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Hommage à Bernard de Montréal
2 décembre 2020

L’évolution de l’humain conscient.

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Pour bien comprendre l'évolution de l’être humain conscient d'aujourd'hui, il faut le voir, le projeter, contre le tableau de l’être humain de la race racine de demain

Pour pouvoir saisir profondément ce que l’être humain conscient d’aujourd'hui doit vivre, pour pouvoir saisir profondément la qualité de sa conscience, pour pouvoir mesurer précisément le rapport entre sa conscience et son état interne, il faut pouvoir le projeter contre le tableau éventuel de l’être humain appartenant à une race nouvelle c'est-à-dire à une race racine.

Et afin de jeter un peu de lumière sur le comportement de l’être humain conscient d'aujourd'hui qui va vers la race racine, il nous faut pouvoir commencer à approfondir certains aspects de la réalité psychologique de l’être humain vis-à-vis de ce que nous pouvons appeler pour le moment les mondes parallèles.

L'être humain est un être qui, dans son passé, exception faite pour certains initiés, exception faite pour certains êtres humains qui se sont instruits des sciences occultes, l’être humain a très peu de compréhension de sa relation avec les mondes parallèles, donc il a très peu de compréhension sur la nature même de son esprit, sur la nature même de sa psychologie, sur la nature même des mécanismes qui lui permettent de rendre ou de concrétiser dans l'expérience matérielle, des forces qui prennent origine sur des plans occultes, c’est-à-dire des plans invisibles, c'est-à-dire des plans parallèles à sa conscience matérielle.

Nous les êtres humains, nous sommes des êtres qui réfléchissons, c'est-à-dire que nous sommes des êtres qui doivent réfléchir pour comprendre.

Nous ne sommes pas des êtres qui apprennent directement à la source et comme nous sommes obligés de réfléchir pour comprendre, il nous est donné dans ce processus d'avoir l'impression de comprendre notre vie, d'avoir l'impression de comprendre la vie. Et ceci n'est pas nécessairement une illusion, mais c'est une limitation dans notre compréhension. C'est une limitation dans notre connaissance, c'est une limitation dans notre réalité. Pour la simple raison que la vie de l’être  humain, la vie psychologique de l’être humain ne commence pas là où il croit qu’elle commence.

La vie psychologique de l’être  humain, la vie mentale de l’être  humain, la vie émotive de l’être  humain, la vie vitale, la vie physique de l’être  humain, représente un aspect en lui qui relève des plans parallèles de la vie cosmique, de la vie invisible. Et la manifestation de cette vie invisible à travers ce que nous appelons l’être  humain, n'est qu’une petite manifestation, ce n'est qu’une petite quantité d'énergie à laquelle l’être humain a réellement droit, et à laquelle l’être humain éventuellement, l’être humain de la race racine, aura totalement le droit.

Mais pourquoi l’être humain de l'involution, l’être humain de la 5e race, n'a pas le droit à cette autre quantité, à cette autre dimension, de sa réalité ? Pour une raison très simple, raison très valable, raison très intelligente, c'est qu’il n'est pas prêt.

L'être humain naturellement dira qu’il est prêt. Mais l’être humain qui dit qu’il est prêt, c'est l’être humain fait, construit, de la matière mentale, de la matière émotionnelle, vitale et physique. Et cet être humain croit qu’il est prêt à rencontrer, à entrer en contact avec, à être lié, avec cette autre partie de lui-même que nous pouvons appeler sa partie cosmique, pour la simple raison qu’il n'a pas été touché, qu’il n'a pas été mis face-à-face avec cette réalité étonnante de lui-même. S'il avait été mis face-à-face avec cette réalité étonnante de lui-même, il saurait, de par son expérience, que le contact entre le planétaire et le cosmique, le temporel et l'intemporel, est un contact qui ne doit venir que dans un temps. Un temps qui n'est pas mesurable du point de vue de l'être humain, mais un temps qui est connu à partir des plans parallèles.

L'être humain s'offusque, l’être humain se fâche, l’être humain recherche plus loin dans le domaine de la philosophie, de l'invisible, afin de pouvoir goûter psychologiquement de cette réalité. Mais lorsque le contact, lorsque l'approche, se fait entre ces plans et l’être humain par la voie d'une instruction quelconque, nous nous apercevons que l’être humain a beaucoup de difficulté à absorber, en lui-même, sur lui-même, les conditions rendues évidentes par le contact de plus en plus rapproché de l'invisible avec le matériel. Nous nous apercevons que l’être humain est beaucoup plus délicat dans sa nature qu’il n'oserait l'affirmer. Il est beaucoup plus délicat dans son esprit qu’il n'oserait y penser.

Donc nous nous apercevons que l’être humain, bien qu’il croie être prêt, bien qu’il recherche, bien qu’il veuille avancer, bien qu’il veuille toucher du doigt cette dimension de lui-même qui lui a toujours été voilée, l’être humain n'est pas prêt. Et quelle est la preuve de ceci ? La preuve de ceci est très simple : c'est que l’être  humain, dès qu’il est touché de près par le désordre que crée l'invisible dans sa vie matérielle, désordre en apparence, c'est-à-dire désordre créé pour reformuler un ordre nouveau, c'est-à-dire pour lui donner une psychologie nouvelle, une psychologie désengagée de l'ancienne afin de pouvoir libérer en lui, des forces qui auparavant étaient contenues, retardées, parce que l’être humain était construit de mécanismes, protégé par des mécanismes qui empêchaient que ces forces puissent en lui passer.

Donc, nous nous apercevons que dans la transition entre le 5e et la 6e race racine, l’être humain est souffrant, non pas seulement souffrant de lui-même, mais souffrant aussi de l'illusion qu’il a de sa capacité, de sa grandeur, de son intelligence, de sa force, et cette illusion est tellement profonde, elle est tellement profonde, que des années seront nécessaires avant que l’être humain puisse passer d'une étape de vie à une autre, c'est-à-dire avant qu’à l’être humain puisse être donné la vue physique à travers l'œil physique lui permettant de voir, de regarder et de communiquer avec l'invisible.

L'être humain est tellement faible, l’être humain est tellement délicat, l’être humain se nourrit tellement de sa mémoire, l’être humain est tellement fier de croire qu’il a suprématie de vie sur la vie, qu’il a suprématie de contrôle sur la vie, que cette prédisposition naturelle chez lui, faisant qualité naturelle de son ego, est justement le mur, la cloison, qui empêche l'invisible de bien fonctionner à travers lui pour activer son intelligence, ses principes inférieurs, selon les plus hautes lois de l'harmonie vibratoire et de l'harmonie psychologique.

L'être humain se croit aujourd'hui, et je parle de l’être humain conscient, je ne m'adresse pas à l’être humain inconscient, l’être humain aujourd'hui se croit dans son avancement de conscience, se croit plus près que jamais de la réalité, de sa réalité, parce qu’il a quelque peu avancé dans le domaine d'une expérience qui lui confirme plus ou moins qu’il s'est sensibilisé à quelque chose en lui-même de plus ou moins réel.

Mais ce que l’être humain ne sait pas, c'est que les forces en lui et quand je parle des forces en lui, je parle du rayonnement en lui, je parle du rayon en lui, je parle de l'intelligence en lui, l’être humain ne sait pas que cette intelligence est inévitablement lui-même et que l'intelligence qu’il semble ou pense avoir n'est pas lui-même, elle n'est que de la mécanique construite, faite d'émotions et de pensées.

Donc dans l’être humain il existe simultanément un être humain réel et un être humain mécanique, c'est-à-dire un être humain de lumière et un être humain de matière, et le conflit entre l’être humain de lumière et l’être humain de matière est un conflit qui durera encore un certain nombre d'années et pour la Terre entière, il durera un certain nombre de siècles.

Le conflit entre l’être humain de lumière et l’être humain de matière, entre l’être humain cosmique et l’être humain planétaire, est un conflit qui doit être résolu, c'est-à-dire que doit venir le jour où le conflit n'existe plus entre ces deux êtres,  et lorsque le conflit n'existera plus entre ces deux êtres , le voile de l'invisible sera perforé, l'osmose sera entamée, le passage d'une énergie vers l'autre sera exécuté et l’être humain de lumière pourra venir dans le matériel, et le matériel pourra passer à l'immatériel.

Mais pendant que nous sommes au stage de construction, au stade de perfectionnement, au stade d'ajustement, au stage de compréhension, l’être humain de la matière doit connaître, comprendre les lois, la nature de l’être humain parallèle, de l’être lumineux. Il doit comprendre que l’être lumineux est lui-même, donc étant lui-même dans sa plus grande et sa plus totale réalité, il a le droit, il a la capacité, il a la fonction d'intervenir dans la vie de l’être humain planétaire, afin d'amener ce dernier à vibrer à une énergie qui est la sienne, afin de changer le taux vibratoire de son mental, de son émotionnel, de son vital et de son physique.

Donc, l’être humain de lumière possède sur l’être humain matériel une suprématie, et cette suprématie, elle est plus ou moins grande selon le niveau d'évolution de l’être humain matériel, c'est-à-dire selon l'expérience de l’être humain matériel, c'est-à-dire, selon l'expérience de la mémoire, ou dans la mémoire, ou englobée dans la mémoire de l’être humain matériel.

Autrement dit, l’être humain matériel est mémoire, l’être lumineux est énergie, esprit et les deux doivent se rencontrer d'une façon parfaite, c'est-à-dire que la mémoire de l’être humain matériel, de l’être humain planétaire, doit servir à l’être lumineux, afin que ce dernier puisse transférer l'énergie de la mémoire de l’être humain matériel dans une autre dimension de la réalité planétaire, c'est-à-dire que la mémoire de l’être humain matériel, lorsqu’il était inconscient, était gardée dans la réalité de l’être humain planétaire au niveau de son émotion et de ses pensées subjectives.

Lorsque l’être humain planétaire commence à se conscientiser, cette mémoire, cette énergie, doit être transférée de l'autre côté, c'est-à-dire qu’elle doit être transférée du côté de l’être lumineux. Donc l’être lumineux doit être capable de s'en servir à volonté afin que cette mémoire ne soit plus utilisée par l’être humain matériel selon les lois de l'ego. Cette mémoire doit être utilisée par l’être lumineux pour des raisons qui n'ont rien à faire avec l'expérience, mais pour des raisons qui ont tout à faire avec la transformation des corps subtils.

Je donne un exemple :

Si l’être humain planétaire possède une mémoire ou la mémoire d'une souffrance dans le passé, cette mémoire de souffrance dans le passé à un certain moment donné de son évolution devra être transférée, utilisable, par l’être lumineux afin de tester si dans la conscience de l’être humain planétaire il y a une réaction émotive ou mentale ou subjective à cette mémoire, lorsque l’être lumineux l'utilise à des fins de transformation, à des fins d'initiation.

Cet aspect de l'utilité de la mémoire de l’être humain planétaire par l’être lumineux, cet aspect de l'utilité de la mémoire de l’être humain planétaire par une partie supérieure, est directement l'aspect le plus occulte dans l'expérience de l’être humain de la 5e race-racine qui va vers la 6e.

Autrement dit, nous disons que dans l'évolution prochaine, l’être humain de la 5e race-racine sera amené, dans son expérience, à être capable de vivre sur le plan matériel, de vivre dans l'expérience matérielle, non pas en ayant lui-même le contrôle de sa mémoire, mais en laissant le contrôle de cette mémoire être utilisée par l'être lumineux, pour deux raisons :

Parce que la mémoire, bien qu’elle soit bonne en elle-même, ne peut être retardataire, et pour qu’elle ne soit plus retardataire, il faut qu’elle soit utilisée par l'être lumineux quelque part dans la vie de l’être humain planétaire, afin de tester la neutralité de ses centres supérieurs d'énergie.

Secondement : cette mémoire ne doit plus servir de réflecteur, de miroir, à la conscience de l’être humain planétaire. Et pour que l’être lumineux puisse neutraliser la réflection dans la conscience de l’être humain planétaire, il faut qu’il puisse utiliser cette mémoire selon son expérience, selon son degré d'évolution et de perfection, d'une façon qui convient le plus près possible avec les possibilités les plus grandes de l'être planétaire.

Le plus grand problème de l’être humain aujourd'hui, de l’être humain à la fin du XXe siècle, c'est de croire qu’il possède une nature unique, lorsqu’en fait il possède une nature double.

Et cette double nature est tellement réelle que l’être humain planétaire, la conscience subjective, est incapable de le réaliser pleinement et c'est le fait qu’elle ne peut le réaliser pleinement qui empêche l’être humain planétaire d'être parfait, c'est-à-dire d'être parfaitement né, c'est-à-dire d'être parfaitement actif, d'être parfaitement créatif, d'être parfaitement connaissant, d'être parfaitement équilibré, d'être parfaitement conscient, d'être parfaitement en dehors de sa conscience égoïque.

Donc il est évident que dans le passage de la 5e à la 6e race-racine, dans la transition, dans l'expérience nouvelle de l'humanité, il y aura sur la Terre un certain nombre d'êtres humains planétaires qui connaîtront l’être humain cosmique en eux. Mais ces êtres qui connaîtront leur réalité, ces êtres qui connaîtront leur doublure, seront traversés par toutes les exigences possibles et imaginables de cette doublure, parce que la doublure de l’être humain planétaire, c'est le pouvoir de l’être humain cosmique, donc c'est le pouvoir éventuellement sur la Terre, donc c'est l'éclatement éventuellement de la vision que possédait dans le passé l’être humain planétaire, c'est l'éclatement total de l'illusion qui avait soutenu dans le passé l’être humain planétaire, donc c'est le tunnel qui mène l’être humain planétaire à la vie, c'est le tunnel qui mène l’être humain planétaire à travers le cosmos, c'est le tunnel qui mène l’être humain planétaire à la rencontre avec les êtres qui, depuis très longtemps, constituent l'aspect invisible qui touche ou qui a touché toutes les conditions de l'involution de l’être humain sur notre planète.

Donc la conscientisation de l’être humain planétaire n'est pas seulement ou simplement le résultat d'un désir spirituel, ce n'est pas simplement le résultat d'une possibilité créée par des circonstances. Beaucoup d'êtres humains sur la Terre ne connaîtront pas ce que veut dire l’être humain cosmique en eux dans cette vie, même s’ils ont été approchés, touchés de près, par l'instruction, parce que ce n'est plus simplement un problème de philosophie ou de recherche spirituelle, c'est un problème de résistance.

Et le problème de résistance, il devient de plus en plus grand au fur et à mesure que l’être humain planétaire sent, réalise en lui l’être lumineux, et lorsque la réalisation de l’être lumineux de son activité, de son énergie, de sa manipulation de l’énergie, se fait grande, il devient impossible à ce moment-là à l’être humain planétaire de douter de la nature future de sa vie, de douter de la qualité présente et future de sa vie, et de questionner la validité présente de son expérience. 

L’être humain planétaire ne réalise pas qu’il n'est pas vivant. Il a l'impression d'être un être vivant, lorsqu’en fait, il est un vivant mort. Et la réalité de ceci se manifeste dans son incapacité de comprendre parfaitement sa vie.

Si l’être humain était vivant, il comprendrait sa vie, il comprendrait ses actions, il comprendrait la raison de ses actions, il verrait la nature de ses actions en fonction d'un plan d'évolution interne, il verrait que toutes ses actions, quelles que soient leurs manifestations extérieures, représentent une force évolutive et créative.

Mais l’être humain, parce qu’il est un mort vivant, a l'impression que ses actions - surtout les actions vécues sous la gérance, sous la gestion, de l’être lumineux - sont inconcevables, irresponsables, désordonnées, et il est là le jeu. C'est à l’être humain planétaire d'être capable de voir qu’il y a dans ses actions gérées par l’être lumineux, une raison d'être, une raison d'action, une raison d'intelligence qui va au-delà de la nature suspicieuse de l’être humain planétaire. Ceci n'est pas une condition qui peut être imposée à l’être humain planétaire, aucun être ne peut imposer à l’être humain planétaire cette condition, mais c'est une condition qui devra un jour être résolue, comprise, par l’être humain planétaire.

Il est inévitable, dans la vie future, dans les années futures, que l’être humain planétaire, qui devra entrer en contact avec le parallèle, sera obligé de réaliser d'une façon ou d'une autre qu’effectivement la nature de l’être lumineux en lui est une nature nettement supérieure en intelligence, nettement supérieure en intention, nettement supérieure en possibilité, et aussi nettement supérieure en capacité, selon la relation qui existera entre l’être humain planétaire et l’être lumineux.  La fusion de ces deux êtres est inévitablement liée à la capacité de l’être humain planétaire d'absorber la totale intelligence, la totale énergisation de ses principes par l’être lumineux, c'est le prix que doit payer l’être humain planétaire pour la transmutation de ses principes, donc pour l'appel éventuel à l'immortalité de sa conscience.

L’être humain planétaire n'est pas un être vivant, il est une coque, il est une enveloppe, enveloppe très perfectionnée, enveloppe très développée, qui peut très facilement lui donner, justement à cause du développement des aspects internes, l'impression qu’il est un être vivant, lorsqu’en fait il est un être vivant mort et la mort de l'être planétaire est due à sa mémoire, parce que la mémoire, c'est la mort. Tout ce qui est mémoire est mort. Donc puisque l'être planétaire vit de mémoire, la mort est en lui et il est dans la mort, avec cette restriction qu’il a la possibilité d'exécuter, pendant un cycle quelconque de vie, un mouvement dans un corps matériel. Donc, s'il était possible à l’être humain planétaire de voir, de mesurer, la nature de sa conscience, il verrait qu’effectivement sa conscience n'est pas réelle, que sa conscience n'est qu’un processus infini de réflections, de matériel gardé dans sa mémoire et faisant partie de sa conscience planétaire, conscience qui automatiquement est conscience influençable.

Il est inconditionnel, il est sans condition que l’être humain planétaire qui aujourd'hui est un mort vivant devienne un jour un être totalement ininfluençable, c'est-à-dire un être capable de réaliser, de voir, à travers les illusions de sa mémoire mentale et émotive. Cette condition est tellement réelle, elle est tellement absolue, que seuls ceux qui connaissent, qui savent, qui vivent, qui comprennent l'expérience, peuvent le savoir. Et comme il n'est pas donné à ceux qui savent, à ceux qui comprennent, de pouvoir transférer leur expérience à ceux qui sont en évolution, il est évident que ceux qui sont en évolution devront un jour le reconnaître de par leurs propres expériences.

Il y a une limite à l'instruction de l’être humain. Il y a une limite à la capacité de l'instruction de permettre à l’être humain de comprendre certains aspects de la réalité qui doit s'établir entre l’être lumineux et l’être humain planétaire. L'instruction n'est en fait qu’une carte géographique, une map[1] indiquant les points ou les faits saillants d'un parcours. Mais, c’est dans le parcours lui-même que l’être humain découvrira la réalité de l'instruction, et découvrira en retour la réalité de sa propre conscience.

Il y a absolument deux êtres humains dans un être humain.

Il y a un être humain invisible et il y a un être humain construit d'un certain nombre de principes.

Et c'est l’être humain de lumière, lumineux, l’être humain invisible, qui doit un jour donner à l’être humain matériel le pouvoir, c'est lui qui doit un jour donner à l’être humain matériel le pouvoir. Et le pouvoir qui doit être transmis à l’être humain matériel, doit être transmis selon des lois connues de l’être lumineux et très incomprises de l’être humain matériel.

Ce n'est pas par la philosophie que l’être humain matériel découvre des lois de l'invisible, ce n'est pas non plus par la spiritualité, et ce n'est pas non plus par la psychologie subjective. Ces aspects font partie de l'évolution, de la programmation de l’être humain planétaire, mais ils ne font pas partie du pouvoir de l’être lumineux. L'être lumineux est par action créative. Il est instantanément pouvoir. Tandis que l’être humain planétaire est par réflections, désirs, et actions imparfaites, donc il doit se développer entre l’être humain planétaire et l’être lumineux une harmonie de plus en plus grande, fondée sur la capacité de l’être humain planétaire d'oublier de plus en plus qu’il est un être humain planétaire.

Et tant que l'être planétaire, le vivant mort, n'aura pas oublié qu’il est un vivant mort, il ne pourra pas commencer à comprendre, à saisir, apercevoir, qu’il est autre chose.

Et c'est pourquoi viendra le temps, pendant la période de transition entre la 5e et la 6e race-racine, où l’être humain planétaire sera obligé soit de s'élever ou de s'arrêter dans son évolution. Il sera soit amené à s'élever, ou amené à s'arrêter. Et s'il est mené à s'arrêter, c'est parce qu’il sera su par l’être lumineux qu’il n'a pas la force d'aller plus loin.

 

Fin enregistrement.

 



[1] carte

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  • Bernard de Montréal. psychologie évolutionnaire, psychisme, évolution, satan, lucifer, involution , mensonge cosmique, planète Terre, humanité, extraterrestres, nations, astral, conscience, mental, surmental, supramental, conscience , fin de cycle
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