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Hommage à Bernard de Montréal
20 novembre 2020

Le réel en soi.

029B

 

Comment reconnaître en soi ce qui est réel ?

Voilà une question qui vaut une réponse, si l’on considère l’humain d’aujourd’hui comme le produit du passé, il est bien sûr que le réel ne peut lui être facilement accessible, puisque le réel ne fait pas partie du passé, mais d’un présent qui se situe au-delà de l’intelligence que nous avons de la vie et de ses valeurs passées.

Le réel, c’est-à-dire la pénétration instantanée de l’intelligence, de son énergie, chez l’humain, ne peut être saisi que dans la mesure où l’humain rompt avec le passé de ses émotions et de ses pensées, pour ne vivre que de la vibration de l’intelligence qui pénètre en lui et bouscule ce passé.

Il y a un prix à payer lorsque l’humain entre dans le réel, et ce prix lui est dicté par le choc de pénétration de l’énergie de l’intelligence, et ce prix ne se calcule pas selon un barème de valeurs que le passé veut lui présenter, au contraire. Le réel est une condition de vie et non une attitude de vie de sorte que cette condition ouvre chez l’humain la porte à une vague d’expériences qui ne peut se mesurer à la lueur du passé et de ses valeurs. L’humain, sans s’en rendre compte, veut faire de la vie du réel une copie de ses désirs, ceci est une grave illusion car la vie, ou l’intelligence du réel en manifestation, ne se laisse pas contrôler par l’humain et son corps de désirs.

La vie, ou l’intelligence du réel, ne se conforme qu’à elle-même et conforme tout ce à travers lequel elle se manifeste à plus ou moins longue échéance.

L’humain d’aujourd’hui commence à sentir les forces de vie ou de l’intelligence comme jamais auparavant, car un nouveau cycle de vie s’installe sur le globe, et ce cycle, qui correspond à l’intelligence supramentale et non à la mémoire humaine subjective, entraîne l’humain vers une dimension d’êtreté qui a été longuement pronostiquée mais que l’on ne reconnaît que dernièrement, et que l’on ne comprendra qu’au fur et à mesure que l’humain aura réalisé qu’il ne peut plus servir deux maîtres à la fois : l’ignorance et l’intelligence.

L’humain a cru pendant longtemps qu’il pouvait s’élever selon l’élévation de sa science, mais il commence à réaliser que sa science ne fait pas partie de l’intelligence pure, mais de la mémoire de l’humain qui a servi au développement de son intellect.

Le réel est sans fin, c’est-à-dire que la condition de vie qui expose l’humain à la descente de l’énergie de l’intelligence supramentale en lui, n’a pas de limite, car elle rejoint d’autres conditions de vie qui exposent à l’humain la réalité d’une dimension de son esprit, qui est libre de ses sens matériels et de son intellect, ouvrant ainsi pour la première fois sur Terre les secrets sans fin d’une conscience universelle et cosmique, qui commence là où se termine la conscience sensorielle et intellectualisée du genre humain.

A cause de ses sens et de sa raison, l’humain a toujours voulu, ou cru pouvoir contrôler son destin, lorsqu’en fait il était subtilement contrôlé par les forces de l’intelligence qui le poussaient dans une expérience après une autre, afin qu’il puisse se développer suffisamment pour qu’un jour une nouvelle étape puisse commencer, qui lui permettrait enfin et réellement cette fois-ci de contrôler son destin, c’est-à-dire de posséder les outils nécessaires pour bien comprendre et bien se servir des forces de vie en lui qui avaient été maintenues prisonnières de sa mémoire.

Les humains ont cru atteindre le réel par un certain nombre de voies différentes, les uns par la science et les autres par la spiritualité, et d’autres par la philosophie, d’autres encore par la psychologie ou les arts. Or ces voies ne font pas partie du réel, mais de la mémoire expérientielle de l’humain ou de l’humanité. Ce n’est que dans l’abolition de cette mémoire que l’humain commencera à découvrir ce qui est réel en lui, c’est-à-dire ce qui n’appartient pas à l’humain subjectif et à l’humain lié à son passé, c’est-à-dire à la mémoire, et son expérience lui fera voir que ce qui est réel n’est pas nécessairement au début plaisant, car ce qui est réel est trop fort, trop grand, trop déroutant pour la mémoire de l’humain et sa psychologie subjective.

Impuissant devant le réel, l’humain s’est voilé la tête et s’est contenté d’expérimenter les voies faciles de la raison ou de la spiritualité par le biais de l’intuition, ou par le biais des sens, pour découvrir qu’au-delà de ces voies il existe autre chose que l’humain ne peut voler car ça ne lui appartient que dans la mesure où il est capable d’en subir la présence et le poids.

La recherche du réel est une attitude philosophique, elle est une démarche, et elle découle de la pensée humaine et non de l’intelligence pure. Le sort de l’humain lui convient tant qu’il vit de cette attitude de recherche foncièrement progressive, mais aussi foncièrement ignorante. Mais le progrès n’est pas toujours parfaitement clair dans l’esprit de l’humain, car son esprit n’est pas encore dans l’intelligence du réel. Qu’est-ce qui est réel ? Et qu’est-ce qui ne l’est pas ? Seul l’humain qui est dans le réel peut le savoir, les autres doivent attendre à la porte et le découvrir au fur et à mesure qu’ils avancent eux-mêmes dans l’expérience de cette intelligence qui n’est pas de l’humain, mais le transperce jusque dans les fibres les plus denses de sa matière. Inutile pour l’humain de croire que le réel est dans cette direction ou dans une autre, puisque le réel est universel et s’applique à tous les humains sans exception, quels que soient leur tempérament ou leur caractère ou l’origine sociale, ou nationale.

Le réel n’appartient à personne sur le plan d’une philosophie quelconque, mais il traverse l’humain petit ou grand de la même façon, c’est-à-dire qu’il détruit l’illusion du passé et de sa mémoire. Étant libre de toute expérience antérieure à lui-même, le réel ne se vit que dans le présent et ne peut se vivre que dans la mesure où la fausse personnalité se fond en lui, c’est-à-dire se dissout selon son mode de pénétration transformatrice, pour se retrouver un jour ou l’autre différente mais réelle, c’est-à-dire capable de bien comprendre et de vivre le réel de l’intelligence et de son intention créative.

Comment savoir si quelque chose en soi est réel ou non Il suffit de l’absorber ou de pouvoir l’absorber et le vivre sans que l’ego puisse en souffrir. Or l’ego est toujours là qui veille, vous me direz. Eh oui, je vous répondrai, jusqu’à ce qu’il ne le soit plus. Alors vous saurez sans effort ce qui est réel car vous n’influencerez plus par votre mémoire, votre vie, et alors vous serez parfaitement dedans sans que la réflection incessante de l’ego vous le fasse douter. C’est une petite partie du réel que vous reconnaîtrez alors car l’irréel de votre attitude ignorante ne vous obligera plus à une condition inférieure d’intelligence et d’action qui convient à l’humain incomplet qui se cherche.

Le réel, c’est l’action intelligente et créative chez l’humain à partir d’un lien au début incomplet, mais tout de même réel, avec une échelle ou une autre des gouvernements invisibles qui dirigent l’évolution des mondes. Tant que l’humain n’aura pu digérer ce fait, il ne peut commencer à comprendre le réel, puisque l’intelligence humaine ne s’occupe que de choses palpables, il est difficile à l’humain de reconnaître ou d’avoir liaison avec le réel, car ce dernier n’est palpable ou réalisable que lorsque l’humain a enfreint une des premières lois de la raison, c’est-à-dire la preuve.

La fameuse preuve que tout humain raisonnable a de besoin pour se barrer à jamais, malgré lui-même, l’accès au réel. La preuve du réel n’est pas la preuve de la raison, mais une autre preuve qui n’appartient pas à l’intellect mais à l’intelligence pure, à l’intelligence supramentale. Et cette preuve est trop subtile pour l’intellect et sa raison. Que l’univers et la vie humaine soient dirigés à partir de sphères invisibles à l’œil nu de l’humain, c’en est un peu trop pour la raison, il est trop intelligent pour ça. Mais alors ! Qu’il demeure avec son intelligence ! Mais qu’il fasse bien de ne pas s’intéresser au réel, car son premier contact avec lui, lui enlèvera tout ce qu’il possède, c’est-à-dire la mémoire et sa faculté émotive et mentale inférieure.

Puisque le réel est l’activité des sphères de l’esprit en dehors des limites matérielles des sens, l’humain se doit de voir et de bien comprendre que sa vie matérielle est agencée selon les lois de ces sphères et que l’intelligence du réel requiert qu’il réalise son appartenance relative avec ces sphères selon sa capacité individuelle de réunir à la fois l’intelligence réelle en lui et le pouvoir vibratoire de cette intelligence à travers ses propres principes.

L’humanité entre dans un cycle d’évolution qui doit affecter la totalité de l’humanité au cours des siècles qui suivront le début de ce cycle. Pour la première fois depuis le début de la civilisation terrestre, l’humain sera informé de l’avenir de l’humanité et pourra comprendre son évolution future, car son intelligence sera ajustée, c’est-à-dire harmonisée, au plan de vie que doit connaître l’humanité, alors que l’accès aux sphères invisibles lui sera pour la première fois donné. L’humain, ayant pour la première fois de son histoire accès aux sphères du pouvoir de l’esprit sur la matière, sera en mesure de comprendre et de réaliser le réel, c’est-à-dire le contrôle total et absolu des sphères sur l’évolution inférieure des planètes et leurs différents royaumes.

L’existence de l’humain ne sera plus vouée à la simple exécution aveugle d’un plan de vie qui lui est étranger, mais il connaîtra ce plan de vie et en verra l’éblouissante exactitude, selon l’information qui lui sera donnée, à cause de sa liaison télépathique mentale avec les sphères qui dirigent l’évolution d’un point dans le temps que nous appelons l’invisible. Le mystère n’existera plus pour l’humain, car il aura perdu la faculté de la pensée subjective, celle-ci ayant été remplacée par la pensée créative et universelle de l’humain universel.

“Comment découvrir ce qui est réel en soi ?” n’est qu’une question humaine. “Comment savoir ce qui est réel en soi ?” C’est la nouvelle condition de l’humain, et cette condition ne peut être saisie par la question, ni répondue par la réponse, puisque toute condition nécessite son expérience, et toute expérience fait suite à la question posée avant elle. Alors l’humain devra vivre sa condition pour pouvoir répondre à sa question. Et de cette condition, la question sera répondue clairement et sans ambiguïté. L’humain doit vivre sa nouvelle condition d’abord et répondre par la suite à la question fondamentale de l’esprit humain vis-à-vis du réel ou de l’irréel.

L’humain ne peut découvrir le réel qu’au fur et à mesure qu’il s’en approche. Et plus il s’en approche, moins la question prend d’importance dans sa vie, car déjà il est plus réel, c’est-à-dire que déjà il commence à comprendre la futilité de sa question. La question de réalité n’est pas une question réelle, elle vient plutôt d’une inquiétude psychologique et philosophique de l’humain vis-à-vis de lui-même et du voile qui couvre son esprit, qui ne voit pas encore que toute pensée et toute action chez l’humain fait partie du lien non réalisé, et donc imparfait, avec l’invisible, c’est-à-dire le réel. Tant que l’humain obstrue ce lien, à cause de sa pensée et de ses émotions subjectives, il ne peut que se poser la question, la question faisant partie de cette obstruction.

Pour que l’humain puisse facilement concéder la présence et l’activité des forces intelligentes et créatives ou des forces retardataires et destructives existant dans ce qu’il appelle l’invisible, il doit être suffisamment informé, c’est-à-dire instruit dans une science de l’intelligence capable de lui faire réaliser un peu le réel de l’intelligence à travers le travesti de sa personnalité vouée au culte du petit moi.

Autant les petits humains que les grands humains sont dominés par des intelligences qui évoluent sur des plans extérieurs à leur réalité, autant les grands sont petits, et autant les petits peuvent être grands. La loi de l’évolution se charge du statut de l’humain, et l’humain ne peut que s’y plier tant qu’il n’est pas lui-même en contact avec ces intelligences. Alors seulement peut-il dire qu’il n’est ni grand, ni petit, mais universel. La protection de l’humain n’est pas contre lui-même, mais contre celui qui se croit plus grand que lui. Et seul l’humain universel reconnaît la caricature du petit ou du grand humain, car seul celui qui a de plus en plus conscience de son contact avec le réel peut réaliser que les humains de la Terre sont dupes des humains de la Terre. C’est à partir de ce moment qu’il ne cherche plus à trafiquer avec les humains que dans un sens, c’est-à-dire dans le sens qu’il convient pour lui d’appeler le sens de sa propre réalité.

C’est la réalité de l’humain qui se conscientise, qui devient la mesure de sa relation avec l’humain, et non plus l’impression laissée sur son esprit de ce que l’humain croit être réel. A partir de ce moment, l’humain se détache de l’humanité, non pas encore sur le plan de son corps matériel, mais sur le plan de l’intelligence de son esprit. Plus tard, la séparation sera totale lorsque l’esprit de l’humain et l’esprit de l’intelligence seront réunis sur un plan plus subtil de la Terre que nous pouvons appeler l’éther de l’humain de demain.

L’invisible n’est pas réel pour l’humain, car l’humain n’a pas encore entamé de dialogue avec lui. Et s’il a entamé le dialogue, il n’y est pas encore entré pleinement et consciemment. Et s’il n’y est pas encore entré pleinement et consciemment en esprit - et comme l’esprit est un véhicule, un transport pour l’humain, un peu comme l’automobile, ou la raison est un transport pour le corps de l’humain - il est évident et normal que l’invisible n’existe pas encore pour l’humain. Et pourtant l’esprit de l’humain vient de l’invisible et doit y retourner, car l’invisible est le monde de l’esprit.

Mais l’invisible n’est pas le même pour tous les humains, car beaucoup d’humains doivent mourir et retourner à l’invisible de la mort. Et un petit nombre sur la planète doivent y échapper et continuer leur évolution dans l’invisible de la vie qui est un lieu dans le temps de la Terre, lieu qui n’est pas loin de la Terre, mais qui ne peut être connu que par ceux qui sont dans l’intelligence de la vie. Car c’est l’intelligence de la vie qui permet d’entrer dans ce lieu où l’esprit de l’humain est libre comme l’esprit de l’intelligence.

Le phénomène de l’intelligence réelle est nouveau sur la Terre et peu d’humains encore aujourd’hui le connaissent, bien que le nombre sans cesse grandisse. Et ce qui est le plus surprenant, c’est que le phénomène de l’intelligence réelle est tellement différent de ce que les humains peuvent s’imaginer, que l’intelligence réelle ne peut parvenir à se loger que dans ces humains qui la connaissent déjà, mais qui l’ont oubliée à cause de l’interférence que crée leur mémoire. Mais cette situation sera vite remédiée, et il sera convenu dans quelques années que l’humain supramental est sur la Terre et sur le point de créer une nouvelle société dont les conditions ne seront comprises que de ceux-là qui en ont l’intelligence réelle. Et à partir de cette nouvelle société grandira le pouvoir de la conscience universelle sur la Terre. L’humain de demain y puisera sa force et fera d’elle l’autre moitié de sa vie.

Comment reconnaître en soi ce qui est réel ?

Autrement dit, comment savoir que l’humain est de plus en plus réel dans son intelligence ?

Autrement dit, comment ne pas douter de soi-même ?

Autrement dit, comment être parfaitement bien dans ce que l’on sait ?

Comment être parfaitement bien dans sa peau ?

Eh bien il faut se faire nettoyer l’esprit, le mental, et l’émotif, par les forces de l’intelligence qui travaillent dans l’invisible, de nos émotions et de notre intellect, sans parler de l’éthérique et du physique qu’elles dominent par ces deux plans supérieurs. Et tant que l’humain n’est pas suffisamment nettoyé, c’est-à-dire qu’il conserve trop de mémoire, il ne peut comprendre sa question, il doit demeurer prisonnier d’elle, car toute question soumet l’humain à l’intelligence invisible en lui et ne lui permet pas de connaître la réponse totale à sa question, puisque toute question trahit l’imperfection de l’intelligence dans l’humain, donc indique que son intelligence n’est pas encore parfaitement réelle.

L’humain découvrira que son esprit est en fait un territoire, un éther, à l’intérieur duquel d’autres esprits plus évolués ou moins évolués que lui se déplacent, et il comprendra l’importance de ne jamais laisser le territoire ou l’éther de son esprit violé par un esprit inférieur à lui. Voilà le grand danger que court l’humain d’aujourd’hui, et voilà pourquoi l’humain est en-dehors de l’intelligence réelle, et qu’il se doit de se poser la question à laquelle il ne peut avoir de réponse que lorsque l’éther de son esprit a été enfin libéré, nettoyé, de ces esprits qui violent l’éther mental de l’humain et se servent de l’éther de ses émotions pour cacher la clarté de son intelligence, et ainsi empêcher l’intelligence réelle d’y pénétrer.

Le danger de l’humain d’aujourd’hui ne peut être perçu qu’à la lueur d’une certaine spiritualité. Mais elle est impuissante, cette spiritualité, à chasser de son éther mental les formes qui paralysent son émotif et le rendent esclave de sa mémoire. L’humain inconscient se sécurise dans sa mémoire car elle lui donne l’impression de pouvoir discerner entre le bien et le mal, lorsqu’en fait, le bien fait partie de l’éther mental, alors que le mal fait partie de l’éther inférieur émotif. Le discernement entre les deux requiert que l’humain ait un éther mental et un éther émotif parfaitement équilibrés, c’est-à-dire qu’aucun esprit ne puisse y pénétrer. C’est alors que l’on dit qu’il est dans son intelligence réelle, car l’intelligence pure seule peut éclairer à la fois l’éther mental et l’éther émotif de l’humain et lui faire réaliser parfaitement la différence entre le bien et le mal. Sinon pour l’un, telle action sera « bien » et pour l’autre « mal » ; et pour l’un, elle sera « mal » et pour l’autre « bien ». C’est ce qui crée la division qui mène à la guerre.

Lorsque l’humain aura enfin réalisé que ses pensées et ses émotions sont des formes d’énergie maniées et contrôlées dans les plans invisibles, il sera bouleversé. Et ce bouleversement se traduira par une mutation de son intelligence et une élévation de son esprit. De sorte que son éther mental inférieur et son éther émotif ne seront plus, désormais, des espaces où toutes sortes de fraudes sont créées pour le bénéfice de certaines intelligences contre le bénéfice de l’humain et de l’individu. La guerre de l’esprit sera commencée et l’humain en sera le témoin.

Le phénomène de télépathie s’accentue avec le développement de l’intelligence, et l’humain doit apprendre à reconnaître ce qui est réel dans son intelligence, non pas en fonction de ce qu’il reçoit télépathiquement, mais en fonction de ce qu’il réalise télépathiquement, c’est-à-dire que toute réception télépathique doit s’accompagner du jugement de l’individu, c’est-à-dire de cette faculté interne de son intelligence naturelle de discerner l’information télépathique. Aucun humain ne peut se faire commander télépathiquement sans subir une déformation de son intelligence. Or l’intelligence de l’humain doit être accrue, c’est-à-dire qu’elle doit répondre à une très vaste gamme de fréquences dans son cerveau afin que toute communication télépathique lui convienne parfaitement. Si cette large base de fréquences n’est pas établie, la communication risque d’être astrale ou purement spirituelle et ne peut convenir qu’à celui qui est encore dupe d’une intelligence non harmonisée à la sienne sur les plans supérieurs de lamentation.

Les années qui viennent représenteront un grave danger pour l’humain, car la télépathie dont il ne commence qu’à découvrir la réalité sera le moyen le plus personnel qu’emploieront des intelligences sur des plans invisibles pour communiquer avec l’humain. Seule l’intelligence mûre de l’humain peut comprendre son prédicament, et seul cet humain qui possède cette intelligence mûre peut prêter l’oreille à des renseignements de grande urgence.

“Comment reconnaître ce qui est réel en soi ?” fait partie du combat qui se joue entre l’astral et le mental, et tant que l’humain ne sera pas complètement libre de l’un, il ne pourra parfaitement comprendre l’autre. Voilà une des nombreuses et nouvelles conditions de vie que l’humanité, au large, apprendra à reconnaître selon l’expérience et la maturité de chaque individu. Maintenant que les dangers sont de plus en plus pointés pour le bénéfice de l’humain, il ne lui reste plus qu’à les réaliser et à les comprendre.

La télépathie n’est pas un bien en elle-même, elle offre de très grandes possibilités à l’humain, mais aussi elle lui présente de graves dangers, jusqu’au jour où sa maturité sera suffisante pour qu’il ne puisse plus être victime de déceptions ou de fraudes de quelque sorte que ce soit. Puisque l’humain développera ses pleines facultés télépathiques, il devra auparavant se rendre compte que cette faculté doit-être ajustée, et que tout contact avec l’astral ou les plans inférieurs de l’intelligence doit être éliminé de sa conscience humaine.

Autant la pensée humaine que l’humain a connue depuis le début de la cinquième race a été un bienfait et une source de souffrance, autant la télépathie sera un couteau à deux tranchants dans l’avenir de l’humanité.

L’intelligence pure doit primer toute activité mentale chez l’humain. Et tant que ce dernier n’aura pas compris la vraie nature de l’intelligence, il lui sera possible d’interpréter la communication télépathique comme faisant partie de l’intelligence en lui, lorsqu’en fait elle ne sera qu’une interférence quelconque émanant des plans inférieurs de l’esprit.

L’humain doit être mis en garde et rappelé que l’intelligence universelle est parfaitement harmonisée à son être. Ceci veut dire qu’il ne peut y avoir de disparité entre la télépathie et son bien-être. Autant la télépathie peut servir de canal pour posséder l’humain, autant ce dernier doit pouvoir reconnaître l’appui de son intelligence réelle et de sa volonté réelle pour cette télépathie. Si ces deux éléments ne sont pas présents chez l’humain, la télépathie peut être un désavantage car elle lui donnera l’impression d’être en contact avec des intelligences supérieures, lorsqu’en fait il ne sera qu’en communication avec des intelligences qui se servent de lui, selon les lois de leur propre plan, de leur propre monde. Avis à l’humain.

Alors “comment savoir si l’on est dans l’intelligence réelle” requiert que l’humain soit suffisamment libre de ses émotions qui trahissent son intellect, et que ses pensées ne soient plus alourdies par ses émotions. Lorsque cette transformation a été accomplie, effectuée, l’humain est dans son intelligence réelle car il ne peut plus être en-dehors de lui-même, c’est-à-dire qu’il ne peut plus être dupe des forces de l’involution. Pour que l’humain réalise qu’il est dans son intelligence, il doit se percevoir en-dehors de ce qui lui nuit, et seule son intelligence réelle peut lui faire réaliser ce qui lui nuit, mais pour que cette intelligence s’ouvre en lui, il lui faut être libre dans le mental et l’émotif.

L’humain ne peut réaliser ce qui lui nuit que lorsqu’il est suffisamment intelligent pour aller au-delà des habitudes qui ont été créées, ou qui ont créé sa personnalité dans le passé. Si le passé interfère avec le présent de l’humain, ce passé lui nuit, et il ne peut être dans son intelligence réelle s’il persévère dans cette façon de vivre sa vie. L’humain a de la difficulté à reconnaître s’il est dans son intelligence ou non, car il y a encore en lui du passé qui lui nuit. Être totalement dans son intelligence veut dire être parfaitement équilibré dans son émotif et son intellect. C’est le résultat de ce travail sur ces deux plans de vie qui permet à l’humain de savoir si son intelligence est réelle.

La télépathie sera une règle de mesure de l’intelligence humaine, car elle prédisposera l’humain à une myriade d’interprétations subjectives de la pensée, et le passage d’un plan inférieur à un plan supérieur d’intelligence sera reconnu par l’humain lui-même, selon la transformation de ses corps inférieurs. L’interprétation subjective des pensées qui découlent du phénomène télépathique intervient chez l’humain par réaction psychologique au vrai ou au faux. L’humain doit dépasser ce stage avant de vivre de son intelligence réelle.

C’est pourquoi le phénomène télépathique n’est, en substance, qu’une version psychologique des lois de l’intelligence. En fait, la télépathie n’est qu’une augmentation temporaire ou permanente du pouvoir vibratoire de l’intelligence chez l’humain. Mais comme nous ne réalisons pas encore les lois de l’intelligence réelle, nous avons tendance à croire que la télépathie existe telle que nous la concevons, lorsqu’en fait notre conception est une déformation de notre intellect vis-à-vis de l’intelligence réelle et instantanée chez l’humain conscient.

Tant que l’humain n’est pas parfaitement dans son intelligence réelle, il est sujet au phénomène de télépathie tel qu’il le conçoit. Ce n’est que lorsqu’il est parfaitement dans son intelligence qu’il réalise la nature réelle de la télépathie, et que cette dernière fait partie de la nature même et instantanée de la communication entre les êtres qui forment un éther commun, ou qui sont sensibilisés à un éther de haute vibration qui pénètre la leur. Comment savoir si on est dans l’intelligence veut dire comment être parfaitement télépathique avec l’éther de l’intelligence qui permet aux humains de communiquer entre eux, ou aux humains de communiquer avec les hautes sphères de l’intelligence universelle.

La télépathie protège l’humain selon le degré d’évolution de son esprit. Plus l’humain est évolué en esprit, plus il est télépathe, car ses centres d’énergie répondent plus clairement aux impressions vibratoires créées par les forces de l’intelligence réelle. Ne cherchez pas à être télépathiquement sensibles, cherchez plutôt à être près de vous-mêmes, et votre télépathie s’accentuera et votre intelligence plus présente. L’humain découvrira qu’il n’y a pas de différence à être télépathique et être sensible à l’intelligence universelle.

L’humain découvrira que l’intelligence réelle est le résultat d’une communication avec les sphères supérieures de l’évolution et que la télépathie est un aspect de ce lien avec l’invisible. Mais il doit réaliser que l’intelligence réelle est un nouveau cycle d’évolution sur Terre et que la découverte de ce qui est réel est en directe fonction de sa capacité de comprendre la différence entre la télépathie supramentale et la télépathie mentale inférieure. La mesure du réel est en fonction de l’ajustement de ce corps mental inférieur et de l’émotif pour que l’intelligence de l’humain soit supramentale, c’est-à-dire libre des interférences possibles des forces qui alimentent et qui cherchent à retarder l’évolution de l’humain et à le maintenir dans l’ignorance.

Fin enregistrement.

 

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