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Hommage à Bernard de Montréal
26 janvier 2021

Le double éthérique.

 

 019. 

(1986)

François Payotte : C’est très intéressant parce qu’il semble que le monde est de plus en plus mêlé concernant le concept du double éthérique, on n’est plus capable de faire aujourd’hui la différence entre le double éthérique, l’ajusteur de pensée, l’esprit qui a une différence ou une nuance à faire. Ce que je peux dire, c’est que depuis toujours l’humain s’est inventé des dieux extérieurs à lui-même, des créations de son imagination, de son mental, de son esprit et qui correspondent à ses attentes, à ses aspirations, son désir de perfection, son insécurité ou le besoin d’être guidé, d’où par exemple le double astral ou le guide astral. Alors ce que je me demande, c’est si le double éthérique n’est pas une autre ou un autre de ces concepts forgés par l’esprit et que l’on considère à tort comme un être réel. Comment est-ce qu’on peut percevoir la réalité du double ? Il va falloir nous expliquer, d’abord c’est quoi le double éthérique ? Ce concept-là, je pense qu’il vous appartient, dans le sens que je n’ai jamais vu de référence au double éthérique dans aucune espèce de littérature.

Bernard de Montréal : Il y a une dimension de la psyché que je voudrais essayer de faire comprendre, saisir à l’humain. L’humain, c’est de l’énergie, l’être humain, il possède un corps matériel que l’on identifie facilement, il possède un corps vital que l’on peut aussi identifier facilement, il a de l’émotion, il a de la mentalité, tout ceci on peut identifier, mmm ? bon ! Tout ceci c’est de l’énergie plus ou moins dense mais c’est de l’énergie, bon.

Si l’humain dans ses principes matériels, dans ses principes expérimentaux, en arrive un jour à une fusion avec son essence, sa lumière, son esprit, sa réalité, le taux vibratoire de tous ses principes inférieurs monte, le taux vibratoire de son corps matériel monte, de son corps vital, son corps émotionnel, son corps mental, ceci crée une nouvelle condition électrique de l’humain, ça c’est son double éthérique, autrement dit si vous amenez dans l’humain un nouveau taux vibratoire d’énergie dans ses principes, ses principes inférieurs automatiquement doivent s’élever en vibration. Il y a automatiquement transmutation.

Sur un plan plus pragmatique, prenons le cas de Ste Thérèse d’Avila, ou des grandes mystiques de la chrétienté, donc vous avez cette petite bonne femme qui entre en contact avec une énergie qui vient d’un espace-temps parallèle très élevé, elle, ses principes vibratoirement parlant montent en vibration, d’abord au niveau matériel elle lévite, tous ses corps changent, sa conscience change, donc elle vit beaucoup plus éthériquement que matériellement. Elle vit beaucoup plus en relation avec une autre dimension que les dimensions matérielles de sa conscience. Le corps éthérique de l’humain, c’est la même chose, plus l’humain va se conscientiser, plus il va subir la descente dans ses principes sur le plan mental, émotionnel, vital et physique, de cette énergie qui est son essence, son esprit.

Le processus de fusion de cette énergie qui est son essence, avec ses principes matériels, planétaires, va créer une condition qui permettra à l’humain de passer d’un plan à un autre à volonté, donc qui lui créera un corps éthérique. Le corps éthérique étant la transmutation totale de la conscience atomique de son corps matériel, vital, émotionnel et mental.

François Payotte : Ça veut dire qu’on ne vient pas au monde avec un corps éthérique ?

Bernard de Montréal : Non, non. Le corps éthérique se crée, se forme, se transforme. Plus la transmutation de l’âme, la transmutation de l’âme est très importante.

Quand un être humain meurt, quand un être humain meurt il sort en astral, donc il entre dans une autre dimension qui est la dimension astrale et on vient le chercher, et on l’amène sur les plans de la mort.

Quand l’humain conscient meurt, sa conscience mentale, sa conscience émotionnelle, sa conscience intégrale est tellement perfectionnée que quand il sort de son corps, il n’est pas attiré par la lumière de l’astral, donc il ne peut pas aller dans le monde de la mort, il ne peut être attiré que par sa propre lumière, sa propre lumière, c’est son double. Donc il est amené à aller vers son propre monde, il est amené à aller dans sa propre réalité, dans sa propre dimension, il peut être amené à retourner même à sa planète d’origine s’il a fini sur la planète Terre, mais il ne peut pas aller dans le monde astral, il ne peut pas être attiré par le monde astral parce que la vibration du monde astral est trop basse pour lui.

François Payotte : Ça veut dire qu’il y a une différence entre le double éthérique et l’esprit ?

Bernard de Montréal : Mais oui il y a une différence entre le double éthérique et l’esprit ! Le double éthérique c’est la fusion, le résultat de la fusion de l’esprit avec la matière, vous ne pouvez pas séparer. Le double éthérique c’est le produit de. C’est comme la fusion, c’est le produit de. Moi je ne peux pas dire que je suis seulement mon esprit, je suis obligé de dire que je suis mon esprit plus le personnage matériel qu’on appelle Bernard de Montréal, c’est un tout, je vis le tout, au niveau du corps éthérique, c’est la même chose. Le corps éthérique c’est le produit de l’activité, c’est le produit de fusion, de transmutation des principes, mais à partir de la lumière vers les plans inférieurs qui créent pour l’humain un nouveau principe d’actualisation, lorsqu’il sort de la matérialité, l’humain a besoin d’un corps éthérique parce que si l’humain n’a pas de corps éthérique, il est obligé d’utiliser son corps astral.

Et s’il est obligé d’utiliser le corps astral, il doit retourner au monde de la mort. Donc l’humain de l’évolution ne doit pas mourir parce que mourir ça ne fait pas partie de l’évolution. Il peut laisser son corps matériel. Je fais la distinction quand je dis : ce n’est pas parce qu’un humain laisse son corps matériel qu’il meurt, ce qui fait qu’un humain meurt, c’est que lorsqu’il laisse son corps matériel il s’en va dans le plan astral.

Un humain peut laisser son corps matériel et ne pas mourir, mais lorsqu’un humain laisse son corps matériel, il retourne sur une certaine longueur d’onde vers l’astral, il passe dans le tunnel, il est rejoint là-bas, ramené, c’est ça la mort ! Et l’humain nouveau ne vivra pas ceci parce que sa conscience sera trop élevée, il connaîtra trop les lois de la lumière astrale, il connaîtra toutes les lois du mensonge. Même durant la vie matérielle, il sera au-delà du mensonge, donc évidemment s’il a fini son terme sur le plan matériel parce qu’il doit continuer son évolution, son travail sur d’autres planètes immatérielles, il a besoin d’un véhicule. Le véhicule de l’humain nouveau, ce sera le corps éthérique de la même façon que le véhicule de l’humain ancien, c’était le corps astral.

François Payotte : J’ai pris la définition du dictionnaire du mot éther. C’est un mot qui vient de la physique qui a été inventé en 1703 et qui est décrit de la façon suivante : Éther, milieu subtil qui imprègne tous les corps et vibre sous l’action d’une source lumineuse, aussi l’espace ondulatoire. J’aimerai ça que vous fassiez un commentaire là-dessus.

Bernard de Montréal : oh, c’est intéressant comme définition, c’est bon. Quel commentaire ?

François Payotte : Le milieu subtil qui imprègne tous les corps et vibre.

Bernard de Montréal : Le milieu subtil, le milieu subtil qui imprègne tous les corps, c’est que si on considère l’éther comme étant un sous-plan de la matière, un sous-plan de la matière !  Effectivement dans un sous-plan matériel, l’énergie, puisqu’on ne parle pas de lumière puisque c’est une définition scientifique, mais l’énergie passe ! s’imprègne dans tout ! Donc l’énergie crée une relation étroite entre elle-même et la matérialité et ça c’est l’éthérique.

François Payotte : Et l’espace ondulatoire c’est correct ?

Bernard de Montréal : L’espace ondulatoire c’est correct, malgré que c’est contradictoire à terme parce que l’espace n’est jamais ondulatoire. Il veut dire que l’espace dans lequel il y a de l’ondulation ! Mais l’espace ondulatoire en lui-même, c’est une contradiction à terme d’abord, l’espace ne naît pas d’une ondulation de la lumière, l’espace naît d’une perception rigoureusement éthérique de l’astralité mentale de l’énergie de la conscience atomique des corps matériaux, qui donnent à l’humain la conscience spatiale de son existence ! Nous n’avons jamais défini ce qu’est l’espace, il y a plusieurs façons de parler d’espace. Qu’est-ce que c’est l’espace pour un chien ? L’espace pour un chien ça n’existe pas. Pour un chien l’espace n’existe pas, il est simplement perçu, mais il n’existe pas. Pour un humain il existe. Pour un chien, pour un animal, il n’existe pas parce que pour que l’espace existe pour un animal, il faut qu’il ait la conscience de l’observation, de la faculté de perception des dimensions rigoureusement limitatives de sa gestion par rapport à ces espaces-là, s’il ne possède pas ceci, le chien, l’animal, vit en harmonie vibratoire avec l’espace ! Donc il ne va pas aller au-delà de ce qu’elle représente en tant que limitation matérielle, tandis que l’humain lui peut essayer de dépasser les conditions purement limitatives de l’espace pour entrer dans une autre dimension. Donc pour un animal, le concept de l’espace n’existe pas ni pour la plante ni pour le minéral.

Donc si l’espace, le concept de l’espace existe pour l’humain, qu’est-ce que ça veut dire ? Ça veut dire que l’humain est arrivé à un certain niveau d’évolution capable de lui rendre … écoutez bien ceci, de lui rendre ou de lui donner la facilité à accéder à un autre aspect de lui-même. La seule raison pour laquelle l’espace existe dans le cadre de la limitation psychologique de sa qualité que nous, nous lui donnons, c’est parce que nous avons à aller plus loin dans l’existence ! dans la révélation ! dans la conquête ! dans l’évolution ! Afin d’amener notre science psychologique de l’espace ou notre science physique de l’espace plus loin dans la conversion de l’énergie vis-à-vis les corps matériaux qui la composent, dans leur totalité intégrale.

Donc l’espace pour l’humain matériel, je viendrai à l’aspect concret de ce que je veux dire quand j’aurai fini de parler, pour l’humain matériel l’espace n’est pas ce qu’il est en réalité, il est ce qu’il est temporairement. Lorsque l’humain aura un corps éthérique il aura une autre vision qui ne sera pas matérielle dans le sens de celle que nous possédons aujourd’hui, qui sera une autre vision qui lui donnera accès à un autre espace. Dans cette vision autre, l’humain pourra regarder dans l’espace que nous vivons sensoriellement aujourd’hui et voir que dans notre espace il n’y a aucune, il n’y a aucune …. il faut que je crée un mot…  il n’y a aucune spatialité volumétrique, la spatialité volumétrique est une conjoncture purement matérielle de nos sens primitifs animaux.

Dans l’espace réel qui commence au niveau de l’éther, parce que l’espace va beaucoup plus loin que l’éthérique, mais l’espace où il est le plus subtil, le plus réel, c’est au niveau du corps éthérique.

Au niveau du corps éthérique, la matière n’a pas de qualité spatiale volumétrique, donc un être humain peut facilement pénétrer n’importe quel royaume matériel, plantaire, animal et ainsi de suite, humain.

Mais pour que l’humain puisse pénétrer dans une conscience fixe, matérielle, plante, animal ou humaine, il lui faut d’abord être capable de se créer un véhicule, afin de pouvoir supporter l’absence de mouvement dans un médium qui est totalement lumineux ! C’est comme si la salle ici était soudainement remplie de lumière extrêmement intense, il faudrait que l’humain puisse être capable de soutenir l’absence de mouvement matériel dans cette intensité lumineuse.

François Payotte : Et de volume.

Bernard de Montréal : Et de volume, ceci lui donnerait la capacité de sentir la lumière, donc au niveau de son esprit de vibrer à sa fréquence, donc au niveau de son corps éthérique commencer à se déplacer dans ces faisceaux, c’est ça le mouvement dans l’invisible ! Mais nous, nous avons un corps matériel qui est fonctionnel par rapport au royaume animal, nous n’avons pas un corps matériel qui est fonctionnel par rapport au royaume de l’Humain, parce que l’Humain n’est pas encore arrivé sur la Terre ! L’involution a servi à la création de la matière, du plantaire, de l’animal, et de l’humain inconscient. Mais l’humain inconscient n’est pas un Humain réel.

L’évolution servira à créer l’Humain réel, à perfectionner l’Humain Jupitérien et ensuite permettre que l’humain au lieu de se propulser dans le temps pour avoir mesure expérientielle de sa dimension cosmique, il sera capable de s’imploser dans l’espace, ce qui lui permettra en tant que conscience d’investiguer toutes les propriétés matérielles qui existent sur le plan matériel, astral, mental, végétal, animal, donc l’humain sera, non plus un être organisé, il deviendra un être organisationnel, tandis qu’aujourd’hui nous sommes des êtres organisés. Nous fonctionnons en fonction ou par rapport à des lois qui sont cosmiques et qui régissent le statut humain planétaire de notre planète.

Nous ne sommes pas des êtres qui avons la liberté de transiger, de changer ou d’altérer les lois de cause et d’effet, nous sommes obligés de vivre sous les lois de cause et d’effet et ceci fait partie du fait que nous avons signé un contrat, nous avons un partnership si vous voulez, avec le plan de l’astral qui est le plan de la mort. Vous savez, nous n’avons pas encore compris qu’est-ce que c’est le plan de la mort !

Pour nous, la mort c’est quelqu’un qui meurt et qui s’en va de l’autre côté mais ça va beaucoup plus loin que ça. Le monde de la mort, c’est un monde dont la masse psychique c’est-à-dire la totale intelligence manifestée à travers nos circuits devient pour nous la connaissance, ceci fait que nous les humains de la Terre, nous ne sommes pas. Quand je dis que nous ne sommes pas réels, je dis que nous, nous n’inscrivons pas dans le temps, dans l’espace, nos lois, nous ne faisons pas nos lois, nous vivons des lois qui nous sont appliquées à partir du monde de la mort jusqu’à temps que nous ayons un mental suffisamment élevé en vibration, pour pouvoir supporter le monde de la vie, mais l’humain ne peut pas supporter le monde de la vie tant qu’il n’a pas reconnu le monde de la mort. Donc nous sommes à une période aujourd’hui, involution, évolution, transition, où l’humain se recherche dans le monde, et où il sera amené au cours de la prochaine génération, des prochaines générations, à pouvoir vérifier par lui-même que le monde de la mort qui dans le passé, avait représenté la totalité de la masse psychique de l’humanité à travers les actions communes de chaque humain, deviendra demain contesté par chaque humain ! Ce qui renversera la polarité du monde de la mort, ce qui fera en sorte qu’au lieu que l’humain réponde au monde de la mort à travers une conscience expérimentale, le monde de la mort répondra à l’humain à travers sa volonté créative et captive de l’énergie de sa propre lumière dans l’éthérique, donc la mort deviendra pour l’humain, au cours de la prochaine évolution, une source énorme de pouvoir qu’il utilisera pour la science de la transmutation de la matière, des plans les plus bas, des plans élémentaux jusqu’aux plans les plus élevés.

François Payotte : Donc l’Humain nouveau en quelque sorte, va être obligé de contester la connaissance puisque là où il y a de l’accumulation de connaissance, il y a de la mort quasiment ?

Bernard de Montréal : L’Humain nouveau contestera toute connaissance, tout ! Il n’y a pas de connaissance qui vienne de la vie ! excusez ma voix je … je ne parle pas comme cela parce que je suis protocolaire, (BdM tousse)non, sérieusement,  le rhume c’est bon !  C’est très difficile pour l’humain de concevoir que la connaissance ne fait pas partie du monde de la vie parce que l’humain pense, et penser pour lui devient de la connaissance. L’humain en arrivera à voir la différence subtile entre une pensée imprimée et une pensée créée. Mais une pensée créée n’est pas une pensée pensée !  C’est une pensée dite ! Et l’humain s’habituera à dire sa pensée, il ne la vivra pas dans le mental, et c’est à partir de ce moment-là qu’il commencera réellement à réaliser et à changer le taux vibratoire de ses corps subtils. Il commencera à transmuter, transmuter, transmuter, transmuter, et ça se fera à partir du point où il aura compris une chose, c’est qu’il pense qu’il pense.

François Payotte : Qu’est-ce qu'il vient faire là-dedans l’ajusteur de pensée ?

Bernard de Montréal : Bon, l’ajusteur de pensée c’est très, très simple. L’ajusteur de pensée, c’est une entité de très haute évolution qui a été placée dans le mental de l’humain pour penser que l’ajusteur de pensée existe, afin que l’ajusteur de pensée, l’humain pensant qu’il existe, devienne un aspect guidant, lumineux de sa conscience évolutive ! c’est dangereux !

François Payotte : C’est une entité ? J’ai pris la définition d’entité dans le dictionnaire.

Bernard de Montréal : bon Okey. Je vais revenir, je ne veux pas laisser tomber ça parce que je vais aller plus loin. D’abord, il y a des concepts aujourd’hui dont nous nous servons pour aller un peu plus loin dans la compréhension de la phénoménologie de l’invisible. L’ajusteur de pensée, ainsi de suite, c’est un concept extrêmement puissant, extrêmement puissant qui à travers le mental de l’humain qui n’est pas initié à l’occulte et à toutes ces sciences, lui permet d’aller plus loin dans la spiritualisation de son mental. Mais je dis que viendra le jour, viendra le jour où l’humain quels que soient les concepts, verra à travers la forme, acceptera que la forme fût telle pour son avancement, mais verra toujours à travers la forme, et ne pourra jamais vivre la forme d’une façon spirituo-émotive. Le danger dans la connaissance, ce n’est pas la connaissance elle-même, c’est l’émotion que nous mettons à nous attacher à elle. Il y a des concepts comme le concept de l’ajusteur de pensée qui est un très, très grand concept, probablement un des plus beaux concepts de la métaphysique occulte du 20ième siècle, mais si l’humain reste prisonnier du concept de l’ajusteur de pensée, il ne réalisera jamais que l’ajusteur de pensée, c’est lui-même ! Donc il créera et ça il ne le verra pas, il créera dans le monde mental ou dans la partie mentale de l’astral, il créera des formes et ces formes deviendront suffisamment puissantes pour vibrer dans son mental et lui faire croire encore une fois, qu’il y a au-dessus de lui une hiérarchie ! C’est ça le danger des concepts. Que ce soit le concept de l’ajusteur de pensée ou que ce soit n’importe quel concept occulte. Mais moi je vous dis ceci parce que je suis dans une position où pour moi c’est facile de déchirer les voiles de la forme, mais pour l’humain qui est en évolution et qui commence à entrer dans le processus de fusion, ce n’est pas facile. C’est pour ça que je suis obligé de dire que les concepts qui sont à la portée de l’humain aujourd’hui, sont des concepts qui font partie des dernières tentatives des très hauts plans astraux de maintenir sur la conscience humaine le pouvoir de l’involution, à travers les plus hautes formes possibles de pensées, d’outils de compréhension.

Je ne peux pas vous parler plus clairement que ceci.

J’essaie de faire comprendre que l’humain, l’être humain est un être intégral ! Il est intégral. L’humain n’a pas besoin de plus haut ou de plus loin ou de plus avancé, l’humain est déjà intégral, mais il n’a pas réalisé son intégralité donc il n’est pas intégral. Je ne peux pas vous dire plus.

L’humain devra au cours de l’évolution réaliser son intégralité et c’est ça la fameuse fusion, c’est ça la fameuse intégration, c’est ça la fameuse individuation. Tout le reste, ça fait partie de l’évolution de l’humain, ça fait partie de la connaissance de l’humain, ça fait partie de l’expérience de l’humain et je dis et je le dis autant à l’Est qu’à l’Ouest, il n’y aura aucune limite, aucune limite utilisée par l’astral qui ne servira pas à garder l’humain dans la domination, autrement dit, pour aller plus loin il faut que j’écrive.

……..

Bon ! l’astral c’est la domination de l’origine, je vais parler de ceci.

Pensez origine, aussitôt que vous pensez origine, vous êtes dominé.

Aussitôt que l’humain pense origine, il est dominé parce qu’aussitôt qu’il pense origine, il veut une loi de cause et d’effet pour expliquer l’origine, il veut un commencement pour se fixer dans le temps, donc il veut une finalité pour percevoir ! Pour percevoir la finitude de sa conscience. Imaginez-vous si l’humain est con, il veut une finalité pour percevoir la finitude de sa conscience ! Il n’est pas capable, parce qu’il n’est pas dans son essence, il n’est pas dans sa lumière, il n’est pas capable de supporter le fait que l’origine n’existe pas ! Que ce qui est originaire ne fait que partie de la transformation graduelle au cours des époques, de certaines conditions d’énergies émanant de certains niveaux d’intelligence à travers l’utilisation de certaines mémoires, qu’on appelle le monde de la mort. Mais l’humain a beaucoup de difficultés à retourner et aller au-delà de ceci pour vivre sa conscience d’une façon intégrale et c’est pour ça qu’il a besoin de souffrir parce que quand l’humain souffre consciemment, je ne parle pas de la souffrance inconsciente, quand l’humain souffre consciemment, il est obligé d’apprendre quelque chose.

Tu ne peux pas souffrir consciemment et ne pas comprendre quelque chose.

Si tu souffres consciemment, tu es obligé de comprendre quelque chose.

Si tu souffres inconsciemment, tu peux ne pas comprendre, mais si tu souffres consciemment, tu es obligé de comprendre ! et c’est pourquoi la souffrance que l’humain de l’évolution connaîtra, elle fait partie intégrale de la limitation psychique de son moi cosmique. Si l’humain vivait son moi cosmique, autrement dit s’il vivait l’intégralité de sa conscience, s’il était dans l’essence de lui-même, s’il n’y avait aucune disparité entre ces plans, s’il était capable d’aller autant dans le mental supérieur que de vivre le matériel, s’il n’y avait aucune discontinuité dans sa conscience, l’humain ne connaîtrait pas la souffrance, il serait capable de faire la synthèse, de comprendre, et d’ajuster ses vibrations au fur et à mesure que le besoin s’en ferait sentir et il en arriverait …..(coupure)… Alors l'humain, c’est évident que l’humain ne peut pas passer à des expériences psychiques d’un autre ordre, vite. Ça se fait graduellement mais il y a des clés pour qu’il en arrive à ceci et l’humain en arrivera à ceci. Mais dans ce processus, il aura compris que toute énergie qui fait partie de l’involution se convertit. Donc quand je dis que toute énergie se convertit, je veux dire que toute façon de penser se convertit. Toute façon de vivre l’émotivité humaine se convertit, et toute vitalité se convertit éventuellement, à partir du moment où le mental et l’émotion sont dans un nouvel ordre de choses. Mais il faut que la conscience de l’humain soit convertie, ç’est ça la transmutation.

Mais l’humain ne peut pas convertir cette énergie parce qu’il a une attitude mentale, parce qu’il a fait de la philosophie supramentale.  C’est la vie qui le forcera à convertir cette énergie.

François Payotte : Si le double éthérique est, par le biais du mental, de la pensée réflective, etc. est-ce que le double éthérique n’existe pas ? Puisque fusion, il n’y a pas eu ?

Bernard de Montréal : Le double éthérique fait partie de la construction d’un corps subtil. Le corps éthérique se forme, et se forme, et se forme, au fur et à mesure que l’âme se déforme, se déforme, se déforme. Autrement dit c’est comme si on disait : Moins il y a d’âme dans l’humain plus il y a d’esprit. Moins il y a d’âme moins il y a de mémoire, plus il y a de transmutation d’énergie mentale, d’énergie émotionnelle et c’est cette énergie-là mentale et émotionnelle qui crée le double éthérique.

François Payotte : Alors à partir de quel moment une personne peut réaliser un contact avec son double ?

Bernard de Montréal : Une personne n’a pas besoin de réaliser le contact avec son double, la personne vivra son double lorsqu’un jour il sortira de son corps matériel. C’est quand tu sors de ton char que tu t’aperçois que tu es dans la rue ! donc c’est comme si vous me demandiez : Quand est-ce qu’une personne peut réaliser qu’elle est dans son corps astral ? Bon je dirais : Si un soir il se couche et il se trouve accroché au plafond, il va réaliser qu’il est dans son corps astral.

François Payotte : À partir de quel moment est-ce que le double éthérique a une consistance suffisante pour qu’on en ait connaissance ?

Bernard de Montréal : À partir du moment où si vous voulez, où vous pouvez lui donner une densification pour que quelqu’un vous voit. Si vous voulez, avec le double éthérique, l’humain peut se projeter dans le temps et dans l’espace et se projeter à quelqu’un et on le voit ! Ah ! Jean-Paul, il est venu hier soir, je l’ai vu au coin de la rue ! Le double éthérique c’est un corps matériel, c’est un corps qui fait partie des sous-plans de la matière, c’est un corps qui peut servir l’humain autant sur le plan matériel que sur les plans subtils.

François Payotte : Lorsque vous parlez sans avoir accès à votre mémoire, à votre pensée, vous êtes en contact avec votre double éthérique ?

Bernard de Montréal : Oui. Quand je parle sans avoir à utiliser mes pensées subjectives ou mon émotivité subjective, j’utilise mon cerveau éthérique, donc ce cerveau éthérique, il est totalement fonctionnel et quand je parle, il fonctionne. Donc si lui il fonctionne, pourquoi moi je fonctionnerais, pourquoi moi je me casserais la tête à penser à quelque chose ! Moi je suis bien plus intéressé à apprendre ce qu’il a à me dire, c’est comme un cerveau électronique, c’est comme une réserve, c’est comme une banque, donc si je veux savoir quelque chose, je le parle donc je le sais.

François Payotte : Bon, une personne qui commence à avoir une certaine affinité avec cette réalité, qui entreprend une communication, va avoir aussi des interférences dans cette communication. Comment est-ce qu’on peut détecter lorsque c’est le double éthérique qui est en communication… ou je ne sais pas, autre chose ou des pensées ou des entités ?

Bernard de Montréal : Ça vient avec le temps mais on s’en aperçoit. La règle de mesure c’est celle-ci. Vous savez, les grecs disaient : Connais-toi toi-même… Bon moi je n’aime pas cette formule grecque-là parce qu’elle est trop limitative, elle ne veut rien dire. Mais on peut dire : Regarde tes pensées… regarde tes pensées. Quand tu penses quelque chose, regarde, et si tes pensées sont réelles, tu le sais ; et si tes pensées ne sont pas réelles, tu le sais. Quand les pensées de l’humain sont réelles, il le sait. Quand elles ne sont pas réelles, il le sait !

François Payotte : À un certain point de son évolution ?

Bernard de Montréal : Ouais mais pas mal tout le temps ! Mais le problème, c’est qu’il ne le réalise pas, mais il le sait. Un humain qui se ment, qui joue, il le sait ! Il accepte mais il le sait. Il met de côté mais il le sait.

François Payotte : Oui mais qu’est-ce que c’est qui le fait accepter justement ?

Bernard de Montréal : C’est l’astral !

François Payotte : Et l’astral, est-ce qu’il n’interfère pas sur ce contact ?

Bernard de Montréal : Mais oui, mais oui, mais oui, mais oui, mais oui ! L’astral peut faire faire n’importe quoi à un humain, surtout si l’humain est faible et ainsi de suite. Mais ce que je veux dire, c’est que la pensée prend son origine sur les plans très, très élevés de l’humain et elle passe, et elle descend, elle descend, et elle est astralisée. Mais l’humain, l’ego dans sa relation avec lui-même, sait. Il sait s’il ne se fait pas prendre dans le jeu de l’astral. Il le sait mais c’est parce qu’il l’accepte. Un humain qui est réel dans son mental, il doit supporter la réalité de son mental, donc il ne peut pas faire autrement que savoir s’il est réel ou s’il n’est pas réel ! Parce qu’être réel n’a rien à voir avec la vérité et le mensonge. Être réel veut dire être capable de supporter la plénitude de son propre esprit et ceci, ce n’est pas facile si l’humain n’est pas suffisamment fort dans le mental pour le faire ou fort dans l’émotion pour le subir.

François Payotte : Il y a des gens ou en tout cas il semble qu’il y ait des personnes qui ont compris ce rapport et qui ont institué des techniques telles que par exemple la dianétique, dont le but est justement de mettre la personne au clair, autrement dit de contacter sa propre réalité au travers des interférences, au travers des entités, au travers des impressions, et au travers aussi de ce qu’ils appellent eux des engrammes qui sont des traces qui sont laissées dans la mémoire par le passage d’une expérience, sous l’effet d’un choc etc.  Est-ce que vous-même, vous donnez du crédit à ce genre d’expérience technique ?

Bernard de Montréal : Moi je ne donne jamais de crédit à rien. Je ne veux pas donner de crédit parce que je peux critiquer n’importe quoi, mais ce que je fais c’est d’expliquer comment l’humain fonctionne psychiquement, mémoriellement, au niveau de l’âme, au niveau de l’énergie, au niveau du plan mental. Je veux que l’humain sache, je veux que l’humain sache qu’il pense qu’il pense, moi je sais que ceci, c’est la clé de la prochaine évolution. Ça, c’est la première chose.

Ensuite tout le reste, l’humain peut évaluer ! Si l’humain sait qu’il pense qu’il pense, il peut évaluer n’importe quoi, il peut évaluer n’importe quelle méthode, n’importe quelle philosophie, n’importe quoi, parce qu’à partir du moment où il sait, où il réalise qu’il pense qu’il pense, il sera obligé de vivre sa pensée à deux niveaux. Soit la vivre à un niveau où il vit systématiquement dans la désinformation, ce qui est astral  ou il vivra un autre niveau où il est obligé de parler pour savoir, ce qui est l’aspect mental de la nouvelle conscience humaine, donc à partir de ce moment-là, il se créera une séparation dans le mental de l’humain et l’humain pourra regarder n’importe quelle question comme celle que vous me parlez, celle que vous me demandez vis-à-vis de cette science, et il parlera la réponse. S’il pense la réponse, il sera astralisé. C’est impossible à l’humain de savoir en pensant ! C’est une impossibilité à l’humain de savoir en pensant parce que savoir ça fait partie de l’évolution, ça fait partie de la création de la lumière de l’humain, ça ne fait pas partie de la réflection, ça ne fait pas partie de la relation entre l’humain et le monde de la mort, donc c’est impossible pour l’humain de penser pour savoir ou de savoir en pensant.

L’humain peut simplement penser pour attirer vers lui des niveaux de vibrations de formes-pensées plus ou moins subtiles mais qui seront utilisées quelque part au cours de son expérience par les entités pour le développement d’une relation encore plus subtile entre l’humain et ces entités. Et lorsque vous tombez dans des méthodes, il y va de ceci. L’humain doit confronter toutes les sciences, toutes les sciences que nous avons sur notre planète, toutes les sciences ésotériques, toutes les sciences mentales, toutes les sciences ! L’humain doit confronter les entités astrales qui sont responsables de ces sciences pour savoir où il en est vis-à-vis ces sciences, sans ça il n’a aucune porte de sortie. Vous me parlez d’un engramme, bon, je vais vous dire qu’est-ce que c’est un engramme d’après moi, non pas d’après ceux qui en parlent, je vais vous l’écrire.

……….

Bon, un engramme c’est la déformation systématique d’une mémoire utilisée par l’âme pour le bénéfice de certaines intelligences dans des mondes qui font partie de l’organisation psychique de l’humain sur la Terre. Donc un engramme utilisé d’une façon positive détruit le mental humain en juxtaposant le mental animique pour la performance sur le plan matériel des forces de domination.

Ça c’est l’engramme.

François Payotte : Mais ça met la cause à l’extérieur ?

Bernard de Montréal : Ça met toujours la cause à l’extérieur et le danger il est là ! Si l’humain n’est pas capable de regarder, de parler, si l’humain n’est pas capable de parler, bon, comment je pourrais dire. Bon. Vous, vous m’apportez une question, l’affaire de l’engramme, bon. Si vous me demandez une question : Qu’est-ce que c’est un engramme ? Je vais dire : Je n’ai pas lu ça, il va falloir que je lise et ensuite je vous en parlerai, je suis fini ! Il faut que je sois capable tout de suite de parler qu’est-ce que c’est un engramme ! Vous me demandez qu’est-ce que c’est un fœtus, mais il faut que je sois capable de parler un fœtus qu’est-ce que c’est ! Qu’est-ce que c’est telle chose, qu’est-ce que c’est un atome, qu’est-ce que c’est un élémental, qu’est-ce que c’est ça, qu’est-ce que c’est l’espace, qu’est-ce que c’est le temps, qu’est-ce que c’est. Il faut que je sois capable de le dire, sinon si je suis obligé de penser ! je suis foutu ! Parce que c’est en pensant que l’humain a été amené à perdre, à perdre sa lumière.

C’est par la pensée que l’humain a été amené à perdre son contact avec les circuits universels. La rupture entre les circuits universels et la race d’Adam, c’était justement à cause du fait que l’humain commençait à entrer dans son mental inférieur. Si les circuits universels n’avaient pas été coupés entre l’humain et eux, aujourd’hui nous serions à un stade d’évolution extraterrestre, mais c’était nécessaire que ces circuits soient coupés parce qu’il y avait un plan d’évolution, que d’ailleurs je suis en train d’écrire dans le livre. Un plan d’évolution pour l’humanité qui devait durer tant de temps, pour que l’humain en arrive un jour à pouvoir se reconstituer une nouvelle mémoire, mais à partir de s’en être vécue, subie une, expérimentalement, pendant des millénaires. Donc, la mémoire que nous avons vécu pendant des millénaires a servi à la création de nouveaux modèles de vie sur le plan astral. Ces modèles de vie sur le plan astral ont servi à la constitution éventuelle sur le plan génétique de l’évolution de l’humanité telle que nous sommes aujourd’hui et à partir de l’évolution, nous briserons avec ceci, nous n’aurons plus besoin des modèles de vie utilisés par l’astral donc nous n’aurons plus besoin de vivre dans notre corporalité matérielle telle que nous la vivons aujourd’hui, nous vivrons, nous passerons beaucoup plus de temps dans notre conscience éthérique que dans notre corporalité matérielle.

Donc nous devons, les humains de la Terre, en arriver un jour à parler ce que nous savons et non pas à penser à ce que nous pourrions savoir, puisque penser ne fait pas partie de l’évolution. Penser fait partie de la programmation évolutive de l’astral à travers le mental humain. D’ailleurs moi je le fais dans mes séminaires avec des gens, j’en donne l’expérience. Quand on réalise que si on prend un être humain et qu’on le confronte à une question qui n’est pas de son ressort de répondre, à cause de ma vibration la réponse est donnée, l’être humain est surpris de savoir ceci et ensuite il s’aperçoit qu’il sait ceci parce qu’il a eu de l’information télépathiquement programmée donc il commence à prendre conscience que ce n’était pas lui qui savait mais que c’était communiqué à travers lui, et que la seule sécurité pour le temps présent qu’il a de recevoir cette information, c’est parce que moi je suis là temporairement pour vérifier ce qu’il reçoit.

Remettez cet être humain dans une condition de vie normale où il n’a pas la capacité de filtrer ce qu’il reçoit, il retombe encore sous le fardeau de l’astralité, c’est la situation de l’involution de l’humain. Ce n’est pas parce que l’être humain est très sensible et qu’il reçoit de l’information télépathique, que cette information est nécessairement réelle.

Regardez ceux qui vivent des expériences de haute frustration psychique, qu’ils se font dire dans leur tête : Vends ta maison, va-t'en à tel endroit, les ovnis vont venir te chercher ! Le type il vend sa maison, il perd son job ! C’est écœurant la manipulation !

François Payotte : il y a la schizophrénie là-dedans.

Bernard de Montréal : La schizophrénie ça fait partie du même bal, seulement la schizophrénie c’est plus avancé, c’est à un niveau de possession qui va aller jusqu’à la matérialisation d’une forme astrale. Mais c’est toute la même chose, ça vient de l’astral ! L’astral se superimpose sur le conscient humain à travers le plexus solaire où il a la connexion et à travers l’œil qui devient sa vision dans le monde matériel.

François Payotte : Expliquez-moi pourquoi je suis réfractaire au mot entité ?

Bernard de Montréal : Vous êtes réfractaire au mot entité parce que vous avez l’impression que le mot entité fait partie d’une réalité qui n’est pas réellement enregistrée dans l’organisation psychique de l’humain, mais que c’est une réalité qui fait simplement partie de l’organisation psychologique d’une instruction ou d’une science qui tend à donner ou à créer des miroirs, pour que l’humain apprenne à avancer subtilement dans le monde encore indéfini d’une réalité qu’il ne connaît pas totalement.

François Payotte : Autrement dit des concepts forgés par l’esprit ?

Bernard de Montréal : Voilà ! Des concepts forgés par l’esprit. Autrement dit c’est comme si je disais : Ce n’est pas mauvais votre situation, ce n’est pas mauvais votre situation ! D’ailleurs ça aurait dû être comme ça auparavant. Si les humains s’étaient méfiés auparavant, aujourd’hui on serait peut-être plus avancés. Mais prenant votre situation publique, si vous êtes réfractaire au mot entité je le comprends. Mais je dois dire qu’un jour l’humain devra réaliser que des entités autrement dit des intelligences en dehors du corps matériel, libres du corps matériel existent.

François Payotte : Oui mais on ne peut pas excusez-moi on ne peut pas se coltiner avec des entités ! On ne peut pas se battre, on ne peut pas se mesurer !

Bernard de Montréal : Oooooh peut-être pas vous, mais d’autres. On peut effectivement entrer dans leur monde, on peut effectivement travailler avec eux ou contre eux, on peut effectivement !

François Payotte : Mais si c’est un concept forgé par l’esprit et que je n’ai pas ce concept-là, il n’y a pas d’entité !

Bernard de Montréal : Non il existe quand même. La crainte, la crainte dans votre personne, le phénomène de la crainte dans votre personne, c’est un phénomène qui vous permet de ne pas aller trop loin dans la cultivation de votre sensibilité pour ne pas amener vers le plan matériel trop de connaissance.

(François Payotte rit doucement)

Ce phénomène de la crainte il est cultivé par quoi ? Il est cultivé par de très, très hautes entités parce que vous avez contact avec un très haut niveau d’entités. Quand je parle d’entités, je ne parle pas d’entités simplement dans le sens négatif. Autrement dit c’est comme si…

François Payotte : Non, ça peut être une impression favorable autant que désagréable, une entité.

Bernard de Montréal : Exactement. C’est comme si je disais : Il y a l’ego, il y a la lumière de l’ego et entre les deux il y a un champ de force, dans ce champ de force il y a ce que j’appelle les entités, autrement dit les intelligences qui ne sont pas corporelles. Pendant l’involution, la relation entre la lumière et l’ego, elle était très ténue parce que la relation entre le champ de force et l’ego était très puissante. Pendant l’évolution, la relation entre le champ de force et l’ego va être extrêmement diminuée donc la relation entre la lumière de l’humain et l’ego va être très puissante, ce sera l’évolution. Donc le terme entité représente seulement un concept pour définir catégoriquement un niveau d’évolution, un niveau d’intelligence, un niveau d’organisation qui existe dans les plans parallèles.

François Payotte : Peut-être que ça prend le concept de l’entité pour avoir justement une communication télépathique ?

Bernard de Montréal : Pas nécessairement. Il y a une personne ici dans la salle qui a vécu pendant très très longtemps une communication télépathique purement sonore, purement sonore ! Des sons.  Et j’ai fait l’expérience avec elle, je lui pesais ici, elle entendait l’orchestre, je lui pesais ici elle entendait du jazz, je lui pesais sur une autre partie du corps, selon la partie du corps où je pesais, le son ou la musicalité changeait, l’instrumentation changeait, le raffinement de la musique changeait.

Donc pour montrer que le plan astral est un plan extrêmement versatile qui est psycho-électrique. Donc il y a une relation étroite entre la nature matérielle de l’humain et le plan astral en relation avec son corps astral qui devient le véhicule d’expression de ces énergies. Cette personne avait pendant un certain temps un problème d’ouïe. Cette personne n’entendait pas donc toute son énergie mentale était intériorisée. Étant intériorisée, elle est devenue automatiquement susceptible à cette énergie interne, ses centres psychiques se sont développés et il est venu un point où elle n’entendait pas de voix qui lui parlaient mais elle entendait constamment de la musique, c’est une forme de possession.

Alors je lui ai dit : Pour couper ceci, allez chez le médecin, achetez-vous des machines pour mettre dans vos oreilles, pour descendre le taux vibratoire de votre conscience astrale et maintenant qu’elle a fait ceci, elle entend mieux et il y a moins de musique dans la tête. Et d’ici à une année il n’y aura plus de musique dans la tête !  Donc le phénomène de l’entitésation n’est pas simplement du domaine psychologique, il peut être du domaine sonore.

Et pour les gens qui sont astraux, pour les gens qui sont sensibles, pour les gens qui font des expériences dans l’invisible malgré eux, pour des gens qui vivent la folie, tous les gens qui sont dans les asiles psychiatriques, pour les gens comme moi qui ne sont pas dans les asiles psychiatriques et qui devraient l’être (BdM rit, rires dans la salle), il y a effectivement des mondes parallèles. Et l’humain un jour sera obligé de défaire ce qui a été fait par ces entités pour cacher le secret de l’organisation totale de la conscience humaine. L’humain ne peut pas aller indéfiniment et se cacher à travers les investitures de la psychologie ou de la philosophie matérialiste pour dire : ça c’est pour les femmes, les psychiatres ou les psychologues ou les gens savants, et j’en connais des gens très, très savants qui s’intéressent à ces choses, ces gens demain seront obligés de s’intéresser à ces choses et de les comprendre, parce que ces choses une fois comprises feront en sorte que l’humain ne vivra plus sa conscience sur le plan matériel comme auparavant.

Moi je respecte très bien la question que vous me posez concernant les entités. Moi je me mets dans votre peau lorsque j’avais 29 ans ou 30 ans, avant la fusion, et si on m’avait posé ou si on m’avait parlé de choses dont moi je parle aujourd’hui, j’aurais posé la même question ! Mais je donne aujourd’hui l’avantage à l’humain oriental et à l’humain occidental de regarder un petit peu plus loin que son nez.

François Payotte : Ce que je veux dire, en acceptant le concept de l’entité est-ce qu’on n’est pas en train de donner du crédit justement à l’astral ?

Bernard de Montréal : Non, non, c’est le contraire. C’est quand vous refusez le concept de l’entité, regardez ! comme c’est subtil hein ! Moi je l’ai senti la vibration tout de suite, aussitôt ! écoutez, écoutez.

…………écoutez : la lumière, ce qu’on appelle la lumière, c’est la force créative dans l’humain ok. Elle est très personnelle, elle fait partie de l’humain intégral. La lumière n’a aucune relation avec la réalité, la lumière n’a aucune relation avec la réalité ! La réalité est l’expression de son mouvement dans le temps et dans l’espace. Quand l’humain vivra la lumière, il vivra la création des conditions spatio-temporelles de son psychisme donc il sera libre à explorer toutes les dimensionnalités spatio-temporelles de sa réalité, donc que ce soit les réalités matérielles, psychiques, vitales, mentales, émotionnelles, astrales, mortelles, la lumière c’est un mouvement d’énergie créative, l’humain doit être réceptif à cette énergie puisqu’elle fait partie de lui, puisqu’elle le constitue. Mais problématiquement à cause de son involution, l’humain ne vit qu’une très faible partie de cette énergie. Pourquoi ? À cause de sa mémoire. Pourquoi ? À cause de son âme. Pourquoi ? À cause de ses liens émotifs avec la mémoire de l’humanité, à cause de ses liens avec le besoin de connaître le vrai et le faux, c’est le plus grand outil de l’astral. L’humain doit avoir la force de définir le réel. L’humain ne peut pas subir la définition du réel à partir d’une pensée qui lui est imposée par programmation. Il doit lui-même définir le réel. Et lorsque l’humain vit son énergie, son énergie à quelque niveau que ce soit, qu’il parle de science, de physique, de génétique, de lumière, d’âme, de n’importe quoi, lorsque l’humain vit cette énergie et qu’il la rend par la parole, il ne peut pas la rendre plus grande qu’il ne peut la supporter, c’est impossible. Moi je ne peux pas parler plus dans le monde que je puisse supporter de cette lumière. Sinon je crève ! Donc dans deux ans je parlerais plus, j’aurais plus de force. Dans dix ans j’aurais plus de force.

François Payotte : Pourquoi est-ce que j’écris entité = espace mental ? Fusion = vide mental, où est l’entité dans le vide mental dans la fusion ?

Bernard de Montréal : Entité égal espace mental parce que l’entité vit dans le mental de l’humain, l’entité vit.

François Payotte : Mais dans votre cas, si vous vivez du vide mental, si vous êtes le produit, le double éthérique de la fusion, donc du vide, de l’absence, où est l’entité là-dedans, comment pouvez-vous communiquer avec des entités s’il y a un vide mental ? Il faut que vous créiez quelque chose, une forme ?

Bernard de Montréal : Non je crée par la parole, je communique par la parole.

François Payotte : Mais à ce moment-là est-ce que vous ne créez pas l’entité par la parole, comme un support ?

Bernard de Montréal : Votre question est intéressante. On ne peut pas créer une entité par la parole parce que la parole ne sert pas à créer une forme, elle sert à déplacer de l’énergie.

La pensée, elle sert à créer une forme, mais la parole ne sert pas à créer une forme, elle sert à déplacer de l’énergie. C’est pourquoi la parole demain sera pour l’humain sa plus grande sécurité parce qu’elle ne crée pas dans le monde mental de l’humain de matérialité ou de substance qui peut être utilisée par les entités contre lui.

C’est pour ça que l’humain qui a la parole n’a plus besoin de connaissance.

C’est pour ça que l’humain qui a la parole peut vivre dans le vide mental.

C’est pour ça que l’humain qui a la parole n’a pas besoin de penser, c’est l’humain de demain. Tandis que l’humain qui vit par la pensée, il est obligé de nourrir les entités qui font partie de son espace mental. Et plus ses pensées changent, se transmutent, plus elles deviennent intelligentes, plus ces entités deviennent intelligentes.

François Payotte : Bon, si on essayait de mettre le doigt sur le caractère d’une entité, pouvez- vous me spécifier des entités au niveau peut être psychologique, au niveau des impressions, c’est quoi ces entités ?

Bernard de Montréal : Okey. Très intéressant cette question. Vous, vous venez au monde dans une famille pauvre, votre père c’est un homme autoritaire, tête de cochon. Votre mère c’est une femme qui est bonne mais faible. Vous grandissez et l’autorité de votre père vous marque. Il vous marque, il vous marque, il vous marque pendant des années et des années donc astralement parlant, vous développez une sorte d’insécurité psychologique au niveau de l’ego. Par contre la bonté, la sensibilité de votre mère vous permet de garder une sorte de raffinement instinctuel au niveau de la sensibilité. Au fur et à mesure que vous avancez dans la vie et que vous allez dans le monde et que vous allez chercher de la pensée ou que vous nourrissez des pensées, les pensées que vous allez nourrir seront en fonction de votre force et de votre faiblesse. Donc il y aura en vous de l’entité qui sera reliée à l’activité astralisante de votre père, il y aura en vous des pensées qui seront reliées à l’activité astralisante de votre mère. Donc vous pouvez très bien avoir deux entités qui sont connectées à votre psychisme. Si votre père a été très, très autoritaire et réellement dur, vous pouvez vivre une connexion avec une entité sur ce plan qui vous amènera, au cours par exemple, de certaines conversations avec le psychologue, à ce que le psychologue vous dise : Écoutez, vous avez des relations avec un père qui a été de telle façon, vous avez des relations avec une mère qui a été de telle façon, lorsqu’en fait, ce sont des entités de telle façon qui ont donné à votre père et à votre mère telle façon, qui ont fait connexion avec vous continuellement de telle façon. C’est un jeu ! C’est un jeu et c’est ça que l’humain nouveau découvrira, c’est un jeu. Moi je connais des gens qui se sont pendant des années flagellés de leur tempérament, de leur caractère et ainsi de suite !

fin enregistrement.

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