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Hommage à Bernard de Montréal
28 janvier 2021

la sexualité.

FP 09

François Payotte  : Les scientistes, je préfère prévenir plutôt que guérir, les scientistes, je dis bien, nos arrières, arrières, arrières grands-parents, les algues bleues étaient capables de se couper en deux, en quatre, ils se multipliaient à volonté, ils étaient donc immortels mais ils ne créaient rien de nouveau, puis est arrivée la reproduction sexuée, et ce miracle permanent de faire toujours du neuf, c’est vrai qu'il n'existe pas deux êtres identiques sur la Terre, mais le prix à payer pour créer du neuf, c’est de disparaître, la sexualité serait donc directement reliée à la mort.

D’après certains biologistes, l'apparition de la reproduction sexuée est un accident de parcours, c'est un raté de la nature, une anormalité que l'on ne retrouverait pas ailleurs d'après eux, si l'on considère la pluralité des mondes habités, là il semblerait que d'après leur idée, la Terre serait quasiment une des seules planètes dans la galaxie qui aurait cette particularité de voir des êtres s'accoupler, puisqu'ils ont calculé qu'il y avait très peu de chance pour qu'un tel accident se reproduise ailleurs dans l'évolution.

Or nous serions pour les civilisations extraterrestres qui nous regardent, des espèces de monstres sympathiques, quelle angoisse. Alors comment se fait-il, si les extraterrestres nous observent, qu'on ne les entend pas rire aux éclats, c’est une question que je me suis toujours posé ça.

Pour certains ésotéristes, la reproduction sexuelle, c’est une expérience de laboratoire qui aurait été tentée par un commando d’Elohim, d'extraterrestres, une expérience de laboratoire qui aurait mal tournée. C’est peut-être la raison pour laquelle on ne les entend pas rire justement, parce que dans le fond, ils sont peut-être comme nous, un petit peu des apprentis sorciers, enfin c’est un peu le point de vue de la science et de la biologie, c’est un accident de parcours cette sexualité, ça n'existait pas au départ et ça n'aurait pas dû exister d'après eux, mais on est là, on peut témoigner.

Maintenant du point de vue de de la genèse, par exemple, ce qui est intéressant à voir dans la genèse, c'est que c’est un serpent qui a, tel un prince charmant ou plutôt tel un prince charmeur, qui a séduit la femme, la femme qui ne répugne pas à se faire chanter la pomme, on le sait, c'est bien connu, mais pourtant c'est l’homme qui a croqué la pomme de la sexualité sur les conseils d’Eve, avec les conséquences et les sanctions que l'on connaît.

C’est-à-dire premièrement : tu enfanteras dans la douleur.

Deuxièmement : tu devras obéissance à ton mari et troisièmement et il te dominera. Ça, c’est ce qui est dans la genèse.

L’homme quant à lui, n'a pas eu d'autre sanction que celle de vivre avec sa femme, c’est déjà largement suffisant je pense, (rires du public), je vais me faire des amis ce soir !

Alors la question, ça, ça soulève bien des questions cette petite mise en scène-là, mais au départ on pourrait peut-être vous demander si d'après vous, la séparation des sexes c'est un accident génétique ou est-ce que c'est une manipulation extraterrestre ? Est-ce que c'est effectivement, comme ils le prétendent, ça semble logique, que la sexualité est directement en rapport avec la mort, peut-être pour commencer à dégager le terrain ?

Bernard de Montréal : Bon, alors, si on veut aller… si on veut retourner dans le passé et qu'on veut comprendre la sexualité, il faut qu'on ouvre un peu notre esprit, dans ce sens qu’il faut que l'on comprenne un peu comment l’humain est venu sur la Terre. Et pour comprendre comment l’humain est venu sur la Terre, on ne peut pas se baser sur des théories classiques, on est obligé de se baser soit sur des théories ésotériques ou soit sûr de l'information instantanée.

L’humain a beaucoup de difficulté à comprendre sa genèse parce qu'il est trop habitué à la mécanisation et aux conséquences de la genèse et lorsque l’humain retourne trop loin dans le passé, sa genèse, son origine, lui paraît plutôt farfelue, mais un jour ou l'autre l’humain sera obligé de prendre conscience de sa genèse, c'est-à-dire d'en prendre conscience au-delà de l'explication purement symbolique que nous retrouvons dans les livres ésotériques qui cachent en réalité, la réalité.

Alors, l’humain a commencé sur la planète à un moment où il est devenu nécessaire pour des intelligences qui vivent dans d'autres espaces-temps, de coloniser cette planète afin de créer un nouveau champ d'expérience et comme nous sommes des êtres humains, nous avons tendance à penser comme des êtres humains, à penser avec des facultés qui ont été données à l’humain, à penser en termes d’un libre arbitre, à penser en termes d'une sorte de développement naturel au cours des millénaires.

Donc nous perdons naturellement contact avec la réalité historique ou protohistorique de notre développement, et comme nos sciences, nos sciences modernes, nos sciences classiques n'ont jamais pu être utilisées sur le plan global de l'instruction mondiale au cours des millénaires, les sciences ou les connaissances profondes de la genèse humaine ont toujours été cachées, elles ont été cachées, soit au Tibet, aux Indes, en Égypte, dans différents centres ésotériques du monde, et ces sciences-là étaient gardées souvent sous clé, sous la clé du mental de certaines personnes.

Et l’humain aujourd'hui puisque ces sciences commencent à revenir à la surface et puisque l’humain aussi développe une capacité très nouvelle de comprendre les aspects subtils de ces sciences, il est temps que nous puissions commencer à réaliser d’une façon objective, sans manie ou sans apeurement, que l’humain sur la Terre, sur le plan racial, quand je parle de l’humain, je parle de l’humain racial, le blanc, le noir, le jaune, l’indien, ainsi de suite, l’humain racial est le produit de l'activité créative de certaines intelligences qui viennent de quelque part dans le cosmos.

Et ces intelligences-là ont établi avec l’humain au début de sa genèse, des conditions d’échanges d'énergies. Ces conditions d’échanges d’énergies, ont fait en sorte que l’humain pouvait, à partir d'un certain temps, commencer à prendre sous son contrôle, le processus de création, ou de procréation, autrement dit à un certain moment, il devint nécessaire que l’humain puisse contrôler sa procréation pour trois raisons.

La première raison étant d'établir entre lui et un autre partenaire, la femme. L’homme, le mâle, devait établir une relation avec la femme qui éventuellement et ceci n'était connu que des intelligences éventuellement, devait donner à l’homme et à la femme une valeur expérimentale. C’est-à-dire que lorsqu'un couple s’unissait ensemble pour procréer, les intelligences savaient qu’au cours des millénaires, il s'accumulerait de l'expérience, et que cette expérience deviendrait une expérience servant dans les futures générations, à donner de l'information vibratoire sur les autres plans pour la construction de nouveaux corps subtils, afin que dans les générations futures, des corps nouveaux matériels puissent être développés en fonction de l'expérience antécédente. Autrement dit, lorsque l’homme et la femme commençaient à s'unir, pour eux- mêmes volontairement procréer, cette action au cours des millénaires devenait expérientielle, c’est-à-dire qu'elle devenait additive, donnait de l'information sur les plans subtils, cette information devait servir à la construction des modèles de vie subtils qui, plus tard, lorsque d'autres couples devaient s'accoupler, devaient servir de connexion entre le corps matériel nouvellement créé en fonction de la génétique et les énergies vitales, éthériques, astrales, mentales, des corps subtils qui devaient nourrir le corps matériel afin de créer sur la Terre un humain, pas nécessairement neuf, mais plus avancé sur le plan expérimental.

 Donc la première fonction de la sexualité libre, si vous voulez, fût de permettre que les humains puissent de par leur expérience, créer de nouvelles expériences, et arriver au cours des millénaires à suffisamment perfectionner ces expériences en terme de modèles vibratoires sur les autres plans, pour que l’humanité puisse après une certaine période de siècles, de millénaires, en arriver à corriger les lacunes qui existaient entre les modèles supérieurs qui existent sur les plans et les modèles inférieurs qui existent sur le plan matériel.

Donc au cours des millénaires, l’humain, graduellement, à cause de la liberté sexuelle a été responsable pour le raffinement de son modèle humain, autant sur le plan matériel que sur le plan mental que sur le plan émotionnel. Et ce raffinement du modèle humain est devenu de plus en plus perfectionné, de plus en plus semblable, si vous voulez, au modèle humain qui existe sur les autres plans.

Et la conséquence de ceci qui est le deuxième point, la conséquence de ceci est que, arrivé à un certain niveau de développement, l’être humain d’ailleurs c'est ce qui se produit à la fin du 20 ième siècle, le début de la sixième race-racine une fois le processus de l’involution terminé, il sera possible pour l'être humain de vivre la fusion de ce double qui appartient à d'autres plans avec la partie matérielle qui a été perfectionnée et cette fusion sera ce qui donnera à l’humain l'immortalité, c'est-à-dire la capacité éventuellement de pouvoir ne plus mourir comme il dut mourir pendant l’involution.

Donc si nous regardons la fonction de la sexualité d'une façon occulte au cours des millénaires, elle est comme je l'expliquais au début, le processus nécessaire au raffinement de l'expérience humaine afin de créer au cours des millénaires un modèle  humain  suffisamment perfectionné sur tous les plans, pour que ce modèle humain matériel puisse éventuellement se fusionner avec un modèle humain immatériel, ce qui donnera à l’humain accès à l'immortalité, ça, c'est le deuxième point.

Et le troisième point c’est ceci, c'est que dans l'action de la sexualité, dans l'action de la liberté sexuelle, à travers cette action, l’humain à cause de son centre émotionnel, à cause de sa nature animale, à cause de l'activité naturelle de son corps astral, devait développer le sens de la possession. Le concept de la possession est directement relié à la sexualité. Autrement dit si on me demandait d'où vient cette vibration, ce concept de la possession, il est directement lié à la sexualité. Donc le concept de la possession devenait extrêmement nécessaire pendant l’involution parce qu’au cours de l’involution l’humain devait développer différents aspects manifestés de cette énergie vibratoire, dont la famille, dont la race, l'état, la nation, la culture, parce que les humains devaient être amenés à un développement collectif, afin d'assurer la permanence de la race, afin d'assurer la permanence  de  l'expérience  mémorifique  de  la  race,  ce  qu’on  appelle  la civilisation, la culture, et aussi afin de permettre la permanence génétique de la race à travers l'amour de l'individu pour l'autre, autrement dit pour sa race. Donc le concept de possession était extrêmement important et il était le produit naturel de la vibration que crée dans l’humain cette énergie spéciale que nous, nous appelons l'énergie sexuelle, mais qui est beaucoup plus que ceci. Le concept de l'énergie sexuelle est un concept que nous avons valorisé à cause de l'émotivité que nous mettons dans cette énergie.

Donc pour nous, la sexualité est devenue une sorte d'expérience qui nous crée sur le plan humain un certain plaisir, une certaine joie, un certain bonheur, mais ceci n'est que l'expression extrêmement fondamentale de cette énergie de la sexualité.

La sexualité sur le plan cosmique est beaucoup plus qu'une vibration de plaisir, qu’une vibration de joie, ou qu’une vibration qui donne à l’humain un certain bonheur. Elle est effectivement une énergie cosmique de la même façon que la pensée est une énergie cosmique, cette énergie n'est pas différenciée, elle se différencie sur les plans où elle devient active, mais dans son originalité, à partir des plans d’où elle émonde, cette énergie n’a aucune qualité humaine, donc elle contient, cette énergie, des secrets vibratoires évolutifs que l’humain devait connaître au niveau de son expérience pendant des millénaires et il a connu cette expérience, il a eu des hauts et des bas vis-à-vis de cette expérience. Mais la fonction fondamentale de cette sexualité sur le plan collectif, sur le plan de l'organisation sociale humaine, était de donner à l’humain le sens de la possession qui devait être utilisé au cours des millénaires pour le développement graduel d'une forme d'énergie de conscience suffisamment grande, pour éventuellement dépasser le stage binaire de la gestion de cette énergie qui est le couple, pour en arriver éventuellement au stage extrêmement complexe d’une société. Ça, ce sont les trois aspects.

Il y a beaucoup de choses à dire sur la sexualité en dehors simplement du contexte où on la retrouve dans notre parlance naturelle en général, la sexualité est une énergie cosmique, donc elle est directement reliée à la programmation animale de l’humain, c'est-à-dire que, elle est directement reliée au centre même du corps émotionnel humain et à cause de ceci, l’humain aujourd’hui, l’humain de l'involution, l’humain du début jusqu'à la fin de l'involution, l’humain est obligé de subir la sexualité, tous les humains de la Terre subissent la sexualité !  ils la subissent de  différentes façons, ils la subissent en fonction des principes de vie sociale, ils la subissent en fonction des principes de vie spirituelle, ils la subissent en fonction des principes de vie philosophique. Mais tous les humains subissent la sexualité sur la planète Terre, et ceci est une période finalisante, c'est-à-dire que l’humain ne subira pas la sexualité sur la Terre indéfiniment, viendra le jour où l’humain ne subira plus sa sexualité, c'est à dire qu’il pourra donner ou vivre de sa sexualité en fonction d'un mental supérieur au lieu de vivre sa sexualité en fonction du corps astral. Et à partir de ce moment-là, la sexualité possédera un autre taux vibratoire et elle ne sera plus utilisée expérientiellement chez l'être humain, et à partir de ce moment-là, l’humain pourra commencer à créer dans la partie subtile de ses corps invisibles, un autre centre d'énergie qui deviendra extrêmement actif, qui sera la thyroïde ou le centre même énergétique de cette thyroïde, de cette glande, et à partir de ce moment-là, l’humain pourra sur les plans subtils, commencer à exercer le pouvoir créateur en ce qui concerne la gestion, l'harmonisation, le développement des races futures.

Si nous voulons parler de l’humanité et réellement comprendre le mystère de l’humanité, nous sommes obligés à un certain moment, de nous dévêtir complètement des attitudes psychologiques que nous avons formées au cours des siècles en ce qui concerne la genèse de l’humain et d’un autre côté, nous ne devons pas aller trop, trop rapidement dans cette direction parce que nous risquons de spiritualiser notre conscience, et si nous spiritualisons trop notre conscience, nous avons tendance à devenir trop ésotériques en ce qui concerne la genèse de l’humain et si nous faisons ceci, nous perdons le contrôle vibratoire de notre mental, et nous sommes assujettis à d’étranges et de puissantes forces astrales qui ont tendance à  fasciner  ou  à vouloir fasciner l’humain, et l’humain ne doit pas être fasciné. L’humain doit en arriver un jour à ne pas être fascinable, parce qu’être fasciné ça fait partie du manque de raffinement de toute la structure biopsychique de l’humain et du manque de contact ou de superimposition entre la qualité matérielle de l’humain et sa qualité invisible.

Si l’humain veut réellement connaître et comprendre les mystères de la vie à tous les niveaux parce que l’humain a la capacité de tout savoir et de tout comprendre il lui faut à un certain moment cesser d'être fasciné. Donc il doit être capable un jour aussi de cesser d'être fasciné par la sexualité. Je vais dans cette direction pour vous laisser la chance de me demander des questions, parce que je vais continuer toute la journée, toute la soirée… Dans le domaine de la sexualité, l’être humain est fasciné, pourquoi ? Parce que l'être humain dans sa sexualité là je parle de façon très, très occulte, je ne parle pas au niveau des psychologues, l’humain dans sa sexualité est fasciné parce qu’il vit, chaque fois qu'il ressent cette vibration, il vit une sorte d’infinité. Il y a une sorte d'infinité dans la sexualité, c’est-à-dire une sorte de plaisir parce qu'elle est effectivement astralisée cette énergie, une sorte de plaisir qui lui donne l'impression de vivre pour un moment d'une façon un peu immortalisante. C’est-à-dire que lorsque l’humain vit sa sexualité et qu'il la vit à un niveau intense, à un certain moment, il sort de la condition existentielle de son moi, et il devient réellement d’une façon subtile éthérico-conscient, c’est-à-dire que le bonheur sexuel est tellement grand, que réalisé en fonction de ses vertus psychologiques ou de ses vertus sociales, ou de ses vertus pornographiques ou de ses vertus d’imagination, ainsi de suite, réalisé en fonction de ses vertus, le sexuel est devenu chez l'être humain, surtout à la fin du 20 ième siècle, une expérience extrêmement importante dans sa vie, tellement importante, qu'elle est devenue centrale, et tellement centrale qu’elle a pris le centre de sa vie et ça, c'est l'illusion de l’humain de l’involution.

Et les intelligences qui ont amené, qui ont fait contact dans le passé avec l’humain au niveau des plans éthériques, pour substituer leur conscience à une dévolution rapide afin de donner à l’humain une évolution puissante, ces êtres-là savaient ceci, ces êtres-là savaient que la sexualité exercerait chez l'être humain une fascination.

Et c’est pourquoi dans les textes spirituels, dans les textes religieux, il y a énormément de tabous concernant la sexualité et ces tabous étaient essentiels, étaient nécessaires, parce que s’il n’avait pas été donné à l’humain ces tabous, s’il n’avait pas été commandé de les suivre ces tabous, l’humanité serait devenue facilement animalisée.

Donc si nous revenons à la fin du 20 ième siècle, à la fin de l'involution, à partir de ce temps où l’humain doit partager une très grande mémoire de l’involution avec un nouvel avenir de l’évolution, nous sommes réellement devenus des êtres prisonniers de notre sexualité, c'est-à-dire des êtres incapables de nous affranchir psychologiquement de son pouvoir psychologique sur notre émotionnel, de sorte que vous pouvez aujourd'hui prendre n’importe qui dans le monde, n'importe qui dans la rue, à n’importe quel niveau de la vie sociale, et vous verrez que ces êtres, quelque part dans leur vie, dans leur micro-cosmique psychologique, ces êtres ont quelquefois par mois, quelquefois par semaine, quelquefois dans l’année, ils ont cette pulsation en eux qui les dérange. Qui les dérange non pas dans le sens d’une façon négative, mais qui les dérange d’une façon à les exciter à un tel point, qu’automatiquement, ils vivent une disconnection temporaire entre leur conscience cosmique supérieure et les plans inférieurs de leur constitution biopsychique de sorte que l’humain, lorsqu'il vit ou qu'il sent ou qu'il perçoit ou qu’il se sensibilise à cette énergie, il perd un peu de son humain, il devient un peu plus animal, et il se vautre dans un plaisir ou dans une cadence vibratoire qui fait partie de son plaisir naturel, qui fait partie du plaisir de la vie, qui fait partie du centre de sa vie.

Et si on disait : Demain matin, on t'enlève ceci, le type voudrait mieux mourir que ne pas ou que de ne pas avoir à pouvoir vivre ceci, et ceci pour indiquer que la sexualité, au-delà de la contagion psychologique que nous connaissons dans le monde Occidental, ou dans les autres mondes, mais surtout aujourd’hui parce qu’elle est exploitée, la sexualité est devenue pour l’humain une expérience qui un jour devra être libérée. Mais quand je dis libéré, je ne dis pas libéré dans le sens que l’humain voudrait penser, l’humain voudrait, l’humain aimerait vivre une sexualité libre, ce n’est pas ceci parce qu’une sexualité libre, c'est une plus grande prison que la sexualité libérée.

Lorsque je parle de sexualité libérée, je veux dire cette sexualité, cette énergie vibrante sur ce plan-là qui n'est plus responsable pour la domination de la nature humaine, à partir de ce moment-là, l’humain commencera à percevoir un peu plus sa conscience réelle, à refaire la connexion avec les parties subtiles de sa conscience et éventuellement, en arriver à un état de fusion suffisamment avancé pour qu’éventuellement encore, cette énergie sexuelle passe d’un plan à un autre. Et pour qu’il puisse un jour sur le plan éthérique utiliser cette énergie non pas en terme d'une sexualité, mais en terme d’un processus créatif qui lui donnera accès à la création dans d'autres mondes parallèles, à des êtres qui seront l'exercice naturel de cette énergie cosmique, mais à travers un centre qui ne sera plus animal, mais qui sera très près du centre mental de l’humain.

François Payotte : Mais comment se fait-il qu’il y ait tant de différence dans le concept même de la sexualité chez l’homme et chez la femme, on dirait que l’homme voit la sexualité avec des lunettes sexuelles et la femme avec des lunettes amoureuses, mais ils ne voient pas la même chose lorsqu'on interroge un homme et une femme.

Il semble qu'il y ait une dynamique amoureuse pour la femme et une dynamique sexuelle pour l’homme, mais seulement sexuelle, autrement dit le sexe c’est l’affaire de l’homme, ce n’est pas l’affaire de la femme, elle vient à la sexualité s'il y a tout un climat qui est entretenu autour, une dimension amoureuse, que l’homme en fait n'éprouve pas. Il est bien obligé de lui faire la cour pour arriver à troquer ou à échanger ses besoins, mais il semble qu'il y a une différence incroyable, puis qui serait peut-être à l'origine de toutes les séparations, des incompréhensions, qui peuvent être vécues dans le couple, comment se fait-il qu’il y a une telle différence lorsqu’on dit sexualité on ne pense pas la même chose, un homme et une femme ?

Bernard de Montréal : Vous dites quelque chose là, et vous ne réalisez pas ce que vous dites, vous dites quelque chose… quand je dis que vous ne réalisez pas ce que vous dites, je veux dire que lorsque je l’aurais expliqué, vous aurez compris pourquoi la sexualité d’antan est différente de la sexualité de l’avenir.

Vous dites que l’homme et la femme vivent une sexualité, ils ont une dynamique différente, c'est très juste.

L’homme de l'involution vit une sexualité qui n'est pas régie par l'émotion, la femme de l’involution vit une sexualité qui est régie par l’émotion, ce que vous appelez l’amour dans sa manifestation. Mais l’humain de l’évolution ne vivra pas de sexualité régie par l'émotion et savez-vous ce qui se passe lorsque l’homme passe de l’involution à l’évolution et qu’il commence à prendre conscience de sa sexualité ?

Il s'aperçoit que sa sexualité change, la femme s'aperçoit que sa sexualité change, autrement dit, la femme qui passe de l’involution à l'évolution, surtout la femme parce que… je parle de la femme parce que c'est elle qui vit la dynamique émotive, s'aperçoit qu’il n'existe plus dans la sexualité de la femme de l'évolution, le même romantisme qui existait dans la sexualité de la femme de l’involution !

Et pour la femme de l'évolution qui commence à entrer dans cette nouvelle période d'expression, pour elle c'est une sorte de tristesse, elle perd quelque chose, elle semble perdre quelque chose, et pour l’homme, c’est la même chose, l’homme de l'évolution, lorsqu'il vit sa sexualité, il ne vit plus ou il ne vivra plus sa sexualité en fonction des besoins de manifester sa sexualité à partir d'une sensualité, moi j’appelle ça programmée. L’homme programme, il programme, vous appelez ça la cour !  Alors pour l’homme conscient de l'évolution, faire la cour c’est programmer la femme à ses besoins, ceci ne sera plus nécessaire, il n’aura plus la vibration, l’homme n'aura plus la vibration d'apporter une rose. Donc l’homme de l'évolution nécessite d'une façon inévitable, et la femme de l'évolution d'une façon inévitable, seront obligés de perdre quelque chose qui faisait partie du plaisir de la sexualité pendant l’involution.

Et ceci est une tristesse, ça crée une tristesse au début chez l’homme et chez la femme, parce que l’homme et la femme de l’évolution ont l'impression de ne plus avoir ou de ne plus pouvoir vivre leur sexualité comme ils le pouvaient auparavant, donc ils ont l'impression qu'ils ont perdu quelque chose.

Pour ramener ceci à votre point, si les hommes au début avaient fonctionné sur le plan sexuel, et les femmes sur le plan sexuel, comme ils le feront sur le plan de l'évolution, il n'y aurait pas eu sur la Terre de continuité dans la procréation parce que le plaisir sexuel aurait été tellement diminué, tellement éliminé de la conscience astrale de l’humain que l’humanité, éventuellement au cours des millénaires, aurait diminué en nombre et l’expérience cosmique de la Terre aurait cessé. Donc il fut absolument nécessaire que l’homme dans sa sexualité et la femme dans sa sexualité vivent cette sexualité malgré les tensions qu’elle crée. Lorsqu'on dit par exemple dans les couples, surtout, je parle des couples d’antan, l’homme est sur une longueur d’onde, la femme est sur une longueur d’onde, le fameux phénomène de Pandore, alors c’est comme si ce sont deux êtres totalement différents. L’un a une dynamique sexuelle émotive, l’autre a une dynamique sexuelle plutôt mentale et ils ne semblent pas se raccorder, et l’un fait souffrir l'autre, l'autre soufre de l’un et ainsi de suite, s’il n’avait pas été donnée aux hommes et aux femmes cette tension, cette réalité…

François Payotte : Ce mensonge, en fait !

Bernard de Montréal : Ce mensonge exactement ! voilà, voilà, la sexualité n’aurait pas servi les forces créatives de l'évolution sur la Terre, donc l’humanité n'aurait pas réussi à passer à travers des milliers d'années de souffrance, parce que dans l'expérience, vous savez… souvent, on retrouve ceci au niveau des poètes, chez les poètes, souvent dans les termes poétiques, la femme qui est en amour avec l’homme qui est en amour…L’homme, il est prêt à combattre la Terre pour sa femme, et elle, elle est prête à mourir et à le suivre jusqu'au bout du monde, alors ça prend quoi, ça prend une force puissante, alors cette force puissante qui fait partie du comico-héroïque de la tragédie humaine, cette force puissante, elle a été programmée dans la conscience humaine, mais à travers le corps astral de l’humain, non pas à travers son corps mental.

Et l’histoire de la sexualité à partir des Hindous, à partir des Atlantes, à partir des Indiens, à partir de Perse, Babylone, n’importe quoi, l'histoire de la sexualité c'est l'histoire de la perversion psychologique de l’ego en relation avec une programmation subtile dont les secrets commencent maintenant à sortir, les mystères de l’humain.

Nous commençons maintenant la fin du 20 ième siècle, à réellement connaître et comprendre les mystères de l’humain, même dans les écoles ésotériques, auparavant au cours des siècles, les mystères de l’humain étaient tellement cachés dans le symbolisme que les humains ne pouvaient pas comprendre ce qui se passait, ils pouvaient voir ce qui se passait comme un tableau, mais ils ne pouvaient pas comprendre la mécanique. Pourquoi ? Parce qu’il n'avait pas été encore permis à l’humain de déchirer sa mémoire, et l’humain de demain, l’humain nouveau, déchirera sa mémoire pièce par pièce. Moi je suis un exemple, je déchire la mémoire, je déchire la mémoire de l’humanité, j'ai déchiré ma propre mémoire durant mon initiation, je déchire la mémoire !  et l’humain sera obligé d'apprendre à déchirer sa mémoire parce que c'est lorsqu'il aura déchiré sa mémoire qu’il sera libre. L’humain ne peut pas être libre même au niveau de sa sexualité tant qu’il n’a pas déchiré sa mémoire, et surtout si l'on considère la sexualité comme une des plus grandes forces d'énergie programmée dans la conscience humaine.

François Payotte : Bon maintenant, si on enlève cette dimension poétique à la femme, alors quand on regarde des entrevues où on a interrogé des milliers de femmes, etc. on s'aperçoit qu'elle ne passe à l'acte sexuel que s’il y a justement tout ce sirop autour, toute cette cour, si on lui chante la pomme etc. toute cette dimension amoureuse là, elle ne va l’accepter qu'à condition que ceci existe.

Si elle perd ça demain parce que pour elle, pour la femme, la sexualité il n’y a rien là ! pour l’homme c'est important puisqu’il est obligé de libérer une pulsion, mais chez la femme, ce qui est important c'est que la sexualité se fasse dans ce cadre-là, si demain elle perd cette dimension-là, comment, quel plaisir elle va retirer, elle n’en retire aucun plaisir, puisqu’elle n’a pas de pulsion sexuelle comme l’homme, comment ça va se faire, comment ça va se troquer ?

Bernard de Montréal : Lorsque la femme, la femme évoluée… la femme mentale sera obligée de se dévêtir de la même façon que de l’homme mental, de la qualité psycho-sociologique de la sexualité, elle sera obligée… et elle y parviendra, comme l’homme y parviendra, seulement que les deux êtres seront obligés de vivre pendant une certaine période d'années, cette période de sexualité ou de vie sexuelle qui n’est plus comme avant, qui n’est plus le fun ! Avant c’était le fun, mais là ce ne sera plus le fun comme avant, il y aura du fun, il faut qu’il y ait un peu de fun, mais la connexion entre l'énergie sexuelle se fera à partir du plan mental donc l’homme ne pourra pas colorer son fun, et la femme non plus. Aujourd'hui nous colorons notre fun, la femme se met belle, l’homme va peut-être lire des images porno, je ne sais pas moi, dans les toilettes !  (Rires du public) il va peut-être regarder une vidéo avant de se coucher, il y a quelque chose qui se passe dans le monde à ce niveau-là.

François Payotte : C’est excitant !

Bernard de Montréal : Donc il doit s’exciter, donc que l'excitation soit d'une façon ou d'une autre, elle est, qu'elle soit vertueuse ou non, qu’elle soit catholique ou babylonienne, autrement dit ça n’a pas d’importance, mais le phénomène de l'excitation est un phénomène astral. Et dans la sexualité de l’humain futur, l’excitation ne sera pas astralisable, donc l’homme et la femme seront obligés de vivre cette énergie cosmique de la sexualité à partir du plan mental et non à partir du plan astral.

Et c'est pourquoi cette sexualité sera très, très différente. Je vais vous donner un exemple, comment elle sera différente… Si vous prenez un gâteau fait par Juliette Huot et que vous prenez un gâteau fait par un bon végétarien, c'est deux gâteaux, mais je suis sûr que le gâteau de Juliette Huot, il goûte meilleur. Je parle pour le début, pour l’expérience, il y a plus de sucre, il y a plus de bonbons dedans, de cannelle, je ne sais pas. Tandis que le gâteau du végétarien, c'est des peanuts puis des peanuts puis des peanuts (rires du public), vous comprenez ! Bon le végétarien, après dix ans à manger des gâteaux de peanuts ou cinq ans, il s’habitue puis finalement, il n’est plus intéressé au gâteau de l'autre, il est dans sa nouvelle sexualité, vous comprenez ! Ça va être un peu comme ça !  Il n’y a rien de plus plat qu’une sexualité consciente, d’un autre côté il n’y a rien de plus réel qu'une sexualité consciente, mais c'est encore le phénomène du gâteau de Juliette Huot au gâteau du végétarien, et ça, ça fait partie de l'évolution, on n’y peut rien !

François Payotte : Est-ce qu'il y a un rapport, un lien à établir entre le muscle cervical et le muscle génital, entre le cerveau et la sexualité, est-ce qu'il y a un lien ?

Bernard de Montréal : Il y a un lien dans ce sens que le cerveau c’est le terminal, c’est le computer, le centre sexuel c'est le canal d'expression de cette énergie, tout passe par le cerveau, tout est contrôlé par le cerveau, la programmation de l’humain se fait au niveau du cerveau, mais ce n'est pas dans le cerveau que ça se passe. D’ailleurs l’humain découvrira au cours de son évolution, et ça, ça va loin, que la seule fonction du cerveau, la seule fonction du cerveau, c'est de faire en sorte que les centres humains deviennent et se maintiennent en action et l’humain verra un jour qu’il peut avoir son corps matériel ici, il peut avoir son corps éthérique ici, et il peut trafiquer, fonctionner à partir de ce corps-là, et mettre ce corps-là en sommeil.

Donc la seule raison pour laquelle le cerveau chez l'être humain est fonctionnel aujourd'hui et nécessaire parce qu'il y a une connexion au niveau de cette énergie des neurones, parce que ceci fait partie de l'expérience programmée de l'involution c’est-à-dire ça fait partie de ce besoin de l'être humain d'être gardé dans la matière. L’humain n'a pas le choix de sortir de sa matière, l’humain n’est pas capable encore de sortir de sa matière !

Même, regardez combien c'est difficile pour les humains qui sont même très, très, très déprimés de se suicider, il faut être réellement poussé à bout pour couper la corde, donc avant que l’humain puisse réellement se libérer de sa matière et se donner une autre dimension, revenir dans sa matière pour sortir de sa matière, ça va prendre un certain temps. D’ailleurs, c'est pour ça que j'ai toujours dit dans mes séminaires, l’activité sexuelle de l’humain c’est une activité occulte, l’humain a toujours pensé que l'activité sexuelle, un peu comme la pensée, l’humain pense que sa pensée psychologique est une activité purement biopsychologique, ce n’est pas ça.

Tout ce qui se passe dans l’humain est occulte, c'est-à-dire que tout ce qui se produit chez l'être humain est en fonction d'une doublure qui existe sur des plans parallèles, doublure qui fait partie de sa réalité et qu’il doit un jour, au cours de l’évolution, connecter. Et c’est cette doublure qui est responsable des activités biopsychiques sur le plan matériel, mais l’humain ne le sait pas, donc ne sachant pas cela, sur le plan psychologique il est affecté, lorsque le rendement, puisque nous parlons de sexualité, lorsque le rendement sexuel n'est pas à la page. Regardez le rêve, l’humain se couche le soir, il n’a pas de sexualité le jour, il vit la sexualité le soir dans le rêve, pourquoi il vit la sexualité dans le rêve ?

François Payotte : Est-ce que ce n’est pas une compensation à ses carences affectives ou quelque chose de ce genre-là ?

Bernard de Montréal : Ce sont les psychologues qui disent ceci.

François Payotte : Oui, absolument.

Bernard de Montréal : Aussitôt que quelque chose ne marche pas, pour les psychologues c’est une compensation !

François Payotte : Une compensation, un transfert (rires du public)

Bernard de Montréal : Ce n'est pas une compensation, c'est une activité autre, c’est une autre activité, si l’humain était encore plus conscient, il pourrait vivre cette énergie dite sexuelle, manifestée à travers la symbologie de sa mémoire qu'on appelle la sexualité nocturne, il pourrait la vivre cette énergie, sur un autre plan et à ce moment-là, ce ne serait plus de la compensation, ce serait peut-être de la dispensation ! (Rires du public).

François Payotte : Il s’enverrait en l’air, ce serait vraiment le septième ciel, à ce moment-là.

Bernard de Montréal : Ce serait différent, ce serait une autre énergie. Nous avons tendance à psychologiser tout ce qui se passe au niveau de notre mental et de donner à ce qui se passe dans notre mental une valeur psychologique qui convient à notre nature humaine, c'est-à-dire à notre façon carrément humaine de penser d’une façon carrément humaine, ignoramment !

Nous sommes des ignorants, l’humain est un être ignorant même s'il a des doctorats, il est ignorant ! L’ignorance, lorsque nous parlons de l’ignorance à partir d’un plan occulte, c’est l’incapacité de convertir en réalité les principes d'action psychologique qui se manifestent dans notre vie à tous les niveaux de notre expérience, jusque dans la sexualité, de convertir ces principes d’énergie, de les comprendre dans leur fonction autonome intégrale, au lieu de les subir d’une façon psychologique pendant des années de temps, c’est ça l’ignorance !

François Payotte : Comme disait Gauthier, l’écrivain :  Célestes ignorances d'un jeune cœur, ces célestes ignorances d’un jeune cœur est aujourd'hui la cause des divorces. Combien de temps est-ce que vous pensez que ça va durer, à partir de quel moment on va voir un changement important ?

Bernard de Montréal : Ça fait partie de l'évolution, quand je parle de l'évolution, la prochaine évolution, le prochain cycle d'évolution, c’est 2500 années, ça vous donne une idée. Donc 2500 ans d’évolution d’une nouvelle race-racine, comme des milliers d'années pour l’évolution de la cinquième race-racine,de la quatrième race-racine ! Donc dans cette nouvelle évolution, ce sont des individus qui vont prendre le contrôle de leur évolution, le contrôle de leur conscience, le contrôle de leur mémoire. Ce sont des individus qui vont se sortir complètement de la mémoire collective, ce sont des individus qui vont vivre cette conscience, donc leur sexualité ou les appointements de cette énergie en fonction de leurs principes de vie sera en fonction de leurs capacités de subir cette transformation, mais ce ne sera pas un phénomène social.

François Payotte : Que diriez-vous à un jeune couple aujourd'hui au niveau d'un conseil, au niveau de la sexualité, à la femme et à l’homme, fondamentalement ?

Bernard de Montréal : Je dirais à un jeune couple, à un vieux couple, à n’importe quel couple, la vie de couple ça commence dans l'esprit, tous niveaux sur le plan de l’esprit, soyez avec votre femme ou avec votre mari parce qu'il y a de l'esprit entre vous, ou s'il y a de l'esprit entre vous, que la sexualité fonctionne ou qu’elle ne fonctionne pas, ça sera un moindre mal. Et avec le temps, vous serez suffisamment ajustés au  niveau  de  votre  esprit, qu’elle fonctionnera naturellement, parce que la sexualité doit un jour fonctionner d’une façon, mais elle peut vivre une période de transfert, autrement dit si l’humain, bon ! je vous donne un exemple, il y a dans le monde des êtres qui sont en voie à une courbe d'évolution spirituelle très, très, très marquée, très avancée, très rapide, il y a des êtres aujourd’hui dans le monde, dans tous les pays du monde, qui vibrent au niveau d'une prise de conscience spirituelle, qu'est-ce qui se produit quand l’humain vit une prise de conscience spirituelle ? Sa sexualité commence à diminuer, c’est normal, pourquoi ? Parce que l'énergie transformationnelle de cette conscience, au lieu de se situer au niveau du corps astral, elle se situe comment ? Elle se situe au niveau du corps mental. Donc souvent ces êtres sentent qu’ils ne sont pas intéressés à la sexualité comme avant, ils ne le vivent pas comme avant, ainsi de suite, donc s'ils sont mariés, s’ils sont accouplés et qu'ils commencent à vivre cette trajectoire, souvent ils vivent des ruptures, je parle pour l’humain spirituel.

François Payotte : Puisqu’on a mis tant emphase sur la sexualité, c’est au cœur même du couple aujourd’hui.

Bernard de Montréal : C’est au cœur même du couple et sur le plan de l’inconscience, chez les humains en général, les humains qui ne sont pas dans une voie d’évolution spirituelle rapide, c’est la même chose, ils souffrent encore de leur sexualité parce qu’ils ont cru pendant trop longtemps que la sexualité était un plaisir naturel.

La sexualité ce n'est pas un plaisir naturel, c’est un plaisir qui a été donné à l’humain, afin qu'il puisse se maintenir en nombre sur la planète. Mais l'expérience est tellement longue, tellement profonde, tellement ancrée dans la mémoire de l’humanité, et le plaisir est tellement grand que l’homme pour lui et pour la femme, la sexualité est un investissement de vie, ça fait partie de la vie.

Mais ça, c’est une illusion, ça fait partie de la vie matérielle de l’involution, au stade où elle est perçue, mais ça va beaucoup plus loin que ça, c'est un peu comme le mental. D’ailleurs, il n’y a pas de différence entre l'énergie de la sexualité et l'énergie dans le mental, c'est la même énergie, seulement que les centres d’énergie vibrent à un autre taux, donc la manifestation est différente.

Un humain qui est conscient aujourd’hui ne peut plus bénéficier de son mental comme il bénéficiait auparavant, il a un autre mental, moi j'ai un autre mental, je ne vis pas mon mental comme je vivais avant 60 ans, je n'ai plus le plaisir de lire des livres comme avant, je n'ai plus le plaisir de parler avec n’importe qui comme avant, je ne peux plus.

Donc l’humain est obligé de faire un transfert de centricité en ce qui concerne cette activité, et ceci est pénible pour un humain de perdre sa mémoire comme moi j’ai perdu la mienne, c’est pénible de perdre sa personnalité humaine involutive, c’est pénible, donc pour l’humain, de perdre sa sexualité, je l’appelle sa sexualité primitive, c'est aussi pénible.

Mais l’humain ne peut pas passer de l’involution à l'évolution sans perdre quelque chose, il est obligé de passer du quatrième au cinquième rang, donc il est obligé de perdre quelque chose. Une fois que c'est expliqué qu’il le comprend, à ce moment-là il s'ajuste mais il faut que ce soit expliqué, si ce n’est pas expliqué, naturellement il souffre.

François Payotte : Vous avez dit tout à l'heure, dans la deuxième proposition, que toute cette expérience de la sexualité, c'est pour amener finalement l’humain à fusionner avec son double qui appartient à un autre plan et c'est une expérience qui s'achemine vers l'immortalité et cette fusion avec ce double, est-ce que c'est la fusion avec le double de quoi, le double de l’humain là, ou un corps étranger ?

Bernard de Montréal : Le double de l’humain c’est l’essence de l’humain, l’origine du double de l’humain, l’origine de l'énergie du double de l’humain, c’est ce qu’on appelle l'esprit de l’humain, mais il n'y a pas de différence entre la forme de l'esprit de l’humain et l’esprit de l’humain. La forme de l'esprit de l’humain, c’est son double, l’esprit de l’humain c’est l’origine de son énergie, c’est cette énergie qui est totalement libre cosmiquement, qui peut aller où elle veut, qui peut aller sur les plans où elle veut, elle est absolument libre. Donc l'esprit de l’humain est totalement libre mais il a besoin d’une cloison, il a besoin d'une maison, une maison la plus subtile, la plus perfectionnée, c’est le double ! Et la maison la plus secondaire, la plus grotesque, c'est le corps matériel. Éventuellement ces deux maisons doivent venir ensemble pour que l’humain puisse  bénéficier de l'énergie de  son  esprit à travers le double, à travers l’enveloppe subtile du double, qui pourra faire passer directement dans le corps matériel sans privation du taux vibratoire, une énergie qui sera cosmique, qui donnera à l’humain réellement une liberté sur le plan de l'évolution, sur le plan de la gestion de ses affaires, sur le plan de la science, sur le plan de la descente sur les sous-plans de la matière, sur le plan de la conversion de l’énergie de la mort en énergie de vie.

L’humain doit en arriver un jour à être un maître de la vie, il doit en arriver un jour à être parfaitement stable dans son énergie, donc la stabilité dans son énergie, elle doit se faire sur le plan mental, sur le plan émotionnel, sur le plan physique, et lorsque nous parlons du plan émotionnel, nous parlons du plan émotionnel en relation, d’une façon ramifiante avec le centre sexuel.

François Payotte : Je parlais récemment avec Jimmy Guieu qui est un expert en ufologie, qui a fait 35 ans d’enquêtes dans le monde sur les rencontres du troisième type et tout ce qui concerne le phénomène extraterrestre, et il me disait à propos un peu de cette thèse, que l'extraterrestre, lui, n'a pas de corps matériel, il est une énergie et il a besoin d'un corps sur la Terre, d'un support, autrement dit l'expérience que l'on vivrait aujourd'hui dans l'évolution, ce serait une préparation pour préparer en fait, un habitacle à un passager clandestin à cette énergie-là, qui viendrait se manifester à  l'intérieur de l’humain, est-ce que c'est pas aussi une forme de fusion, ça  ?

Bernard de Montréal : Mais c’est de la fusion ! l’extraterrestre c’est un immortel, nous ne sommes pas capables, nous les humains, de voir les choses en face, nous devons les voir de biais, pour toutes sortes de bonnes raisons. Le mot extraterrestre, il a été utilisé à toutes les sauces, il a été exploité à toutes les sauces, ainsi de suite, bon ! Mais éliminons ce fait, le phénomène cosmique, le phénomène des intelligences appartenant à des systèmes spatio-temporels différents du nôtre, c'est un phénomène qui fait partie intégrale de l'organisation des gouvernements invisibles, l’humain fait partie d’une façon inconsciente de l'organisation systématique de ces gouvernements invisibles, de ces intelligences sur la Terre. L’humain est le produit de l'activité créative de ces intelligences sur la Terre. L’humain un jour devra en arriver à pouvoir donner à son corps matériel une sorte de densité fluide, et il ne pourra faire ceci que lorsqu'il sera suffisamment avancé en fusion, pour que son double ait accès à toutes les parties cellulaires de son corps matériel. Lorsque ceci se fait, le corps matériel devient vaporeux et à ce moment-là l’humain devient éthérique. S’il veut utiliser un corps matériel, il change le taux vibratoire, il a un corps matériel. S’il veut mettre de côté le corps matériel, il revient sur un plan plus subtil. Si un jour il veut mettre de côté son corps matériel parce qu'il a fini un certain travail sur une planète, il le met de côté, donc à ce moment-là il meurt, mais il ne meurt pas dans le sens de la mort noire, il meurt dans un autre sens, c'est-à-dire qu’il a substitué un taux vibratoire pour un autre, mais ça c'est normal, donc lorsque nous parlons… moi, je me suis toujours refusé avec certains personnages de parler de ce phénomène extraterrestre ou ovni, afin de ne pas pour une raison de ne pas colorer, de ne pas tacher ce que je veux dire, non pas par moi-même mais par d'autres, je ne veux pas parce que je sais combien c'est très facile d’interpréter du matériel donc je m’y prête avec vous pour des raisons qui me sont personnelles, mais l’humain doit en arriver un jour à réaliser que la nature humaine est une nature en évolution, c’est-à-dire que l’humain n'est pas un produit final, que l’humain est un produit qui a été implanté sur cette planète, afin éventuellement de pouvoir créer ou produire quelque chose qui sera subtilement éthérico-physique, comme ces intelligences le sont. Lorsque je parle des extraterrestres qui ont des corps subtils, ils ont aussi des corps matériels solides, mais le corps matériel solide, ils l’utilisent lorsqu’ils en ont besoin. Tandis que nous, notre corps matériel solide, nous l’utilisons toujours et si nous ne l’utilisons pas, nous sommes obligés de mourir. C’est-à-dire d’attendre dans des espaces temporels qui sont très, très bas en vibration et qui ne font pas partie de l'organisation des mondes cosmiques.

François Payotte : Autrement dit, ils ont la clé des changements de fréquence ?

Bernard de Montréal : Ils ont la clé des changements de fréquence, cette clé fait partie de leur mental, pour eux c'est aussi naturel que pour nous de manger, donc la nature même de leur physicalité, la nature même de leur conscience, la nature même de leur créativité est en fonction de leur mental supérieur, c'est-à-dire de la gestion directe de leur esprit en relation avec un corps subtil mais qui est parfaitement balancé avec le corps matériel.

Tandis que nous, ce n'est pas le cas, la preuve c'est que nous souffrons toujours des débalancements, et là dans la vie de l’humain où nous vivons le plus de ce petit mouvement-là qui débalance toujours nos corps, c’est la sexualité. Une fois qu'on a vécu la sexualité, là ça marche, on est bon pour deux trois jours, on est tranquille, comme on dit !

François Payotte : Et chimiquement, ça fait quoi sur le corps, la sexualité, le rapport sexuel, chimiquement ?

Bernard de Montréal : Chimiquement, la sexualité sur le corps matériel, elle crée une petite douleur dans le corps astral et cette petite douleur dans le corps astral, c'est pour l’humain un plaisir. Si l’humain pouvait analyser la sexualité, il verrait que la sexualité crée une petite douleur dans le corps astral, mais pour lui elle est exprimée comme un plaisir et d'ailleurs, si vous regardez la femme ou l’homme qui vivent une sexualité intense, vous verrez que l’homme où la femme, même… on dit souvent que la femme crie, elle crie, elle lance un cri, c’est cette petite douleur qui est astrale dans le corps astral, qui est un plaisir sur le plan des sens, mais qui sur le plan du corps astral est une douleur et cette douleur, elle est enregistrée sur les autres plans. Chaque fois que l’humain vit de la sexualité, comme chaque fois que l’humain pense, chaque fois que l’humain est en action, tout s’enregistre sur les autres plans et la sexualité humaine, elle est pour les intelligences qui font partie des mondes parallèles, elle est une mesure de l'électromagnétisme du corps humain. Donc à travers la mesure de l'électromagnétisme du corps humain, ils sont capables de donner aux corps subtils de l’humain une vibration qui est à la mesure de cette électromagnétisme-là, exemple si l'être humain vit une sexualité et qu’il vit une tristesse après, par exemple quand c’est fini.

François Payotte :  Post coïtum homo triste, après la chose l’humain se sent triste !

Bernard de Montréal : Si l’humain après la chose, il se sent triste, cette vibration est enregistrée, elle est enregistrée dans les archives et lorsque l’humain meurt, lorsque l’humain meurt et que tout son passé expérientiel est non pas analysé parce que le mot analysé n'existe pas sur ces plans, mais qu’il est vu, utilisé sur ces plans, si l’humain a manqué trop de sexualité, s'il a été trop attristé par la sexualité, si il a trop voulu de sexualité et en a souffert dans sa vie, il sera mis dans une catégorie d'expérience où ceci sera balancé.

François Payotte : Ah. il va y avoir une compensation !

Bernard de Montréal : Il y aura compensation.

Fin enregistrement.

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