnelle

Or la mort est acceptée comme phénomène naturel par l’humain, car sa mémoire expérientielle et son expérience de vie présente, le confirment dans l’inévitabilité, et pourtant, l’humain reconnaît qu’au cours de son histoire, certains êtres ont échappé à la mort, marquant ainsi l’histoire de l’humain et lui rappelant que la mort peut être dépassée. Or l’humain a fait de ces cas inusités des monuments à l’immortalité sans jamais pouvoir comprendre par lui-même et pour lui-même que la mort n’est que le produit de la loi de cause et d’effet de la mémoire de l’âme sur ses principes de vie et que la loi de cause et d’effet n’est qu’une loi mécano-cosmique qui est due à son incapacité de vivre selon les lois de la lumière.

 

La mort, telle que l’humain la connaît expérientiellement, est le rejet de la matière de la part de l’âme qui n’a pas atteint encore, au cours de son évolution, la vibration nécessaire que confère l’expérience et qui n’a pas été enregistrée dans le monde, c’est-à-dire dans le temps,  car le monde, dans le sens des lois de la vie, c’est le temps, c’est-à-dire cette dimension de la réalité qui permet à toutes les âmes de converser entre elles, c’est-à-dire de verser les unes dans les autres le courant de leur expérience. Ce qui crée le temps, c’est le passage d’une âme vers une autre de la mémoire de l’expérience. Et lorsqu’une âme n’a pas évoluée jusqu’au point où elle puisse passer son expérience, transmettre son expérience, elle empêche que se forme ce que nous pouvons appeler un courant universel, c’est-à-dire un courant d’énergie permettant à l’Intelligence de remplacer l’expérience par l’action créative instantanée, cette action créative ayant le pouvoir de soustraire les principes de l’humain des effets de la mémoire de l’âme de sorte que ce dernier puisse vivre de l’énergie de ce courant plutôt que de vivre selon la mémoire et de son effet sur la vie humaine.

C’est ici que nous découvrons que l’humain est prisonnier de la loi de cause et d’effet, mais prisonnier plutôt de l’effet que de la cause, car la mémoire conditionne l’humain et ce conditionnement le fait vivre au niveau de l’effet dont il ne connaît pas la cause, et ne connaissant pas la cause de la vie, il ne peut comprendre la vie que par le mirage de l’effet de la mémoire sur lui, de sorte que l’humain ne vit pas mais existe.

 

Mais l’existence condense les énergies de l’humain et les rend de plus en plus denses, de sorte que sa conscience diminue graduellement jusqu’au point où ses sens ne demeurent que son seul point de repère de références pour comprendre la vie et ses lois.

Or les lois de la vie ne peuvent s’enregistrer dans l’humain que par vibration, c’est-à-dire que par le mouvement de ce courant d’énergie en lui qui est libre de sa mémoire et constitue la cause de tout ce qui est ressenti en lui, plutôt que l’effet et cette cause, cette énergie tant qu’elle n’est pas comprise dans son ensemble, dans son Intelligence, ne peut permettre à l’humain d’augmenter le taux vibratoire de ses principes afin d’échapper à la mort, c’est-à-dire au rejet du corps matériel par l’âme qui doit accumuler de plus en plus d’expériences, initiant ainsi la loi de retour, la loi de réincarnation. La réincarnation ne résout pas le problème de l’humain bien que l’âme bénéficie de plus en plus de l’expérience.

L’humain aussi doit bénéficier en totalité de la vie et son pouvoir de vie dépend de sa capacité de se libérer du pouvoir de l’âme sur son esprit, c’est-à-dire de sa mémoire  car la mémoire de l’âme empêche l’humain de vivre dans l’instant de vie, c’est-à-dire dans le courant de l’énergie de vie qui est libre de la mémoire, ou de ses effets, sur ses principes subtils. La mort correspond à l’inévitabilité de l’effet accumulatif de l’âme et de sa mémoire, mais elle correspond aussi à la densification de l’énergie de l’humain, de sorte que le courant universel ne peut être canalisé, ce qui mène à la mort naturelle lorsque le corps physique est affaibli et ne peut plus retenir l’âme.

La mort, un jour, sera élevée au stage de la progression de la conscience de la forme, de sorte que l’humain, au lieu de mourir c’est-à-dire de perdre à tout jamais son corps matériel, élèvera la vibration de ce corps qu’il continuera à utiliser, jusqu’au jour où ce corps ne lui servira plus et l’humain cessera de l’habiter dans sa forme raffinée. La mort, telle que l’humain la connaît, prédispose les énergies de la mémoire de l’âme à demeurer en suspension pendant de plus ou moins longues périodes de temps. Mais, alors que ces énergies demeurent en suspension sur différents plans de l’éther, l’être mort ne peut plus servir à faire évoluer les mondes inférieurs car il a perdu son lien avec l’énergie du rayon de sorte qu’il peut évoluer sur les plans de la mort, mais cette évolution le confine à des expériences de vie qui coïncident toujours avec la mémoire de l’âme, mais jamais avec l’intelligence du rayon. C’est une des raisons, d’ailleurs, pour lesquelles les intelligences qui veillent à l’évolution de la Terre ne permettront jamais que la planète soit totalement détruite et que tous les humains meurent car s’il en était ainsi la Terre ne pourrait plus servir dans le plan de l’évolution et dans le plan d’évolution du système solaire, ce dernier serait avorté, heureusement pour l’humain et pour l’évolution de l’univers.

C’est pourquoi l’initiation solaire est si importante car elle permettra à l’humain de communiquer avec l’intelligence du rayon, ce qui lui permettra d’être intelligent au lieu de se servir de sa mémoire. Si nous lisons les textes anciens, il était toujours convenu que les dieux, ou Dieu, sauveraient l’humanité s’il y avait dans le monde, et dans le moindre des cas, un humain juste, voilà une des raisons pour ces paroles qui cachent une grande vérité.

Or lorsque l’humain aura dépassé les dangers de la mort matérielle, les énergies de la vie en lui augmenteront car ses corps subtils développeront un taux vibratoire supérieur à celui qu’il connaît maintenant et l’humain pourra participer à l’évolution future, lié à jamais à une intelligence créative faisant partie de ce rayon de création, ce que nous pouvons appeler l’ajusteur de pensée.

Mais la mort, c’est-à-dire la mémoire de l’âme vécue sur d’autres plans, ne peut être évitée tant que l’humain n’a pas cessé de se nourrir de sa mémoire et de vivre selon ses rappels. C’est pourquoi le grand secret de l’initiation solaire est la réalisation que l’humain ne doit plus vivre dans l’illusion qu’il pense, mais réaliser de plus en plus que l’intelligence est en lui et se sert de la pensée pour communiquer avec lui. Lorsque le mental et l’émotif de l’humain ont atteint un niveau suffisant de maturité, l’humain entre dans la conscience supramentale, point de repère absolu de son lien avec l’intelligence du rayon. Le rayon est la puissance même dans l’humain, et un jour elle sera la puissance même de l’humain. La vie sera immortalisée sur la Terre, et jamais plus on ne parlera de mort là où les humains conscients évolueront. Lorsque l’humain cessera de parler de la mort, il parlera de la vie  et c’est la vie sans fin qui deviendra son point de mire, et non la mort terminale qu’il connaît dans sa condition actuelle.

L’humain a un droit fondamental à l’immortalité car il est lié au rayon, mais ce droit lui est retenu à cause de son esclavage à la mémoire de l’âme, de sorte qu’il perd continuellement le pouvoir de vivre selon les lois de la lumière et ne vit que selon une forme ou une autre de spiritualité ou de matérialisme. Or, la spiritualité, bien que représentant chez l’humain un niveau plus évolué que le matérialisme, ne l’affranchit guère, car il doit un jour ou l’autre être affranchi d’elle aussi afin de ne vivre que de la puissance du rayon en lui. Évidemment, ceci est une considération des plus importantes et des plus fondamentales pour l’évolution de l’humain. 

La mort a toujours été célébrée par l’humain car il a toujours douté de l’immortalité et ce doute s’est constamment renforcé. Aujourd’hui, l’humain de science croit découvrir la possibilité de l’immortalité dans la cryogénie ou la duplication des cellules, cette conception mécaniste de l’immortalité sera aussi dépassée lorsque l’humain s’apercevra que les lois de la vie sont plus fondamentales et plus voilées qu’il ne l’envisage.

La mort de l’humain retient dans les hautes sphères les forces créatives cosmiques et empêche que s’établisse sur la Terre l’empire de la lumière cet empêchement est sur le point de cesser car un nombre suffisant d’êtres humains seront élevés dans la vibration cosmique à la fin du cycle de la 5e race. Cette élévation de la conscience sur la Terre créera de nouvelles conditions d’évolution et un écart divisera les humains nouveaux des humains anciens. Cet écart sera nécessaire et inévitable car la vibration des humains nouveaux sera trop élevée pour que ces derniers puissent suivre la courbe historique de l’évolution planétaire.

Les humains de l’espace viendront et rencontreront l’humain nouveau et cette rencontre amicale créera sur Terre une abondance que seule l’utopie peut décrire. Mais avant que la mort se retire de la vie de l’humain, un très grand nombre la connaîtront car la fin du cycle ne ressemblera en rien à ce que l’humanité a déjà connu et l’humanité perdra beaucoup de ses enfants. Mais elle ne se sera pas anéantie, car le rayon de la vie est plus puissant que la faux de la mort.

L’âme possède sur l’humain un grand pouvoir tant qu’il est inconscient, celui de lui imprimer les vibrations de sa mémoire, or sa mémoire constitue une vaste gamme d’expériences passées que l’humain inconscient ne peut reconnaître qu’à la lueur du discernement, d’un discernement de plus en plus précis et ce discernement doit grandir au fur et à mesure que l’humain sort de sa conscience émotive et mentale, afin de vivre dans la conscience supramentale.

L’âme et la mort sont les deux plus grands ennemis de la vie rayonnante du rayon et c’est pourquoi la descente de la conscience supramentale sur la Terre bouleversera le cours de l’histoire humaine car nul et rien ne peut s’opposer à la lumière, ni l’âme, ni la mort. Mais la lumière est si puissante qu’un nombre très faible pourront la connaître au début du cycle. L’évolution cependant continuera, et l’humain fera un jour partie de la hiérarchie, comme il se doit. 

La mort ne peut empêcher la descente sur Terre des représentants de la hiérarchie car ces représentants se fondent avec elle, et nulle puissance ne peut contrer leur science. Tant que l’humain désire vivre sur sa planète selon son tempérament naturel, il fera de sa planète un lieu où se détériore graduellement la conscience humaine, bien que cette dernière ait atteint une autosuffisance technologique hors pair. Ce n’est pas de la science d’aujourd’hui qu’aura besoin l’humain de demain, mais de la science du rayon, car cette science est vibratoire, elle est lumière, et toute matière lui obéit.

Les plans de la mort correspondent aux plans de la mémoire de l’âme et tant que l’humain est voué à la mort, son esprit souffre, car il découvre éventuellement qu’il y a plus à la vie que ce qu’il connaît, et cette souffrance s’accentue au fur et à mesure qu’elle se rapproche de par son évolution, des limites que lui impose sa mémoire, surtout après la mort car il découvre alors que son intelligence n’est pas réelle, mais une continuité de son aveuglement. Or l’humain doit vivre d’une intelligence extérieure à son expérience de vie présente ou passée afin de pouvoir briser les formes dont est construite sa conscience expérientielle.

Il fut nécessaire, au début de son évolution, que l’humain développe une mémoire, une âme, afin d’accroître le plus possible son pouvoir sur la matière par le biais de l’émotion et de l’intelligence. Mais lorsque ce stage ne correspond plus à son potentiel futur, il faut qu’un être cosmique tel que celui que nous avons connu, que nous avons appelé « le Christ »  s’incarne sur le plan matériel afin d’ouvrir les circuits universels entre l’humain et le rayon. Mais l’humain n’était pas prêt, personnellement, à en connaître la valeur de l’expérience car l’initiation solaire ne devait être réalisée que deux mille ans plus tard, afin de préparer le monde et certaines conditions essentielles au passage du rayon.

Et c’est la fin du cycle qui correspond et correspondra avec ces conditions dictées par les lois de l’évolution. L’être qu’on a appelé « le Christ » a montré à l’humain son pouvoir sur la mort, mais l’humain n’était pas prêt à réaliser que cette démonstration coïncidait avec son évolution future, alors il a fait du Christ un dieu, au lieu de le réaliser en tant qu’être remarquable et cosmique. Et lorsque l’humain fait d’un humain un dieu, il diminue sa conscience car il se sert de son émotivité et de son intellect subjectivement, c’est-à-dire d’une façon ni cosmique, ni créative.

Certains diront : « mais oui, mais le Christ n’était-il pas un des fils créateurs, un des Michaël ? ». Oui ! Il est un des fils créateurs et un des Michaël, mais ceci ne diminue en rien l’humain, puisque l’humain aussi peut devenir un fils créateur ou un Michaël, plus tard, au cours de l’évolution des systèmes encore inhabités des super-univers. Alors le point demeure toujours pour l’humain de se réaliser à travers le rayon de la création en lui, et non à travers un être cosmique qui vient sur la Terre pour le sortir de son ignorance ou lui faire connaître un principe nouveau de vie.

La mort a ses avantages pour l’humain inconscient, elle le libère de la souffrance de la Terre, mais elle n’est plus un avantage pour l’humain conscient, pour l’humain supramental car il sait déjà qu’elle peut être dépassée. Tant que l’humain ne possède pas suffisamment d’Intelligence, tant qu’il n’est pas suffisamment conscient du rayon en lui, il ne peut voir l’importance de vivre sa vie matérielle sous le parapluie de ce rayon et d’en comprendre l’importance vibratoire. Ce caractère vibratoire du rayon est important, essentiel, car c’est de cette vibration que croissent le mental et l’émotif de l’humain, que se construit la conscience supramentale en lui, et que s’ajustent ses corps subtils.

Comment faire la différence entre une vibration qui vient de l’âme, qui vient de la mémoire, et une vibration qui vient du rayon dans l’humain ? Il s’agit simplement de réaliser que le rayon qui transperce l’humain devient conscience permanente, c’est une sorte de présence vibratoire, une sorte d’état, qui fait que l’humain ne peut en être parfaitement libre, même dans les moments les plus heureux. Tout le reste vient de l’âme. C’est la présence de ce rayon qui construit dans l’humain une résistance à la vie subjective et lui permet de développer une Volonté et une Intelligence supérieures. Lorsque la mort vient, elle ne peut frapper un humain qui a appris à vivre de cette énergie, car déjà ses corps sont suffisamment lumineux pour absorber l’énergie de l’âme. Une fois absorbée, cette énergie est sous son contrôle, c’est ce que nous appelons « l’immortalité ».

Plus l’humain apprendra à connaître et à comprendre les lois de la vie et de la mort, plus il se libérera de ses fantaisies matérialistes ou spirituelles, et plus se fera sentir en lui le rayon, car le rayon est Intelligence et là où il y a un début d’Intelligence dans l’humain, là où de nouvelles idées pénètrent dans l’humain, plus il est possible à cet humain d’évoluer. Ce n’est pas toujours facile de considérer la mécanique universelle de façon supramentale, mais nous n’avons pas le choix à longue échelle car l’humain ne peut pas toujours vivre d’ignorance. Un jour ou l’autre il doit tendre l’oreille, même si ce qu’il entend lui fait un peu mal ou même un peu peur, car il dort depuis si longtemps.

L’effet de la vie et de la mort doit être connu. Les mystères ne doivent plus avoir leur place dans la vie de l’humain, sinon il ne pourra jamais rien comprendre et sera forcé de retourner dans des mondes qui ne peuvent le soulager, car ces mondes ne sont pas réels, ils ne sont que mémoire. La mort est la mémoire de la vie, et la vie est la mémoire de la mort. Seule l’immortalité est le réel visage de la vie, et seule la vie immortelle est la destinée de l’humain. Entre ces deux vies possibles, l’humain a le choix, c’est-à-dire qu’il a l’opportunité selon son degré d’évolution.

La mort du corps matériel ne peut que ralentir l’évolution, mais ne peut l’arrêter, car les êtres silencieux veillent à ce que l’humain, un jour, puisse les reconnaître et travailler consciemment avec eux à partir du plan le plus bas, afin que les hautes et les basses sphères soient unies et que l’atome serve l’humain, car l’atome aussi doit évoluer et tant que l’humain ne vivra pas du pouvoir du rayon, l’atome lui-même sera retardé dans son évolution et tout ce qui en dépend sera menacé.

Les mondes de lumière qui évoluent librement en dehors des limites de la matière se servent créativement de l’atome, et ces mondes s’inquiètent de l’utilisation énorme et erronée qu’en fait aujourd’hui l’humain. Le lien entre l’atome et l’humain est très vaste, mais les dangers, de mort collective, qui peuvent en découler aussi, sont très vastes. Il faut comprendre à tout prix l’Intelligence du rayon, afin de se soustraire des effets terribles que peut entraîner une humanité qui ne réalise pas encore les méfaits de la mort. La soif du pouvoir sur la Terre est tellement grande aujourd’hui, que peu s’en faut pour que l’humanité en grand nombre subisse la destruction par le feu. Et pourtant le feu peut rendre de si grands services à l’humain.

Pour l’humain, les questions de vie ou de mort, ou même d’immortalité, ne sont que des questions philosophiques, c’est-à-dire intellectuelles, ni plus, ni moins. Mais pour l’être supramental, déjà le débat est clos et il le demeurera toujours. L’humain s’est toujours demandé : qu’est-ce qui se passe après la mort ? Quel genre de vie connaît-il ? Ainsi de suite... La mort le fascine autant qu’il peut être fasciné par l’immortalité, s’il y croit ou voudrait y croire.

Eh bien la mort est le résultat de la séparation des principes inférieurs de l’humain, à partir de ses centres, c’est-à-dire que les enveloppes d’énergie qui constituent son corps vital, son corps émotionnel et son corps mental, se séparent les unes après les autres, le corps mental étant le premier à se détacher et à retourner sur le plan mental inférieur, le corps astral, et ensuite le corps vital. Lorsque le corps vital se détache en dernier de tout, le corps matériel n’a plus de support, et l’on connaît le rigor mortis ou le durcissement de l’enveloppe matérielle. Lorsque le corps astral se retire, tout le matériel de vie de l’humain, ses passions, ses appétits, etc. tout ce qui avait rendu sa vie intéressante devient mémoire, c’est-à-dire que l’énergie de ce corps est subtilement absorbée éventuellement par l’âme, et il ne reste plus que l’enveloppe externe, vide de son contenant.

Il en est ainsi pour le corps mental. Tout redevient mémoire et l’âme se retire. C’est-à-dire que la mémoire de l’humain d’autrefois est aspirée en elle et l’âme retourne sur son plan, c’est-à-dire dans un monde qui n’est pas humain, mais totalement mémoire. On appelle ce monde « les archives de l’humanité », alors que l’âme retourne aux archives, le corps mental, le corps astral et le corps vital demeurent en suspension sur leur plan respectif. Et lorsque le temps vient pour une nouvelle incarnation, ces corps sont restitués, leur mémoire, et un humain naît sur la Terre, outillé une fois de plus.

Certains se demandent ce qui se passe lorsqu’ils communiquent avec un défunt, une mère par exemple. Et bien lorsqu’un humain communique avec un être cher et qu’il reçoit une réponse, il communique avec la mémoire de cet être, c’est-à-dire qu’il rejoint une partie de cet être qui n’est pas totalement extrait en mémoire par le retrait total de l’âme. Si l’âme n’a pas fait un retrait total de la mémoire des enveloppes, c’est parce qu’elle en fut empêchée temporairement par les êtres silencieux qui veillent à ce qu’un Terrestre puisse être soulagé, mais avec le temps cette mémoire disparaît totalement dans les archives et les communications deviennent moins fréquentes, plus difficiles.

D’autres se demandent : comment explique-t-on le phénomène du fantôme, du poltergeist ? Et bien le poltergeist ou le fantôme, représente la présence sur le plan matériel soit du corps astral, soit du corps vital d’une personne décédée qui n’a pas encore été soumise au retrait de l’énergie de la mémoire par l’âme. Et tant que l’âme ne s’est pas totalement retirée d’un des principes, ce dernier peut jouir d’une certaine affectation, c’est-à-dire qu’il peut réapparaître sur les plans plus denses de la matière et être vu par les yeux de l’humain. Mais l’être vu n’est plus l’être de jadis car déjà le corps mental n’est plus, et si le corps mental n’est plus, l’apparition n’est que forme, image. Dans de très rares cas, là où le mental, l’astral et le vital se retrouvent réunis au-delà de la vie matérielle, l’humain sera plus réel que dans les cas précédents, mais encore selon des lois particulières à cet humain.

Les initiés qui, par le passé, se montraient à l’humain après la mort, possédaient tous leurs principes, et ceci était conforme à des lois leur permettant de réapparaître après la mort, mais dans ces cas, l’âme n’était pas retournée aux archives, elle avait été intégrée dans leurs principes et ces êtres étaient immortels. Mais en général, lorsque l’humain meurt, ses principes se séparent et l’âme retourne aux archives et les corps subtils, libres de l’énergie de l’âme, demeurent en suspension sur leur plan respectif, jusqu’à ce qu’ils soient réutilisés plus tard pour une incarnation éventuelle.

Quels que soient les cas de vie après la mort, tous peuvent être compris, pourvu que l’humain soit dans l’intelligence du rayon qui l’anime. Ainsi, il est protégé des témoignages externes c’est-à-dire d’êtres partiellement ou mal informés en communiquant avec des plans, ou avec une mémoire partielle.

Pour bien comprendre la mort, il faut bien comprendre le phénomène de l’œil. L’œil est le seul sens chez l’humain qui lui permet d’être en conscience mentale, astrale et vitale, à la fois et c’est à partir de ce sens que se construit, dans ses principes, une mémoire phénoménale et très vaste, dont il n’est pas toujours conscient lui-même, mais qui peut servir dans le monde des esprits car après la mort matérielle, l’œil a permis le souvenir au mental, à l’astral et au vital, et c’est pourquoi l’on dit souvent que l’œil reflète l’âme. En effet, l’œil reflète la mémoire de ces trois principes et ces trois principes sont les enveloppes subtiles qui contiennent l’information dont se servira l’âme pour son évolution.

Évidemment, si un humain entre en communication avec un, deux, ou trois de ces principes et que la mémoire n’est pas encore retirée, l’humain aura la ferme impression d’avoir vu ou communiqué avec un être cher. Mais après la mort l’âme n’est pas dans le corps physique et dès qu’elle se retire, l’humain n’est plus, il n’y a que mémoire et un jour il n’y aura plus que des coques, des enveloppes vides de cette mémoire du mortel, dont l’âme aura totalement retiré le matériel.

L’humain se pose aussi des questions sur le phénomène des endroits dits hantés, ces endroits représentent pour le décédé un environnement dont sa mémoire est encore intacte, ou partiellement intacte, alors si la mémoire du corps vital est encore intacte, ce corps se rattachera à cet endroit et ceci peut être pendant de longues périodes. On dit alors que l’âme est troublée, mais en fait, ce n’est pas que l’âme est troublée, mais c’est dû au fait que les êtres silencieux ont empêché l’âme de retirer la mémoire de cette coque, de ce véhicule, afin de maintenir vivante dans un coin quelconque de la Terre, l’idée de la vie après la mort afin que l’humain sache qu’il n’est pas seulement matériel, mais il n’y a pas de vie comme telle après la mort, il n’y a que mémoire et c’est l’activité de la mémoire qui donne à l’humain l’impression de la vie après la mort.

Le mot vie peut dire beaucoup de choses, selon qu’on la considère partielle, c’est-à-dire principes actifs séparés et possédant une mémoire pleine ou partielle, et la vie Terrestre où tous les principes sont actifs. Le mot vie après la mort n’est pas parallèle au mot vie sur la Terre. C’est-à-dire qu’il faut considérer que sur la Terre, la vie est totale, mais non parfaite, tandis qu’après la mort, la vie est partielle ou nulle, selon la mémoire du principe. Si le principe possède une mémoire, la vie est plus réelle. Si la mémoire est restreinte, la vie aussi est restreinte. Tout dépend du rapport entre l’âme et ces principes, et ces rapports sont rigidement contrôlés par les êtres silencieux qui s’occupent de ces travaux.

Beaucoup peut être expliqué sur la mort ou la vie après la mort, mais cette entrée en matière ne sert qu’à faire reconnaître à l’humain l’importance de l’immortalité et lui faire réaliser que l’immortalité est le résultat de son évolution, c’est-à-dire de sa capacité à comprendre les lois de l’esprit afin qu’il puisse un jour être en harmonie vibratoire avec le rayon dont son intelligence est l’ajusteur de pensée.

La mort en soi est une condition de l’involution et tant que l’humain n’est pas conscient de la vie réelle, il ne souffre pas de son ignorance, mais lorsque la conscience supramentale descend en lui, l’autre versant de la montagne n’est plus une solution au problème de l’évolution. Certains diront qu’auparavant, au moins, ils avaient ou vivaient de l’espoir qu’après la mort la vie continue et que maintenant si l’humain ne tend pas à la conscience supramentale, il se retrouvera un jour divisé dans ses principes, un peu comme l’automobile avant de sortir de la ligne de production. Ceci risque de causer une certaine tristesse dans l’humain, disent-ils. Et bien ne vous inquiétez surtout pas, car plus vous en savez sur la vie et la mort, même si vous mourez, la mémoire vous servira et si votre mental est grand, parce que vous avez vécu une vie plus intelligente, les êtres silencieux permettront que vous gardiez votre mémoire et ceci est un point important.

Une des tâches les plus délicates de ces êtres merveilleux est justement de permettre que les morts dont les principes ont accumulé de la lumière dans leur mémoire, sont permis de garder cette mémoire et c’est justement cette mémoire qui permet à ceux qui sont de l’autre côté de voir la lumière car leurs principes sont sur des plans supérieurs. Mais ceci laisse encore l’eau à la bouche car l’humain veut bien de l’autre côté ne pas être simplement un principe mais un lui-même qui évolue t je répondrai à celui-ci de ne pas s’inquiéter non plus, car la mort telle que se l’imagine l’humain n’existe pas. La mort est simplement le retrait de la vie mentale sur son plan, la vie astrale sur son plan et la vie vitale sur son plan, l’humain en tant que tel n’est plus car le physique n’est plus.

Mais remarquez que la nuit lorsque vous dormez, vous êtes sur le plan astral et le mental est sur le plan mental et seul le vital demeure accroché, fixé au corps physique, et  pourtant, vous n’êtes pas humain dans la même façon, dans le même sens que pendant la journée. Il en est ainsi après la mort, ce sont les émotions qui vous causent peut-être cette tristesse, mais c’est justement aussi à cause de ses émotions et de ses pensées subjectives que l’humain est esclave de la mort, c’est-à-dire esclave de la mémoire de l’âme.

C’est pourquoi le phénomène de l’immortalité, pour l’humanité, est un phénomène important et ce n’est qu’au cours de la fin du cycle que l’humain découvrira jusqu’à quel point il est essentiel pour lui de vivre d’Intelligence, c’est-à-dire de vivre dans la conscience supramentale où se situe en lui l’Intelligence de l’ajusteur de pensée à travers le rayon qui lui est propre et lorsque l’humain vit de l’Intelligence, il ne vit plus de la mémoire de l’âme. Et c’est pourquoi il est libre de la mort, et libre dans la vie.

Fin enregistrement

 

 

 

 

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  • Bernard de Montréal. psychologie évolutionnaire, psychisme, évolution, satan, lucifer, involution , mensonge cosmique, planète Terre, humanité, extraterrestres, nations, astral, conscience, mental, surmental, supramental, conscience , fin de cycle
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