Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Hommage à Bernard de Montréal
4 juin 2020

Step number one!

 PE 068

La réduction de l’ego

Bonsoir Messieurs Dames, la psychologie évolutionnaire est basée sur le principe de la réduction de l’ego.

Quand je dis réduction de l’ego, je veux dire participation volontaire de l’humain à une communication télépathique avec le plan mental.

Un humain qui est en communication télépathique avec le plan mental automatiquement vit une réduction de l’ego parce qu’il est obligé en tant qu’entité matérialisée, autrement dit en tant qu’entité incarnée de correspondre intelligemment avec des intelligences qui font partie d’un autre ordre, d’un autre monde, d’une autre dimension, et ce phénomène-là crée une réduction de l’ego dans ce sens qu’il permet à l’ego de transcender sa nature psychologique comme il permet à l’entité d’humaniser son lien avec le mortel. Le phénomène lui-même, dans sa dimension occulte doit éventuellement se cristalliser c’est-à-dire, doit éventuellement se stabiliser pour que l’ego puisse en bénéficier.

Si l’ego ne bénéficie pas du contact télépathique avec une entité sur le plan mental, à ce moment-là et  bien il est très magnétisé, il devient magnétisé par l’entité, éventuellement il perd contrôle de sa conscience personnelle.

 Si l’ego par contre en arrive avec le temps à pouvoir intégrer cette énergie-là, ça lui permet de développer des outils extrêmement avancés concernant la psychologie humaine, la psychologie de l’humain, sa psychologie personnelle, la psychologie de sa civilisation, la psychologie des autres qui évoluent autour de lui, donc ça permet à l’ego éventuellement de connaître et de comprendre ou de percer, si vous voulez, le mystère du phénomène de la conscience, parce que la conscience pour l’être humain, c’est un mystère.

La conscience pour la science est un mystère.

Et la raison pour laquelle la conscience est un mystère c’est parce que la science ou la religion, ou les moyens plus ou moins intelligents qu’on a d’investiguer ce phénomène-là, n’ont pas encore réalisé que le rapport psychologique avec le plan mental doit être fondé sur une sorte d’acquiescence de l’ego à être habité par une intelligence qui appartient à un autre monde et le concept de l’habitation, ça trouble l’esprit humain, surtout l’esprit moderne.

L’esprit ancien, l’esprit tribal, pour l’esprit tribal, le concept d’habitation c’était naturel, pour les Indiens par exemple, mais pour l’humain moderne, pour l’humain civilisé, pour l’humain qui descend du Grec, du Romain, de la Renaissance, de l’Europe moderne, c’est un concept qui est troublant parce que ça crée chez l’ego l’impression de ne pas avoir le contrôle sur sa vie, et c’est le contraire qui se passe parce qu’une fois que l’humain prend conscience des autres dimensions, des autres dimensions de son intelligence, c’est à ce moment-là qu’il peut prendre le contrôle sur sa vie parce qu’il peut en comprendre la programmation.

Il peut aussi comprendre les effets extrêmement subtils qu’ont, sur sa conscience, les plans ou les entités ou les guides spirituels ou les guides morontiels qui font partie de l’évolution de sa conscience.

On ne peut pas comprendre le phénomène de la conscience humaine si on ne côtoie pas, psychologiquement ou psychiquement les entités qui structurent mentalement le moi, donc les entités qui sont à l’origine de nos manières de penser, et comme le phénomène de la pensée demeure aujourd’hui encore, même à la fin du 20ième siècle, un phénomène extrêmement obscur qui est simplement perçu comme une réalisation psychologique, un phénomène personnel, ça rend très, très difficile pour l’humain, pour l’humain moderne, d’établir une relation étroite entre sa mortalité et son immortalité, autrement dit la contrepartie de son être dans d’autres dimensions.

Nous vivons aujourd’hui dans une société complexe où l’ego de plus en plus s’aliène, pourquoi ? Parce que les forces sociales ont tendance à fragmenter l’ego, à mécaniser l’être, et l’humain a besoin éventuellement ou aura besoin éventuellement de pouvoir reconstruire sa relation avec le monde et pour la reconstruire cette relation avec le monde, c’est-à-dire la comprendre dans tous ses aspects, il va lui falloir reconstruire sa relation avec l’invisible.

Tant que l’humain ne pourra pas reconstruire sa relation avec l’invisible, d’une manière intelligente, comme ce fut fait par le passé mais d’une autre façon, il ne pourra pas comprendre sa relation avec le monde parce que le monde moderne, le monde postmoderne, va devenir de plus en plus mécanisé, de plus en plus rapide. Et à partir du moment où l’intellect doit faire place à des machines intelligentes, comme les cerveaux électroniques par exemple, éventuellement l’intellect va se chercher un rôle dans la domination de l’information, dans le saisissement de l’information ! L’intellect va se chercher un rôle dans le pouvoir de l’étude en profondeur et ce rôle-là ne pourra pas lui être donné par les cerveaux électroniques et l’humain sera obligé, quelque part dans le temps, d’en arriver à des conclusions suffisamment occultes par rapport au phénomène de l’intelligence, pour qu’il soit obligé quelque part dans son évolution d’intervenir d’une manière drastique dans le phénomène de sa pensée. Et quand je dis d’intervenir dans le phénomène de sa pensée, je veux dire que l’humain va être obligé de commencer à faire des études très, très impersonnelles de sa pensée et c’est à partir de ces études impersonnelles-là qu’il va en arriver finalement à comprendre que la pensée est une manifestation très occulte d’un langage qui est, d’une manière très rigoureuse, concentré sur un plan qui ne fait pas partie de l’expérience psychologique de l’ego…et ceci va créer chez l’ego, chez l’humain, un bouleversement au début parce que l’humain va être obligé de faire un pas en arrière et en même temps faire un pas en avant, il va être obligé de faire un pas en arrière dans ce sens de commencer, même s’il est moderne à prendre conscience du monde des esprits et en même temps, il va être obligé de faire un pas en avant dans ce sens qu’il va être obligé d’en arriver éventuellement à contrôler le monde des esprits, ce qui n’a pas été fait pendant l’involution. Si le monde des esprits avait été contrôlé pendant l’involution, l’humain moderne aujourd’hui serait très avancé en psychologie évolutionnaire et l’humain aurait une très, très grande faculté d’organiser son mental et de comprendre la vie et de comprendre par voyance et transparence psychique, l’humain, les évènements de la vie, les évènements des nations et techniquement, les évènements futurs ou présents de sa civilisation. Où va la civilisation moderne ? L’humain peut le présupposer, il peut le projeter, mais il ne peut pas le savoir parce que la civilisation moderne est fondée sur des structures qui appartiennent à d’autres temps, des structures qui avec le temps vont se matérialiser et qui vont donner dans notre expérience planétaire, des composantes avec lesquelles on pourra plus ou moins s’habituer, dépendant de notre mentalité.

Si l’humain par contre est conscient, s’il a une psychologie évolutionnaire, s’il a une psychologie qui lui permet de comprendre les forces actives derrière la forme, il pourra facilement s’adapter à n’importe quelle forme de civilisation qui puisse dans l’avenir venir et ne pas être aliéné.

Le problème d’aliénation aujourd’hui est très grave, il est très grand, c’est pour ça d’ailleurs qu’il y a tant de suicides. Le suicide c’est l’ultime forme de l’aliénation, et c’est le point dans l’évolution de l’âme où il y a intersection inconsciente entre le mortel et le plan astral. Le suicide n’est pas une exécution du plan mental, c’est une exécution du plan astral et comme l’humain n’est pas conscient du plan astral, n’est pas conscient des entités sur le plan astral, n’est pas conscient des influences astrales sur son mental, il ne comprend pas ou il n’a pas accès à la genèse de sa pensée, donc sa pensée pour lui, au lieu d’être le produit d’une structure dirigée, devient simplement un phénomène personnel plus ou moins ajusté, plus ou moins ordonné qui, sous l’effet d’un choc dans la vie, se désagrège pour créer éventuellement une oblitération totale de sa volonté de survie, c’est ça qui crée le suicide.

Par contre si l’humain était conscient, si l’humain était conscient des plans, s’il était, s’il avait suffisamment une absence de crainte, s’il était suffisamment sécure dans son mental pour réaliser que la pensée vient d’ailleurs, un petit peu comme la musique vient d’ailleurs dans votre radio, la musique vient d’ailleurs dans votre téléphone cellulaire. Si l’humain était suffisamment intelligent pour réaliser que les ondes, les vibrations sont les moyens mécaniques ou psychomécaniques,  psycho électriques pour transporter de l’information qu’on appelle la pensée, à ce moment-là ça deviendrait plus facile pour lui de commencer à évaluer sa pensée, non pas en fonction d’un phénomène personnel réfléchi mais en fonction d’un phénomène pré personnel apposé à sa conscience, imposé à sa conscience, superimposé à sa conscience. De sorte que si l’humain avait des pensées un peu disconnectées, disjointes, des pensées non intelligentes, des pensées qui le frustrent, des pensées qui l’agressent, des pensées qui le diminuent, il pourrait facilement identifier ces pensées-là et commencer à faire un travail de reconstruction, dans ce sens qu’il pourrait en arriver à la source, communiquer avec la source de ces pensées-là pour éventuellement interférer, arrêter, mettre un frein à cette magnétisation de son mental, pour en arriver finalement à développer une conscience mentale identique à sa réalité, c’est-à-dire une conscience mentale fondée sur sa réalité personnelle et sa réalité pré personnelle, donc le côté subjectif de sa personnalité s’éteindrait, le côté objectif apparaîtrait et l’humain, au lieu de subir la pensée en deviendrait éventuellement un maître. Devenant maître de sa pensée, il pourrait en faire une gestion extrêmement étroite, très étroite, dans ce sens qu’au cours de sa vie, quels que soient les évènements, mortalité, maladie, pression sociale, quels que soient les évènements, l’humain serait capable de faire la gestion de sa pensée parce que connaissant le jeu qui s’établit derrière le tableau de son moi, il pourrait intervenir, interférer, arrêter, mettre un frein à la manipulation de son ego et finalement se re-stabiliser psychiquement et prendre le contrôle de cette dynamique extrêmement occulte qu’on appelle le monde mental. Mais, comme le philosophe français Descartes l’avait maintenu que « Je pense donc je suis » ce n’est pas une réflexion intelligente, c’est simplement une réflection mécanique. Un humain conscient ne peut pas dire « Je pense donc je suis », parce qu’en disant « Je pense donc je suis » il est obligé de questionner l’origine de celui qui dit « Je suis » et à ce moment-là il est obligé de reconnaître que le « Je suis » ne vient pas du plan matériel. Si « Je suis » ne vient pas du plan matériel, il vient d’un autre plan, soit astral ou mental, et à ce moment-là étant l’expression d’une existence quelconque, il est obligé d’aller plus loin pour en révéler l’origine. Donc si l’humain conscient entend dans sa tête : « Je pense donc je suis », il a le droit de dire : « Je suis quoi ? » ou « Tu es quoi ? » et à ce moment-là, il aura des réponses qui commenceront à défaire l’architecture mentale subjective de cette philosophie-là pour en arriver finalement à décomposer le phénomène de la pensée, et une fois qu’il aura décomposé le phénomène de la pensée, il commencera à reconstruire une nouvelle architecture où le « Je » disparaîtra et il entrera en communication télépathique utilisant simplement le « Tu » pour communiquer.

Donc à partir du moment où l’humain, ou tant que l’humain utilisera le « Je » dans sa tête, il sera dans une conscience expérimentale.

Et quand l’humain utilisera le « Tu » dans sa tête, il aura une conscience évolutionnaire.

Donc en utilisant le « Je » dans sa tête, il utilise une méthode de communication qui est totalement aveuglée et aveuglante pour son ego, parce que cette méthode-là ne lui permet pas de reconnaître qu’il est habité.

En utilisant le « Tu » dans sa tête, il est obligé de reconstruire la dynamique psychologique de son moi, l’architecture de son moi, la structure de son moi, pour en arriver finalement à reconnaître qu’il est en contact avec un autre moi, une autre partie de lui qui est sur un autre plan dans une autre dimension, qu’on appelle la dimension mentale pour ceux qui sont en communication avec le plan mental, ou la dimension astrale pour ceux qui sont en communication avec une dimension astrale où les esprits s’amusent avec l’humain au détriment de sa conscience personnelle.

Le problème avec la pensée humaine de l’involution, c’est qu’elle ne permet pas, et d’ailleurs elle n’a jamais permis à l’humain, de se réveiller. Elle a permis à l’humain de méditer, elle a permis à l’humain de supposer ou de présupposer des mondes spirituels, elle a permis à l’humain de réfléchir sur des possibilités plus ou moins réelles en fonction de son habileté d’analyser des concepts, ce qu’on appelle la philosophie, mais l’humain a besoin de beaucoup plus que ça, parce qu’il a besoin éventuellement d’en arriver à constater la genèse de sa réalité, c’est-à-dire, il faut qu’il en arrive éventuellement à pouvoir dominer dans son mental, l’exécution psychologique des architectures de son moi, pour pouvoir finalement avoir une maîtrise sur son moi et les jets, donc la pensée, qui stimulent sans arrêt sa mentalité pour lui donner la science ou la prescience ou la connaissance ou la sensation de son existence, sinon ça lui donne quoi d’être ? Ça ne lui donne absolument rien, il est simplement un animal banalisé, il est simplement un animal marginalisé, il n’a aucun pouvoir sur l’esprit qui est derrière la forme, donc il n’a aucun pouvoir sur la pensée qui est manipulée par l’esprit derrière la forme et à ce moment-là il a une conscience expérimentale parce qu’il n’est pas capable, en tant qu’être, de dominer sa programmation planétaire.

Les différences qu’on vit dans la vie sont toutes reliées à une programmation planétaire, cette programmation planétaire-là, éventuellement  ne doit pas cesser parce qu’elle ne peut pas cesser, elle fait partie de l’incarnation, mais l’humain doit en arriver éventuellement à la maîtriser. Pourquoi aujourd’hui vit-on mieux qu’avant techniquement? Parce qu’on a maîtrisé la matière. La science est le plus grand évènement dans l’évolution de l’humanité, à partir du moment où on aura rejeté techniquement les religions, les superstitions, pour commencer à étudier la matière et développer une méthodologie qui était sous notre contrôle visuel, on a commencé à développer une technologie, on a commencé à percer, à lever des voiles sur la vie à un certain niveau, sur le moléculaire, sur l’atomique et on va aller très, très loin, parce que la science ça ne s’arrête pas.

Mais sur le plan psychologique, sur le plan psychique, on n’a rien fait parce qu’on était trop occupé à étudier le matériel ou à rejeter le spirituel, on a passé des siècles à s’ingurgiter des concepts spirituels, finalement on a fait une révolution et sur le plan intellectuel et sur le plan de la méthode, c’est la même chose on est tellement magnétisés aujourd’hui par la science, la technique qu’on n’a pas le temps encore, on ne prend pas le temps nécessaire pour regarder ce qui se passe dans notre tête, non pas d’après les psychologues ou les psychologies mécanistes ou les philosophies mécanistes, mais par rapport à soi, ce qu’on sait, ce qu’on est nous les humains en tant qu’individus.  Donc il y a un très grand travail à faire à ce niveau-là, ça fait partie de l’évolution, c’est un travail qui n’est pas basé sur un agenda chronologique, ça fait partie de l’évolution, c’est comme la descente de l’humain dans la matière, ça fait partie de l’involution, ça a pris des siècles et des siècles, puis des millénaires puis des millénaires puis on arrive à un tournant, on est arrivé à la pointe, au fond du V *et puis on remonte . Où est-ce qu’on va aller ? Ça c’est le temps qui va nous le dire, mais définitivement il y a un mouvement vers le haut, la pointe du V on l’a frappée en 69 puis là on commence à remonter, on l’a frappé en 69 parce qu’en 69 l’humain est venu en contact télépathique avec le plan mental ! Il y a des êtres sur le plan matériel qui ont vécu des visions, qui ont vécu des interconnexions extrêmement rigides pour ce temps-là avec des entités qui évoluent dans d’autres mondes et l’intégration de ces énergies-là a permis finalement à l’humain de développer ce qu’on appelle une psychologie évolutionnaire, c’est-à-dire une psychologie qui permet à l’humain de connaître l’invisible et automatiquement de comprendre le phénomène de la vie incarnée sur la Terre, donc la programmation.

* le V, voir ici : http://hommageabdm.canalblog.com/archives/2016/07/01/34033810.html

L’humain ne peut pas indéfiniment dire « bon ben d’où est-ce que je viens, où est-ce que je suis, où est-ce que je m’en vais ?» Ces questions philosophiques-là font partie de son ignorance, font partie de sa stupidité intellectuelle, ou font partie des stupeurs religieuses ou spirituelles ou de l’involution.

L’humain éventuellement, il faut qu’il en arrive à savoir ce qui se passe au niveau de sa conscience, sinon, sinon, il ne peut pas se considérer comme un être intelligent. Et quand je dis intelligent, je dis que l’intelligence de sa conscience, ce n’est pas parce qu’un humain a un PhD en mathématiques qu’il est intelligent ! Il a une grande mémoire, une grande faculté pour structurer des concepts, travailler avec des concepts, mais cette forme d’intelligence-là c’est une intelligence mécanique, qui peut être remplacée par un computer.

Où l’humain devient réellement intelligent c’est quand il a l’habileté interne de démystifier sa conscience, à aller derrière le tableau de son moi ! Faire des études avancées, personnelles, occultes de sa relation avec l’invisible, où l’invisible commence dans sa conscience, où l’invisible se termine dans sa conscience ? Jusqu’à quel point, il est libre ? Jusqu’à quel point, il peut être libre ?

Jusqu’à quel point, il a un libre-arbitre, jusqu’à quel point il n’en a pas ?

Jusqu’à quel point, le libre-arbitre est réel, jusqu’à quel point, le libre-arbitre n’est pas réel ?

Jusqu’à quel point, le libre-arbitre est fictif, et jusqu’à quel point il pense que le libre-arbitre est réel ? Regardez vos vies depuis, 10, 20, 40 ans, 50 ans, vous allez voir que vos vies ne sont pas allées où vous avez voulu. Vous n’avez pas marié qui vous avez voulu, vous avez marié qui on vous a mis dans les pattes, pour votre évolution.

Vous avez rencontré des gens qu’on vous a mis dans les pattes pour votre évolution.

Vous êtes passés d’une profession à une autre, d’un travail à un autre.

Et vous avez osé, intellectuellement, parce que vous vous pensez intelligent vous avez osé penser que vous aviez un libre-arbitre et vous étiez fiers de le dire que l’humain a un libre-arbitre, parce que vous avez présupposé que votre libre-arbitre c’était de la liberté, alors que votre libre-arbitre c’est simplement une façon pour vous en tant qu’ego, de stimuler votre indépendance dans un monde qui techniquement, n’apparaît pas être coordonné à partir des autres mondes, pour vous donner la paix d’esprit, pour que dans le sommeil de votre conscience, vous puissiez être bien avec l’impression d’être libres. Alors que l’humain n’est pas libre !  L’humain sera libre quand l’humain comprendra les fondations de sa conscience. L’humain sera libre quand il aura accès à la genèse de sa conscience, l’humain sera libre quand il saura que les ondes qui passent par son cerveau viennent d’ailleurs et ne font pas partie de sa radio.

Et j’ai toujours pris l’exemple de deux sortes de citoyens, le citoyen qui vit dans une condition tribale en Afrique et qui devient témoin d’une radio, lui on peut lui permettre, à cause de sa condition sociale, sa condition involutive de dire que « Ah, la radio parle, c’est de la magie ». Il regarde la radio-là, puis c’est une radio qui parle, ça ne va pas plus loin que ça. Mais si tu amènes une radio à New-York ou à Montréal, il n’y a pas un gars qui va dire que c’est la radio qui parle. C’est les ondes qui rentrent dans la radio puis qui font vibrer quelque chose,  les ondes viennent d’ailleurs. C’est la même chose pour la pensée, puis tant qu’on n’aura pas réglé le problème philosophique de la radiophonie mentale de l’humain, qui est le phénomène de la pensée, on demeurera des êtres extrêmement tribaux même si on est avancés en sciences matérielles. Mais pourquoi on a de la difficulté avec ce concept-là ? C’est parce qu’on est orgueilleux. Qu’est-ce que c’est l’orgueil ? L’orgueil c’est un contrôle mental exécuté par le plan astral pour empêcher l’humain de savoir comment fonctionnent les mondes occultes, parce que dans les mondes occultes il y a des structures de pouvoir, de la même façon qu’on a sur le plan matériel des structures de pouvoir, d’ailleurs les structures de pouvoir sur le plan matériel, découlent des mondes occultes.

 Un humain qui a l’illusion du pouvoir et qui vit l’illusion du pouvoir,  qui veut imposer sur les autres le pouvoir est déjà astralisé par des mondes qui utilisent le pouvoir contre lui. Alors qu’un humain qui serait libre n’utiliserait pas le pouvoir contre l’humain parce qu’il n’y a pas d’entité sur les autres plans qui utilisent le pouvoir contre lui. Donc à partir du moment où un humain utilise le pouvoir contre l’humanité à n’importe quelle échelle, il est astralisé et si on pousse ça à des extrémités, et bien on finit par des phénomènes sociaux de grande envergure, comme Hitler par exemple où les humains qui ont voulu dominer l’humanité parce qu’ils étaient trop, trop poussés par le pouvoir occulte dont ils ne connaissaient pas les ramifications. Et même aujourd’hui, nos psychologues, nos historiens, les gens qui font l’étude du mouvement nazi en Allemagne, qui techniquement est un grand mouvement sur le plan historique, parce qu’il a eu des conséquences abominables, déjà très peu de personnes sur la Terre savent ce qui s’est passé en Allemagne, très peu de personnes connaissent ou comprennent le phénomène hitlérien. On a tendance à blâmer le bonhomme, l’homme,  le personnage Hitler, mais on n’a pas conscience des forces occultes derrière l’homme, derrière l’incarnation qui étaient responsables pour la domination de cet homme-là pour en faire un rejeton de ce qu’on appelle les forces maléfiques sur la Terre. Ça ne veut pas dire qu’on va excuser Hitler, tu n’excuses pas un humain qui détruit parce qu’il était en contact avec des forces occultes, au contraire, tu l’élimines, tu le ramènes au monde d’où il est parti. Par contre sur le plan historique, sur le plan psychologique, il faut comprendre la genèse, la genèse des civilisations et on ne pourra pas comprendre le phénomène hitlérien, on va passer des siècles puis des années à simplement nous faire voir, nous faire re- représenter le fameux phénomène de l’holocauste ! Et il y a combien d’humains comme ça dans le monde ! Hitler, c’en était un, Staline, c’en était un autre, Hadj Amin, c’en était un autre, puis il y a dans nos familles du monde de même,  il y en a dans nos sociétés du monde du mal, il y en dans nos corporations des humains comme ça parce que, comme on dit en anglais « man is driven ». L’humain est poussé par des forces dont il ne connait pas l’origine. C’est une grande mission historique, mais ça finit comme des gars comme Hitler,  et puis si c’est une petite mission historique, ça finit comme les gars qui battent leur femme ou qui tuent ou qui cannibalisent les humains comme Ron Daimler aux États-Unis.

Mais si vous voulez comprendre le phénomène humain, vous allez être obligés, un jour, de faire un saut en hauteur, vous allez être obligés, un jour, de vous amener à vivre la grande confrontation.

Ce que j’appelle la grande confrontation c’est vivre la grande crainte, la grande crainte de quoi ? La grande crainte de pouvoir possiblement être en contact avec d’autres mondes, un autre monde, dont vous n’aurez pas au début la maîtrise, dont vous ne connaîtrez pas au début l’essence, dont vous ne comprendrez pas au début l’agenda, parce que vous n’aurez pas suffisamment d’expérience occulte. Mais au moins, ça vous permettra de commencer quelque part, mais si vous ne commencez pas quelque part, vous n’irez nulle part dans votre vie, en ce qui concerne l’évolution de votre moi, votre conscience, la compréhension de votre vie, puis la compréhension des mécanismes obscurs qui structurent le monde, pas simplement votre vie personnelle, mais la vie de milliers d’individus, la civilisation, les guerres et les famines aussi ! Vous serez à ce moment-là, simplement un individu aliéné, un numéro parmi une grosse masse, vous n’aurez aucune identité et vous continuerez à penser en « Je » pour le restant de vos jours parce que c’est en utilisant le « Je » que l’invisible impose son pouvoir psychologique sur l’ego.

Un humain conscient ne peut pas, avec toute la volonté au monde, penser en terme de « Je ». Aussitôt que s’allume sa pensée, le « Tu » devient le seul moyen d’intercommunication avec les autres plans, sinon elle ne passe pas.

Donc c’est très grave, mais c’est très subtil !  la nuance entre la finitude de la personnalité et la conscience infinie de l’humain, la nuance elle est très, très ténue. C’est quasiment comme un film à travers lequel on pense ou on ne pense pas,  il est extrêmement rigide parce qu’il est constitué ce film-là d’une crainte fondamentale chez l’humain qui est la peur de devenir fou. Et vous verrez qu’au cours de l’évolution, au cours du développement de la conscience évolutionnaire, vous verrez que où vous serez testé en tant qu’être par rapport à des entités d’un autre monde, ça sera toujours en fonction de votre capacité de tomber dans l’illusion de la folie. Parce que la folie pour l’humain c’est l’ultime crainte fondamentale, parce que c’est la destruction de sa survie matérielle. La folie ultimement mène au suicide, à la destruction du corps matériel, donc un humain qui n’est pas capable de faire la nuance, ou un humain qui n’est pas capable de se libérer de cette illusion-là, sous les pattes d’une initiation profondément occulte de son moi, ne peut pas comprendre le mystère de sa conscience parce que les perles ne peuvent pas être données aux cochons.

Ce n’est pas que les perles ne peuvent pas être données aux cochons parce que les cochons n’ont pas de valeur, c’est parce que les cochons ne peuvent pas comprendre!

Ce n’est pas que l’information est retenue et que seulement les initiés y ont accès, l’information est là, elle est dans le monde, mais les humains ont peur de transiger avec ce qu’ils ne connaissent pas.

Mais pour qu’un humain découvre l’Amérique, comme Christophe Colomb, il faut qu’il transige avec une dimension qu’il ne connaît pas,  il faut qu’il traverse l’Atlantique, il faut qu’il fasse face aux superstitions du temps qui disaient que dans l’Atlantique il y avait des immenses serpents qui mangeaient les bateaux. Si l’humain n’est pas capable de contrôler ses craintes fondamentales qui font partie des vertus astrales de sa conscience involutive, il ne peut pas commencer à structurer son moi, et à faire de lui-même, avec son propre talent personnel, un modelage à la mesure de sa propre lumière. Donc l’humain n’est pas capable de sculpter lui-même, il ne se sculpte pas, c’est la société qui le sculpte ! C’est la civilisation qui le sculpte ! Autrement dit ce sont les forces extérieures qui dominent sa conscience donc qui sont responsables de son ignorance, alors que lui, s’il était en conscience évolutionnaire, c’est-à-dire s’il avait un certain niveau d’intégrité mentale, il pourrait lui-même se sculpter, ce que je veux dire par se sculpter, je veux dire qu’il donnerait à son êtreté les facettes qu’il veut bien lui-même se donner, en fonction de sa puissance créatrice et non en fonction des réflections astrales qu’il a héritées dans son ego par les religions, les institutions, les philosophies, qui ont donné l’involution depuis des siècles et qui ont donné à l’humain ce qu’on appelle les rudiments d’une civilisation matérielle ou spirituelle.

On parle de conscience spirituelle depuis une centaine d’années, on parle du renouvellement de la conscience spirituelle, de la conscience religieuse et on va s’apercevoir que la conscience spirituelle, la conscience religieuse éventuellement va mener, comme elle a fait par le passé, à des abus de conscience personnelle, à des abus de pouvoir, parce que la conscience spirituelle ne fait pas partie de l’intelligence de l’humain, elle fait partie des reflets astraux de sa conscience personnelle, matérielle, incarnée, incapable de faire face à sa propre infinité.

Et quand vous commencez à appliquer les lois ou les principes d’une conscience spirituelle ou d’une conscience religieuse, à des phénomènes aussi occultes que la naissance d’un enfant ou à des phénomènes aussi incompréhensibles logiquement que l’euthanasie, mais vous finissez par des guerres, des conflits entre les groupes, entre les ethnies. Regardez ce qui se passe dans le Sud des États-Unis avec la droite religieuse Américaine, qui tue des médecins, qui font sauter des cliniques parce qu’on s’oppose à ce qu’ils appellent eux le meurtre des enfants, ou les médecins qui veulent empêcher qu’un humain souffre et qui appliquent l’euthanasie, et on s’oppose à eux autres aussi. Autrement dit, l’astral religieux, l’astral spirituel va toujours défaire les efforts de l’intelligence humaine de se libérer de la programmation planétaire. Mais si vous laissez à des religions, ou si vous laissez à des ordres de pensées spirituelles, basées sur des archives anciennes, le droit de légiférer vos sentiments par rapport à des problèmes fondamentaux qui font partie de votre survie matérielle, vous n’en arriverez jamais à vous libérer des actions ordurières qui ont marqué notre civilisation, et qui ont créé dans le sillage de notre historicité des meurtres à différents niveaux. Il y a eu combien de guerres au nom des religions ? Regardez les Templiers qui sont allés en Afrique du Nord au 12 ième siècle !  Qui ont tué au nom du Christ. La guerre des religions qui dure jusqu’à aujourd’hui ! Les conflits au niveau des concepts religieux ou spirituels qu’on vous assène comme aux États Unis, ça ne finit pas parce que c’est basé sur la psychologie animale de l’humain. Regardez ce qui se passe dans les pays d’Afrique du Nord, quand on fanatise une religion comme l’islamisme. Et un jour il faudra que l’humain réalise, qu’il en arrive à mettre un terme à la religiosité de son mental parce que la religiosité de son mental, c’est l’extrême détérioration de sa conscience intelligente au profit d’une astralisation potentielle qui mène ultimement à des grands conflits, ou qui mène ultimement à des grandes folies, l’inquisition.

Un être humain ne peut pas penser en fonction des doctrines d’une humanité involutive ! Parce qu’une humanité involutive c’est une humanité qui s’est construite, qui a été construite par l’astral. Alors qu’une humanité évolutive, dans une humanité évolutive, l’humain, l’individu se construira lui-même et il ne sera pas constructible ou construit par l’astral. C’est pour ça qu’on dira dans une conscience évolutive que l’humain nouveau, l’humain conscient, n’appartient pas à l’humanité, il n’appartient pas à l’humanité parce que psychiquement, il n’est pas redevable aux concepts religieux, spirituels et philosophiques de l’humanité, tout ce qu’il a, tout ce qu’il fait est en fonction simplement de maintenir un équilibre avec un ordre social établi qui demande une sorte d’harmonie. Quand il y a une lumière rouge tu arrêtes. Ce n’est pas grave s’arrêter à une lumière rouge, c’est normal, ça protège l’autre conducteur. Le respect des lois, ce n’est pas un problème, c’est toujours à l’avantage de l’humain. Enlevez les polices dans la rue et vous allez voir que vous allez être contents de les revoir les polices.

Mais quand vous traitez avec des nations, des idées, des concepts, des idéologies, qui vous sont imposés, qui vous ont été historiquement imposés par vos cultures, par votre éducation, notions ou idéologies que vous n’êtes pas capables de refouler parce qu’elles ont instillé en vous, ou installé en vous, des manières de penser trop subjectives, des manières de penser qui n’avaient aucune force intérieure, à ce moment-là vous êtes prisonniers pour le restant de vos jours, c’est là qu’on a des conflits ethniques, des conflits interraciaux, des conflits entre les peuples, des conflits entre les humains.

Alors que sur une base purement consciente, l’humain ne vit aucun conflit avec l’humain quand il est conscient, parce qu’il n’est pas impliqué et il ne communique ses idées qu’avec des humains qui sont sur la même longueur d’onde que lui, donc il n’y a pas de problème de communication.

Donc un humain conscient garde ses idées pour lui, il n’en parle qu’à un humain conscient. S’il n’y a pas d’humain conscient autour et bien il garde ses idées pour lui et il fait ses affaires, donc il n’y a pas de problème. Tu ne cherches pas à changer le monde quand tu es conscient, ça ne se change pas le monde, ça se dégrade mais ça ne change pas. Changer un mal pour un mal ce n’est pas changer. Pour qu’il y ait réellement un changement, il faut qu’il y ait transformation, puis transformation ça prend des chocs abominables qu’on appelle des initiations puis ça se fait intérieurement.

Il faut que l’humain se sculpte lui-même ! Il ne peut pas être sculpté par les autres, tu ne peux pas être sculpté de l’extérieur, il faut que tu te sculptes toi-même. Tu deviens ton propre Bernini. Si vous n’êtes pas capable de vous sculpter vous-mêmes, c’est-à-dire vous octroyer le droit de penser d’une certaine façon, qui n’est pas le produit de l’influence extérieure et qui vous permet de réaliser que, hop vous êtes intelligent, hop vous êtes intelligent, hop vous comprenez ci, et hop vous comprenez ça, à ce moment-là vous ne vous donnerez jamais la joie, la joie de reconnaître que vous l’êtes. Et si vous n’avez pas la joie de reconnaître que vous êtes intelligent et ben vous faites partie de l’involution, puis techniquement vous faites dur, n’attendez pas que quelqu’un vous le dise, ce n’est pas à l’université qu’on va vous le dire que vous êtes intelligent parce qu’à l’université on veut vous imposer des doctrines, on ne va pas vous dire que vous êtes intelligent, on va vous dire que vous avez fait un bon devoir, que vous avez peut-être une bonne recherche, on va vous donner un A : Allez pas trop loin ! Ne contestez pas trop l’autorité ! Si vous commencez à contester l’autorité, là vous allez voir que l’autorité, elle est puissante, elle est là et elle va tout faire pour garder son territoire ! C’est pour ça qu’un être conscient ne conteste rien, il n’y a rien à contester parce qu’il se structure lui-même. Le problème de la communication entre les humains c’est qu’elle ne sert à rien, c’est comme une casserole mais elle ne sert à rien, elle arrose l’ego, ça s’arrose, on se lance des fleurs ! Les gars qui écrivent des thèses doctorales puis qui citent l’autre gars avant qui a cité l’autre gars avant ! J’ai rien contre les thèses doctorales, j’ai rien contre l’accumulation de la mémoire humaine, c’est merveilleux, mais l’accumulation de la mémoire humaine ça n’a rien à voir avec la conscience de l’humain, ça a à voir simplement avec le développement, la méthodologie, de la mémoire humaine mécanique, pour la construction des ponts entre les individus, les nations et ainsi de suite, ça sert à ça. Ça n’a rien à faire de la conscience de l’humain, la conscience personnelle de l’humain. Et puis la preuve, c’est que quand vous commencez à parler avec eux autres sur les autres plans en fonction de ce qu’on connaît nous autres de la mémoire humaine, ils vous défendent de ça, une chose après l’autre. On commence à parler de l’évolution de l’humain, d’où vient l’humain, comment est-ce que l’humain est créé, qui est-ce qui a créé l’humain, c’est quoi le monde des esprits, c’est quoi les esprits de la forme, pourquoi est-ce qu’on a créé l’humain, pourquoi est-ce qu’on a créé l’âme, quand est-ce que le premier humain a été créé, pourquoi est-ce qu’il a été créé le premier humain. Le premier humain a été créé avec l’énergie du froid ou est-ce que le premier humain a été créé avec l’énergie de la chaleur ? Ils vont tout vous expliquer ça, mais n’amène pas ça au laboratoire à l’université de Montréal. C’est quoi la mort ? Ils vont vous expliquer ça. Les structures, les mondes morontiels, les mondes astraux, ça vient d’où ? Ils vont tout vous expliquer. Mais ils vont vous l’expliquer dans la mesure où vous êtes capables de réaliser, ou vous êtes prêt à réaliser que l’humain est habité ! Ah mais ça, ça nous dérange d’être habités par des entités, ça tabernacle ! Être habité on n’aime pas ça. Télépathie, pas de problème ! La voix intérieure ? Merveilleux, on aime ça les mots « la voix intérieure » ! La petite crise de voix intérieure, ça on aime ça, je parle avec ma voix intérieure. Mais on ne réalise pas que la voix intérieure va nous faire chier tout le long, toute notre vie. Interceptez la voix intérieure ! Passez du « je » au « tu » ; Et puis, c’est quoi cette connerie-là que tu m’envoies là ? Ah la la la, là c’est accepter d’être habité, mais on n’aime pas ça. La voix intérieure ça ne nous dérange pas parce que ça n’implique pas le phénomène de la cohabitation. Ça fait partie du phénomène intuitif de la pensée, la voix intérieure, souvent tu entends ça à la télévision, l’autre semaine à la télévision il y a un gars qui dit «Ah j’ai une petite voix qui me dit qu’il n’y a pas de problème, si une petite voix qui me dit que ….. C’est sa petite voix à lui. Du moment que c’est ta petite voix à toi il n’y a pas de problème ! Mais tu ne peux pas l’arrêter, putain ! Ce n’est pas ta petite voix à toi ! C’est la voix d’une autre entité dans un autre monde qui vient te dire ça. Mais qu’est-ce que tu viens de me dire là ? Là il sera énervé-là, parce que là tu commences à tomber dans le domaine merveilleux de la folie, c’est énervant la folie ! On ne sait pas qu’est-ce que c’est la folie, on ne sait pas comment dealer avec sa folie, on donne des pilules, mais ça te rend encore plus fou !

Alors que la folie c’est réellement le point d’intersection entre le monde matériel et le monde astral ! C’est assez intéressant, si tu es assez intelligent pour rentrer dans ce point d’intersection-là, tu es capable  finalement de vérifier des choses, de prendre conscience de certaines choses, puis finalement si tu es en contact avec des entités de bas ordre, puis finalement tu es tellement en contact avec le plan mental, puis-là tu arrêtes d’être fou puis tu deviens intelligent. Mais tu ne peux pas devenir intelligent sans passer par un petit peu de folie, c’est impossible. Le monde va l’être intelligent de ça. Tu ne peux pas devenir intelligent sans passer, sans frotter contre un petit peu de folie, puis ça c’est la raison pour laquelle l’humain n’a jamais voulu établir mentalement qu’il était habité, parce qu’il a trop peur de sa folie, ça ne se contrôle pas cette affaire-là, c’est dur à contrôler ça.

J’ai toutes sortes de pensées… donc c’est  mieux de penser que c’est lui qui pense de même que de penser ou de réaliser que c’est une entité qui fait penser de même, parce que s’il réalise que c’est lui qui pense de même, à ce moment-là il a l’impression qu’il peut s’organiser avec le temps, mais réaliser là que c’est une entité qui l’habite, qui fait penser de même, là ça commence à être un petit peu too much . Ça dérange, ça dérange l’ego, ça dérange son moi, puis un autre moi par-dessus mon moi, puis un jour il prend une chance de dire  « c’est qui toi ? » l’autre lui répond « c’est moi », il dit « c’est qui moi ? », il dit « c’est toi », alors là il est mélangé en Christ ! Là il est fucké  là, là il est «fucké  là !

C’est le festival du rire à Montréal, parce que la psychologie évolutionnaire, c’est une psychologie de…c’est une psychologie de reconstruction du moi. À partir de là, c’est toi-même seul qui le reconstruis. Tu ne peux pas le reconstruire avec les outils que l’humanité t’a donnés  pendant l’involution, que tu sois Chinois, Indien, Tibétain, méditatif ou nationaliste ou technicien, tu ne peux pas, ça fait partie de l’involution ! Toi tu ne fais plus partie techniquement de l’involution ! Tu t’en vas vers l’évolution. Évolution, ça veut dire quoi ? Ça veut dire le rejet intégral de ce que tu sais : Ah ben ça ce n’est pas une forme pour un ego qui a fait des études, ce n’est pas une forme ça, rejeter tout ce que tu sais ! Mais tu ne peux pas rejeter tout seul tout ce que tu sais ! Faut que quelqu’un le fasse pour toi, ça c’est eux autres, alors tu vas par en dedans,  tu prends une chance et tu vas leur parler un soir, tu vas par en dedans, et tu prends une chance et tu dis « Dieu ça existe-t-il ? » Eux ils te disent « non », là ça t’énerve parce qu’ils viennent de faire vibrer tes colonnes spirituelles. Ne commence pas avec des esprits qui vont te dire que Dieu n’existe pas. S’il y a du monde qui devrait dire que Dieu existe, c’est bien là. Et là si tu es à l’intérieur, tu vas un petit peu plus loin, tu vas un petit peu comme quand on va au tribunal, tu poses des questions à celui qui est là , puis dépendant de ton niveau de conscience, de ta capacité de maintenir le stress psychique avec eux autres, Ils vont te répondre, ils vont te parler de tout ça. Tu vas leur dire « Mais pourquoi est qu’on a eu le concept de Dieu ? » ils vont te le dire pourquoi. Mais une fois qu’ils te le disent, tu es pogné avec ce qu’ils te disent. Si tu es capable de supporter ça,  tu avances et puis tu avances, puis tu avances avec ça pendant des années, puis des années, des années, finalement tu sors de ta propre université. Puis un jour t’es tellement tourné avec ces vibrations-là que, quelqu’un te pose une question, tu as la réponse, mais toi, tu ne penses plus. Quand tu ne penses plus tu es bien. Quand tu penses tout ça, parce que penser ce n’est pas réel.

Par contre penser pour l’humain c’est une forme, par contre pour l’humain conscient ce n’est pas une forme. L’humain conscient remplace la pensée par la télépathie, sans ça il a la tête vide comme un poisson. Quand tu as la tête vide comme un poisson, ben tu te reposes, tu es bien. La champlure, elle ne coule pas toujours chez vous, quand tu en veux, tu tournes la champlure, c’est la même affaire que l’eau. Tu ne peux pas être en communication tout le temps, tu te brûles le cerveau, quand tu as besoin de l’eau tu tournes la champlure.

Donc c’est quoi le gros du problème fondamental à l’évolution ? Ça sera quoi le problème fondamental de l’évolution future, ce sera quoi le grand obstacle à la psychologie évolutionnaire intégrale de l’humain, au développement de son identité ? Ça sera sa capacité de réaliser sans aucune condition qu’il est habité !  Step number one ! *Tant que l’humain ne sera pas capable d’accepter le fait qu’il est habité, puis de tester l’habitation, pas en subissant la petite voix intérieure, mais en la renvoyant la petite voix intérieure, autrement dit, quand tu penses quelque chose qui ne fait pas ton affaire, tu le renvoies par en dedans puis tu le questionnes, c’est là où vous allez commencer à avoir des étincelles, de réaliser que ce qui se passe dans votre radio, ça vient d’ailleurs.

 

* étape numéro une.

Publicité
Publicité
Commentaires
Hommage à Bernard de Montréal
  • Bernard de Montréal. psychologie évolutionnaire, psychisme, évolution, satan, lucifer, involution , mensonge cosmique, planète Terre, humanité, extraterrestres, nations, astral, conscience, mental, surmental, supramental, conscience , fin de cycle
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Archives
Pages
Visiteurs
Depuis la création 174 415
Publicité