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Hommage à Bernard de Montréal
23 novembre 2020

La science de l’intelligence

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L’intelligence est une science et non pas seulement une expérience mentale. À quel niveau et sous quelle condition de conscience, l’intelligence devient-elle une science ?Voilà une question importante et imposante pour le genre humain.

L’intelligence est une science à partir du moment où l’humain, l’ego, se sent totalement désengagé de son intellect et à partir du moment où ce dernier peut percer les couches de son esprit et aller chercher ce qu’il a de besoin de savoir pour mieux comprendre ou expliquer la vie et ses multiples facettes.

L’intelligence est une science exacte, lorsque l’humain a fait un bond sans hésitation dans son esprit, prenant conscience de son esprit, et ne laissant plus passer dans son esprit le moindre des doutes. La science de l’intelligence est une faculté nouvelle sur la Terre et ne relève plus de l’ego, mais de son rapport vibratoire avec une énergie dont l’intelligence est supérieure à ce que l’humain puisse s’imaginer ou comprendre. C’est de cette énergie que doit naître, sur la Terre, la science de l’intelligence.

Si nous parlons de science de l’intelligence, c’est pour élever l’intelligence à un statut plus vaste, plus indéfinissable que celui que nous connaissons par expérience ancienne. C’est pour établir que l’ordre des choses dans l’univers ne peut être compris, saisi, tant que l’humain n’a pas franchi ce cap où l’intelligence n’est plus simplement la réflection d’une forme inférieure dans le mental humain, mais une mutation de ce mental permettant à l’humain de communiquer avec des êtres supérieurs.

Si la science de l’intelligence représente la première des forces créatives sur le plan mental supérieur de l’humain, elle est aussi la première des forces qui fera éclater le savoir humain, afin qu’une mutation se crée dans le mental inférieur. Le mental est une dimension spatiale de l’esprit, et cette dimension possède un point d’attache. Et ce point d’attache, c’est le mental cosmique de l’humanité. Mais l’humanité est encore loin de l’expérience du mental cosmique, car l’humain n’est pas encore libéré du mental planétaire, c’est-à-dire de ses pensées subjectives qui planent dans son esprit à cause de sa relation émotive avec l’intellect.

Si l’humain n’avait pas de relation émotive vis-à-vis de son intellect, il vivrait dans le mental cosmique universel, c’est-à-dire dans ce mental qui n’est pas humain en soi, mais suprahumain, c’est-à-dire non soutenu par la dualité du vrai ou du faux. Le vrai et le faux créent dans le mental de l’humain une zone à l’intérieur de laquelle il doit opérer mentalement et émotivement. En dehors de cette zone, son esprit tremble et il croit devenir fou, car l’énergie en dehors de cette zone n’est plus sous le contrôle de l’ego, mais sous le contrôle de l’intelligence pure du rayon.

La science de l’intelligence est une nouvelle étape dans l’évolution de l’action et de la parole humaine, et cette science marquera la différence entre l’intelligence réelle et l’ignorance.

L’humain a été créé pour que se crée sur le plan matériel un double de l’esprit, c’est-à-dire une contrepartie parfaite de l’esprit, organisée matériellement et cette contrepartie parfaite de l’esprit représente, en réalité objective, une image tridimensionnelle ou volumétrique de l’espace atomique dont est construit l’esprit. L’esprit est un espace atomique, c’est-à-dire une dimension de l’atome régie par les lois de l’intelligence. Et cette loi, manifestée à travers l’espace atomique, constitue une science précise que nous appelons « science cosmique » ou « intelligence universelle ». Autrement dit, l’intelligence est une science cosmique manifestée à travers un espace atomique sur un plan volumétrique et tridimensionnel que l’on appelle « l’humain ». Si l’humain n’existait pas, le plan tridimensionnel dont a besoin l’esprit devrait exister dans une autre dimension. Et cette autre dimension, c’est celle du rêve ou du plan astral. S’il en était ainsi, l’humain non réalisé dans la matière serait une image nécessaire pour que l’énergie de l’intelligence puisse se manifester à travers cet espace atomique, dont l’esprit serait astral.

Alors pourquoi l’humain existe-t-il ? Il existe afin que l’image astrale soit réalisée, c’est-à-dire incarnée, c’est-à-dire rendue matérielle

Pourquoi ? Parce que le tridimensionnalisme matériel de cette image, l’humain, est le résultat parfait de la condensation de la forme sur un plan qui ne peut être imaginaire, c’est-à-dire en fonction de l’astral, mais matériel, c’est-à-dire en fonction de l’intelligence. Autrement dit, si l’humain existe sur le plan matériel, c’est à cause de la science de l’intelligence et non à cause de l’esprit de l’humain. Autrement dit, le phénomène d’incarnation, de descente dans la matière, est le produit de la science cosmique et non le produit du désir de l’esprit de la pénétrer.

Pourquoi ? Car la science de l’intelligence est une volonté créative qui s’établit là où le vide existe, c’est-à-dire là où une espèce matérielle peut être créée pour que l’image astrale de l’humain puisse être reproduite dans la matière, afin que cette même matière puisse un jour la reconnaître, afin que la science cosmique prenne contrôle de l’évolution des espèces régies par les lois astrales, où la science cosmique est inexistante et sans pouvoir créatif intelligent et absolu.

L’humain n’est en fait qu’une image matérialisée de l’astral. Et ceci est le plus grand fait de l’humain. L’humain n’est pas encore le produit de la science cosmique. La différence entre les deux est grande et de forte implication, car c’est la différence entre la mortalité et l’immortalité.

Si nous disons que l’intelligence est une science universelle, nous disons que la science cosmique est la descente et l’apparition de l’intelligence sur la Terre. Et cette descente coïncide avec l’évolution, avec l’élévation vibratoire de la conscience humaine ou de l’intelligence de l’humain. Donc, la science cosmique n’est pas une étude philosophique, elle est le produit de la descente sur la Terre de l’intelligence dans l’humain.

La science de l’intelligence, veut dire que l’humain développera le pouvoir de science, le pouvoir d’intelligence, le pouvoir d’esprit sur son image astrale. Et ceci créera une unité entre l’intelligence cosmique, la science cosmique, et l’humain.

La science de l’intelligence est responsable des pensées que l’humain connaît dans son expérience, mais n’est pas responsable de la valeur de ses pensées. Car la valeur d’une pensée est toujours astrale et fait toujours partie de l’image de l’humain dans l’astral. Autrement dit, il n’y a pas de science de l’intelligence dans l’humain, car les valeurs de toute pensée humaine proprement dite proviennent de l’astral. Si les valeurs, quelles qu’elles soient, des pensées humaines viennent de l’astral et que la pensée elle-même vient de l’intelligence, l’humain est le point de rencontre où la division doit être faite, où le filtrage doit être établi. C’est ce que nous appelons « l’être supramental », « l’être humain complet ».

La séparation entre la valeur de la pensée et la pensée elle-même est la différence entre la mortalité et l’immortalité. La science de l’intelligence ne doit pas être conçue comme la science que nous connaissons sur Terre. « Science » ; dans le sens cosmique du terme, veut dire passage de l’intelligence à travers la valeur astrale de la pensée pour l’éclatement de la pensée, afin qu’un ordre supérieur soit créé sur le globe. La science de l’intelligence est une vibration canalisée à travers la valeur astrale de la pensée humaine pour forcer la nature humaine à ne plus s’interroger valoriellement sur son intelligence ou l’intelligence active à travers l’humain.

La valeur de la pensée humaine n’est jamais, et ne peut être, intelligente scientifiquement, car elle est prédéterminée. Et toute science intelligente, ou toute intelligence scientifique et cosmique, interdit la prédétermination. Car la prédétermination engendre, sur le plan matériel ou le plan tridimensionnel de l’humain, de l’émotion négative. Et cette émotion négative tue la science de l’intelligence dans l’humain et force l’humain à demeurer prisonnier de l’astral et à mourir comme les animaux, donc sans avoir libéré son esprit.

La science de l’intelligence est proprement dite la volonté absolue et cosmique de l’énergie créative dans l’univers. Elle ne peut être prédéterminée, car elle crée sa propre harmonie au fur et à mesure qu’elle se manifeste et tout ce qui existe dans l’astral est prédestiné, autrement dit, déjà vécu sur le plan imaginaire, et ce plan n’est pas créatif mais actif.

La science de l’intelligence étant créative, l’actif vient après elle et s’il est prédestiné sur le plan de l’humain, c’est que l’humain n’est pas encore dans l’intelligence cosmique et, automatiquement, il est soumis au temps.

L’humain connaîtra la science de l’intelligence au vingt-et-unième siècle, lorsque le contact sera établi entre le Terrestre et certaines intelligences qui sont libres des plans imaginaires de l’astral. Le contact entre l’humain et ces êtres apportera sur la Terre la science de l’intelligence, c’est-à-dire le pouvoir vibratoire de l’intelligence. Ce pouvoir dirigera l’évolution de l’humanité future jusqu’à ce que l’humain ait atteint son droit d’aîné, c’est-à-dire lorsqu’il aura le pouvoir de projeter sa pensée dans la matière. Pour que l’humain puisse projeter sa pensée dans la matière, il faudra que sa pensée soit libre de toute valeur, c’est-à-dire qu’elle ne puisse être prédestinée. Autrement dit, qu’elle soit libre de l’imaginaire astral d’où elle détient sa valeur.

La pensée sera un champ de force, plutôt que d’une forme.

Le problème avec toute forme de pensée quelle qu’elle soit, quel que soit son niveau vibratoire, provient du fait qu’elle possède une valeur, et la valeur de toute pensée est réfléchie par l’astral de l’humain.

L’imaginaire ou l’astral n’a jamais été dans l’intelligence, car l’intelligence est mentale. Alors toute intelligence astrale n’est que le mouvement dans l’humain d’une valeur prédestinée et émanant de ce plan. La prédestination d’une valeur fait partie du mensonge et de la vérité. Tout mensonge est prédestiné à celui qui peut le recevoir et la même situation existe pour la vérité, selon les degrés d’évolution spirituelle.

L’intelligence est cosmique, donc occulte dans ses mécanismes de fond. Ce que l’humain inconscient connaît de l’intelligence n’est que sa dimension inférieure, sa dimension psychologique, qui donne à l’humain la conscience qu’il a aujourd’hui et qui s’est graduellement développée depuis des millénaires selon l’évolution de ses corps subtils. Mais l’intelligence que l’humain connaît aujourd’hui, à la fin du vingtième siècle, est le début de l’intelligence supramentale de l’humanité. Mais ce début est encore très primitif, car le cerveau humain ne peut qu’absorber un peu de l’énergie de l’intelligence à la fois, jusqu’à ce que ses corps subtils soient suffisamment altérés ou élevés en vibration.

L’intelligence réelle de l’humain doit se manifester sur le globe à un tel point que l’humain n’ait plus l’impression d’être égoïquement intelligent. A ce stage d’évolution, l’humain commencera à comprendre, à réaliser, que l’intelligence est une science et que la science cosmique est sur la Terre. Mais la science cosmique ne peut se manifester sur la Terre tant que le cycle de la cinquième sous-race ne sera pas achevé. L’intelligence est une science et la science est réellement intelligente, c’est-à-dire qu’elle est l’appréciation du pouvoir de l’intelligence sur la Terre. L’intelligence est occulte, autrement dit incompréhensible dans sa totalité, car elle est infinie et l’humain commence à comprendre ceci lorsqu’il perd la notion d’intelligence et l’impression de l’être ou de ne pas l’être.

A partir de ce moment dans l’évolution de l’humain, l’intelligence détruit la réflection des formes à l’intérieur du corps mental inférieur de l’humain, et l’humain commence à ne plus être ébloui par l’intelligence. Il peut alors la canaliser et la faire descendre sur le plan matériel pour son bien-être, pour son bénéfice personnel et le bénéfice de l’humanité. Mais s’il veut la posséder le moindrement, elle lui échappe, car elle ne peut être utilisée avec réflection égoïque.

L’intelligence est une science, car elle détermine avec perfection l’acheminement évolutif de tous ses mouvements à travers l’humain. Elle est donc derrière tout mouvement et ne peut être entravée que par une conscience humaine inférieure plus avancée que l’animal, mais inférieure au surhomme. À ce stage, elle peut devenir destructive, car elle ne se connaît pas. Et l’intelligence doit se connaître dans l’humain, c’est-à-dire que l’humain doit en être totalement imprégné pour qu’elle soit parfaitement créative. La science de l’intelligence est manifeste, c’est-à-dire qu’elle est instantanément appliquée lorsque l’humain est instantanément dans sa conscience, c’est-à-dire lorsque l’humain ne la réfléchit plus égoïquement.

L’intelligence produit l’unité dans la nature de l’humain lorsqu’elle est réelle, elle crée l’humain réel et l’humain cosmique. L’humain réel étant celui qui, dans la matière, canalise l’énergie, et l’humain cosmique celui qui, dans l’éther, utilise cette énergie pour qu’elle soit perfectionnée sur un plan de conscience élevée et non entravée par les sens, afin que le pouvoir de l’intelligence soit retenu par l’humain, afin que l’être cosmique et l’être planétaire soient réunis dans une unité créative abondante, pour que s’établisse sur le globe le règne de l’intelligence.

L’intelligence supramentale n’a pas de limite autre que l’humain lui-même. Ceci veut dire que l’humain détient le pouvoir de cette intelligence selon le perfectionnement de ses corps subtils. Les corps subtils de l’humain, surtout le mental et l’émotif, sont la mesure même de la descente de cette énergie sur la Terre. L’intelligence, en tant que science, comporte à la fois des dangers et à la fois des bénéfices pour l’humanité. Si l’énergie est utilisée de façon à ce que l’humain en soit parfaitement conscient, elle le sert et il sert l’humanité. Si cette même énergie est filtrée à travers des couches de conscience inférieure et animale, l’humain risque d’être détruit par elle et de détruire sa civilisation.

La science de l’intelligence est l’application, sur le plan de vie matérielle, de forces inouïes, forces qui émanent de la conscience même de l’atome et qui peuvent être utilisées et contrôlées par l’humain. Mais l’humain est encore à ses premières armes vis-à-vis de l’énergie de l’intelligence et beaucoup lui sera donné à condition qu’il ne s’élève pas contre l’humain, son frère, car cette énergie alors le détruira.

Lorsque nous disons que l’intelligence est une science, nous disons juste. Nous disons que cette énergie permet à l’humain de connaître instantanément les lois de la nature. Et si son ego n’est pas ajusté à une réalité qui lui est propre, il peut facilement se convaincre que le pouvoir de l’énergie fait partie de lui et qu’il peut en faire ce qu’il désire. C’est ici que commence le danger que connaîtra la sixième race. L’esprit de l’humain verra pour la première fois le pouvoir de l’esprit, et l’ego frémira devant cette constatation. Ce n’est pas l’esprit de l’humain qui est dangereux, mais son ego, c’est-à-dire cette partie de son esprit qui est encore sous le contrôle des forces astrales.

Les forces astrales savent manipuler l’énergie de l’intelligence contre l’humain. Et toute science issue de ce cette intelligence, de cette énergie, devra être surveillée par des êtres évolués et conscients du danger qu’elle portera dans son sein. Le nouveau cycle sera le premier sur Terre qui ouvrira à l’humain toutes ses possibilités, et ce cycle sera aussi celui qui rendra l’humain conscient du pouvoir de l’énergie sur la Terre. Mais l’humain est encore ignorant et le début du cycle permettra à l’humanité de se rendre compte des dangers liés à l’utilisation de la nouvelle science.

C’est graduellement que l’humain comprendra que l’énergie, et les forces qu’elle génère, requiert une conscience élevée, c’est-à-dire un esprit qui soit évolué.

Un petit nombre d’hommes et de femmes auront été avisés du lien entre l’ego et l’astral et ce seront ces êtres qui les premiers, sauront bien utiliser les forces nouvelles de la Terre, à cause de leur niveau supérieur de compréhension. Ces êtres auront vite compris la nécessité de se créer sur le globe un centre de vie et d’activités qui les protégera absolument du désordre.

L’intelligence étant une science, ceci veut dire que l’intelligence sera créative et constructive et non philosophique. Ayant dépassé le stage de la pensée philosophique, les humains les plus évolués construiront les premiers le pont entre la matière et l’éthérique. Ce pont sera une sorte de tunnel qui sera emprunté, et qui permettra à un certain nombre de se rendre invisibles à la population matérielle. Ce sont ces êtres qui formeront le premier gouvernement invisible de la Terre et qui veilleront à ce que l’évolution de la sixième race se fasse selon les lois de l’intelligence et des forces évolutives qui travaillent dans l’ombre.

Le temps pour l’humain est une condition de vie qu’il ne comprend pas, car pour lui le temps est lié à une activité qui prend origine dans son corps de désir. Mais le temps réel devient concret chez l’être supramental, car le temps appartient au pouvoir de l’intelligence en lui, et ce temps n’est aucunement celui que l’humain connaît. Et la connaissance des lois de l’énergie permettra à l’humain de modifier le temps, c’est-à-dire de le faire avancer ou de le retarder ; et c’est ici que l’humain pourra commencer à travailler sur les plans supérieurs de la matière et coordonner les activités inférieures de l’humanité.

Le fait que l’intelligence soit une science est le plus grand défi de l’humain. L’humain apprendra avec l’évolution que l’intelligence ne supporte aucune théorie intellectuelle développée par l’humain. Cette situation est tellement vaste d’implications, que seule l’intelligence peut remettre de l’ordre dans l’évolution et donner libre accès à l’humain, au bénéfice de sa planète et du système solaire. L’intelligence en tant que science est une force d’organisation tellement puissante que les humains de demain qui voudront s’y opposer seront anéantis, c’est-à-dire que leur esprit sera bouleversé et mis en confusion.

La science de l’intelligence est un pouvoir de créativité sur le globe, et ce pouvoir est manifesté à travers l’humain, mais ne vient pas de lui. Les humains de la Terre sont tellement primitifs dans leur intelligence que le seul bénéfice qu’ils ont réussi à soutirer de la nature est celui qui leur a permis l’étude et la recherche. Mais l’étude et la recherche matérielles ne sont que des facettes de l’expérience humaine.

L’intelligence en tant que principe est une énergie, et cette énergie devient de plus en plus présente chez l’humain. Et dans les années à venir, il y aura sur la Terre une diffusion énorme de cette énergie, et les humains commenceront à vivre un état semblable à la folie. Mais cet état sera temporaire et les plus forts s’en sortiront. Ceux qui s’en sortiront créeront les conditions essentielles à la canalisation de cette énergie et ne seront plus sous l’influence marquée de la société contemporaine et de ses structures surannées. L’effet sur l’humain de cette énergie sera tellement puissant, qu’une psychologie de cet événement sera nécessaire pour que ceux qui en seront témoins ne souffrent pas outre mesure de leur situation.

L’intelligence est une science car son mouvement dans l’humain est perpétuel, c’est-à-dire de sorte que l’humain éventuellement apprend à s’en servir et à l’appliquer à l’échelle de ses besoins et ce, sans fin. L’intelligence, en tant que science, ne peut se manifester sans que l’ego ne soit préparé à la recevoir, à la manipuler. C’est pourquoi il est encore difficile pour les humains aujourd’hui de la voir, de la réaliser en tant que science. Mais le temps n’est pas loin où cette réalisation sera marquée par des inventions, dont les inventeurs n’auront aucune compréhension technique autre, que ce qu’il leur sera indiqué.

L’humain a toujours voulu posséder la science, et c’est la science, la science cosmique, l’intelligence, qui le possédera. Lui ne fera que la canaliser. Cette situation sera nouvelle pour l’humain de la Terre, car il s’apercevra que le rythme de croissance de la science et des inventions humaines ne sera plus géré par les monopoles industriels, mais que, tout-à-coup, quelque part dans le monde, il sera annoncé que telle machine est mise à la disposition de l’humanité. Et les humains en général, c’est-à-dire les humains qui ne seront pas dans l’intelligence universelle, ne comprendront pas l’origine de ces merveilles de la science nouvelle. Elles apparaîtront dans le monde à l’insu du monde, et l’humanité sera enrichie d’une science qui n’est pas de l’humain, mais de l’intelligence réelle dans l’humain.

Voilà pourquoi, aujourd’hui, beaucoup d’humains ne comprennent pas ce qui se passe dans les profondeurs du psychisme humain, et s’inquiètent. Mais leur inquiétude sera de courte durée car l’intelligence ne détruit pas l’humain, bien qu’elle puisse épuiser ses ressources psychologiques au point où il se demande s’il n’est pas sur le point de perdre son esprit. Voilà pourquoi l’humain doit savoir et comprendre ce qui se passe sur le globe.

L’intelligence est science si abondante, que dès sa manifestation matérielle, technique, les problèmes de l’humanité commenceront à s’estomper, car sa promulgation dans le monde sera accompagnée de la présence sur Terre d’un humain dont les qualités d’intelligence et de science bouleverseront les nations. Ce sera la fin de la cinquième sous-race de la science matérielle, et le début de l’âge nouveau.

Ce sera l’époque rêvée depuis des siècles, et cette époque est près de l’humain. Mais l’humanité sera troublée avant son apparition car le vieux, le ranci, doit être éliminé. Les formes anciennes doivent être détruites avant que l’humain ne puisse connaître les secrets de la matière et le pouvoir de l’énergie. L’humain doit apprendre graduellement à se dissocier de la notion de son intelligence, afin de pouvoir s’ouvrir à une énergie dont le pouvoir et la qualité est intelligence. Cette nouvelle condition de l’humain révolutionnera la civilisation et produira sur le globe une puissance d’invention que l’être humain n’a jamais connue.

L’intelligence dans sa réalité est un rayon qui se fixe au cerveau de l’humain et augmente le champ d’énergie dégagée par ce cerveau. Le cerveau humain est une charge électrique qui peut être altérée au contact de ce rayon et dès que ce contact est établi, l’être humain devient mutant, c’est-à-dire qu’il n’appartient plus à l’échelle évolutionnaire primitive de sa planète, mais la dépasse et éventuellement en domine l’évolution plus lente.

Un certain nombre d’êtres humains sur le globe seront touchés par ce rayon. Chacun est déjà pré-ordonné et chacun sera graduellement conscientisé dans cette intelligence. La Terre ne sera plus une planète expérimentale pour ces humains, elle deviendra un lieu où leur intelligence nouvelle devra s’appliquer pour que se crée, sur cette planète, une race supérieure, un humain supérieur non limité par la psychologie de son temps.

L’humain découvrira le pouvoir de l’intelligence au fur et à mesure que la Terre et ses populations entreront en conflit inévitable, et ceci est déjà commencé.

La pollution de la Terre est l’épuisement de l’intelligence naturelle humaine et l’incapacité chez l’humain de retenir cet épuisement, de l’empêcher, justement parce qu’il a un besoin très grave d’intelligence supérieure. La pollution de la Terre est le signe majeur de la nécessité que se forme sur cette planète un corps créatif, un cercle nouveau d’individus qui seuls auront le pouvoir de régénérer les forces de la planète à travers les pouvoirs qui leur seront conférés par le rayon de l’intelligence qui se fixera dans leur cerveau.

 L’intelligence est tellement importante pour l’humain que sa situation actuelle ne peut que se dégrader. Ni l’humain de bonne volonté, ni l’humain spirituel ne peuvent mettre un terme à la mort de la civilisation. Les conflits sont générés à partir de forces trop primitives et trop ignorantes des lois de la vie. La vie Terrestre est à son dernier souffle, l’humain ne voit jamais la fin car il vit d’espoir, mais il ne réalise pas que l’espoir est un manque d’intelligence. Ce n’est qu’un palliatif de l’ego pour lui permettre de continuer sa course folle vers l’anéantissement de sa civilisation.

Les humains n’ont jamais compris les lois cosmiques de leur planète. Ils ont toujours vécu selon les idées personnelles philosophiques, les idées primitives de leur civilisation, les opinions. Ces temps sont révolus !

L’humain connaîtra ce qu’il a toujours voulu se refuser de connaître : le pouvoir de l’intelligence. Pouvoir d’intelligence supérieure qui dirige l’évolution sur des plans que seul l’humain conscientisé peut connaître et reconnaître. L’intelligence est régie dans l’univers par des forces que l’on peut qualifier de rayonnantes, et ces forces sont lumière, c’est-à-dire qu’elles sont intelligences et créatives. Lorsque l’humain est suffisamment évolué, il peut être mis en contact avec ces forces, mais dès que le contact est établi, une nouvelle civilisation doit naître des décombres de l’ancien.

Voilà comment change et se transforme la vie d’une planète.

L’humain doit commencer à pouvoir épouser des idées qui vont plus loin que sa petite psychologie, il doit pouvoir épouser des idées dont il peut comprendre l’ampleur et la réalité. Il doit pouvoir commencer à contempler de plus vastes panoramas de la réalité planétaire et cosmique car il deviendra un jour cosmique, c’est-à-dire capable de vivre d’énergie, et non plus simplement de nourriture et d’idées fixées par son histoire, et fixées par une mentalité planétaire et collective qui vit d’opinions et se nourrit d’opinions, pour se créer une opinion qui devient avec le temps l’opium de la Terre.

L’intelligence en tant que science intérieure des principes de vie, à tous les niveaux de la réalité humaine et planétaire, ne peut croître qu’avec l’évolution de l’esprit humain et la transformation des champs d’énergie qui constituent sa réalité invisible et subtile. Cette intelligence progressera et traversera toutes les couches de la conscience humaine, jusqu’à ce que l’humain puisse l’utiliser pour son bien-être. L’être humain doit traverser le désert avant de trouver l’oasis, et tant que ce trajet ne sera pas accompli, il sera, à plusieurs reprises, victime des mirages, car sa soif sera grande pour la paix. Mais cette paix profonde ne viendra qu’avec le développement de plus en plus concret de la nature humaine, c’est-à-dire de la personne humaine, jusqu’à ce que cette dernière soit un agent libre et créatif, non retenu par une psychologie qui n’est pas issue de l’universel dans l’humain, mais de l’historique et du planétaire conditionnés par l’histoire, le passé, la mémoire.

L’humain ne doit pas avoir peur du vide que l’intelligence crée, car ce vide est un plein, un plein de possibilités que l’humain ne peut encore exploiter car son ego bloque ses propres forces. L’ego de l’humain doit se sensibiliser à sa conscience réelle et profonde et mettre de côté les faux supports qui lui donnent naissance.

La science de l’intelligence permettra à l’humain de réaliser que l’expérience qu’il vit sur le plan matériel est directement en relation avec les événements qui sont préparés pour lui, sur le plan parallèle. Et cette réalisation deviendra pour lui de l’intelligence, c’est-à-dire compréhensible, ordonnée, bien coordonnée à sa propre façon.

L’ego a tellement été habitué à interpréter la vie selon ses propres modes, qu’il est normal que l’intelligence, une fois sa descente commencée, lui fasse réaliser que les événements ont toujours représenté une influence intelligente, et que cette intelligence a toujours œuvré derrière le voile. Ajusté à cette intelligence, à cette énergie, l’ego commence alors à devenir plus intelligent, et avec le temps, commence à l’utiliser sur le plan matériel selon le pouvoir de cette dernière.

C’est la science de l’intelligence qui doit dicter à l’humain comment agir, comment construire, car c’est cette science qui est cosmique, universelle et lie ensemble les humains. Si nous employons le terme « science » pour définir la précision de l’intelligence, pour lui donner une caractéristique que nous connaissons ou que nous avons développée, c’est pour faire comprendre à l’humain que demain son intellect sera transformé, que son esprit sera dans un état autre, ce qui permettra à l’énergie de créer instantanément en lui les rapports qu’elle a de besoin, afin que se manifeste, sur le plan matériel, de l’intelligence, c’est-à-dire une science, c’est-à-dire une intelligence appliquée selon les lois de l’énergie, et non selon les lois du corps de désir de l’humain.

Nous disons que cette énergie est science parce qu’elle a le pouvoir d’organiser parfaitement l’évolution et qu’elle permet à l’humain de parfaitement structurer son évolution matérielle, et à la fois comprendre les lois occultes de la matière et de l’esprit, qui doivent à un certain moment se rencontrer, afin que l’humain possède sur la matière un pouvoir total, et que son esprit puisse être parfaitement harmonisé à l’intelligence, afin que la civilisation humaine devienne une civilisation cosmique, au lieu d’être simplement une civilisation planétaire. L’évolution sur la Terre de l’intelligence en tant que science, et de la science en tant qu’intelligence, permettra à l’humain, pour la première fois depuis son apparition sur le globe, de construire une civilisation dont les lois seront l’approximation de l’énergie et de l’intelligence, au lieu de réfléchir ou de refléter les dispositifs astraux de la conscience humaine que nous avons connus au cours de l’involution, et qui ont été à la base même de la déchéance humaine et aussi à la base même de la souffrance de l’humain.

Pour que l’humain cesse de souffrir sur une planète, il lui est essentiel de vivre selon les lois de l’énergie et d’appliquer les lois de l’énergie selon des principes de science qui font partie, déjà, des principes ultimes de l’évolution, concentrés énergétiquement dans la conscience des rayons qui affectent l’humain et qui donnent à ses matières subtiles le support nécessaire dont il a de besoin, pour devenir avec les siècles, avec les âges, avec les millénaires et les époques, un être de plus en plus puissant, c’est-à-dire un être de plus en plus rayonnant, c’est-à-dire un être de plus en plus lumineux.

La luminosité de l’humain, au cours des âges, sera proportionnelle à sa capacité en tant qu’être planétaire, de subir, de supporter, le choc vibratoire de l’énergie de l’intelligence, de pouvoir vivre selon les lois de cette énergie afin que la manifestation de cette énergie à travers son cerveau devienne pour lui une science, une science exacte, une science cosmique, universelle, qui ne peut être diminuée dans son pouvoir, mais qui peut, selon les lois de l’humain et les lois de la galaxie, affecter, s’il y a trouble, s’il y a confusion, la destinée de l’humain et la destinée de sa planète.

Les humains de demain seront dans le pouvoir de l’énergie. Mais demain, aussi, les humains auront  le pouvoir de semer sur leur planète, selon la conscience qu’ils auront, selon le pouvoir de résonance qu’ils vivront, en fonction de cette énergie qui est science et qui émane des plus profonds coins de l’univers pour filtrer, selon l’humain, leur conscience, leur intelligence, leur lumière, pour que lui puisse bénéficier - sur un plan infiniment petit, mais infiniment important - de la lumière absolue du principe cosmique de l’intelligence, qui lui donnera éventuellement la capacité de vivre aussi au niveau de la volonté cosmique de cette intelligence. Afin qu’un jour, lorsque l’humain aura atteint les stages de l’éthérique où il pourra vivre de son double, cet humain puisse connaître les lois de l’amour, et se servir de cette énergie cosmique encore une fois, et travailler à l’évolution pour le bénéfice de l’humanité, pour le bénéfice de l’Intelligence, de l’Amour et de la Volonté, afin que sur le plan matériel, il existe un équilibre total entre les forces qui composent l’humain, et les forces qui peuvent le décomposer, s'il n'est pas suffisamment attentif à sa conscience parfaite.

Fin enregistrement.

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Hommage à Bernard de Montréal
  • Bernard de Montréal. psychologie évolutionnaire, psychisme, évolution, satan, lucifer, involution , mensonge cosmique, planète Terre, humanité, extraterrestres, nations, astral, conscience, mental, surmental, supramental, conscience , fin de cycle
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