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Hommage à Bernard de Montréal
13 mai 2021

Les sujets tabous

 

FP 60

François Payotte : Il y a bien des choses que je ne comprends pas, vous vous en êtes peut-être rendu compte au cours et au long des années, mais est-ce que vous voulez m’expliquer une chose. On est supposément tous égaux, d'accord, les blancs un peu plus que les noirs, mais quand même, on a supposément tous les mêmes droits, mais les blancs un peu plus que les noirs, évidemment.

Mais fondamentalement, on est tous égaux, on a les mêmes droits, alors comment ça se fait qu’il n’y a que la police qui a le droit d'être raciste ?  Y a-t-il une exclusivité, je ne suis pas une police soit, mais j'ai bien le droit d'être raciste comme eux autres, si ça fait mon affaire, ils n’ont pas le monopole mais ils vont le prendre, si on les laisse faire sans rien dire.

Bientôt ça prendra un permis de la ville pour détester son voisin en toute tranquillité légalement, sauf si tu es une police.

Vous savez, moi ce que je vous en dis, dans le fond, ce n’est pas pour moi, parce que je ne suis pas plus raciste que vous autres, d’'ailleurs je suis le premier à reconnaître que notre seigneur était juif et que par conséquent le bon Dieu qui est son père était juif lui aussi, tel père tel fils, c'est une affaire de famille.  Voyez, je suis capable de le reconnaître sans que ça paraisse que ça me gêne, en tout cas pas trop, ça me gêne un peu de savoir que le bon Dieu il est juif et que je suis chrétien, mais ça ne m’empêche pas d'acheter mes stores verticaux, mes rideaux de douche, mes édredons à la même place que tout le monde. Je ne suis pas rancunier. Voyez, je ne suis pas tellement raciste, mais je tiens à une chose, c'est à la liberté d'expression, c'est-à-dire qu'on me laisse le choix de l’être, raciste, si ça me tente. C'est une question de principe, de liberté d'expression, de parole, de droit de la parole. Alors soyons vigilants parce que c'est l'outil qui nous libère des craintes, des blocages et des tabous de toutes sortes, la parole, surtout si on en fait un usage intelligent à la manière de Bernard de Montréal.

 Bernard de Montréal : sérieux ?

François Payotte : Ben oui, je suis sérieux parce que j'ai bien de la misère avec le sujet de ce soir, vu que c'est les tabous, puis que moi-même, je n’en ai pas tellement des tabous. J'ai le tabou, le dernier tabou que j'ai rencontré c'était une lumière rouge que j'ai défoncée, ça m'a coûté 50 dollars, à part ça je n'en ai pas beaucoup, alors je cherche, c'est quoi l'origine des tabous ? J'ai regardé dans le dictionnaire et ça vient du polynésien « tapou » qui veut dire interdit, sacré, c'est un système d'interdiction de caractère religieux appliqué à ce qui est considéré comme sacré, ce sur quoi on fait silence par crainte, par peur, exemple les tabous sexuels, la mort etc. Pourquoi est-ce qu'on se voit imposer, impérativement des tabous qui sont négatifs dans le fond, on a peur et on craint quoi ?

Bernard de Montréal : Les tabous ont été imposés à l'humain parce que l'humain de l’involution n'avait pas d'identité.  Un humain qui a une identité n'a pas de tabou, mais quand je parle d'identité je ne parle pas simplement de l'identité psychologique à laquelle on fait référence dans le monde Occidental aujourd'hui.  Si l'humain connaissait les lois cosmiques de la vie, de la mort, si l’humain connaissait les lois cosmiques, il connaîtrait les lois du sacré, et si l'humain connaissait réellement les lois cosmiques, il réaliserait qu’il n’y a pas de sacré, autrement dit, le problème de l'humain, le problème de l’humain involutif, c'est que tant que l'humanité n'était pas arrivée un stade d'évolution où l'humain pouvait sur le plan mental manifester une pensée totalement créative, quand je dis une pensée totalement créative je ne parle pas dans le sens de l'involution. Une pensée créative dans le sens intégral, c’est une pensée qui n'est pas limitée par la mémoire de l'humanité, c’est ça une pensée, donc c'est une pensée qui explore l'infinité du mental, donc c'est une pensée qui repousse les limites psychologiques du mental, donc par conséquent c'est une pensée qui a le pouvoir de faire, de pénétrer dans ce que nous, les humains de l'involution, appelons les mystères, que ce soit les mystères de la religion ou que nous parlions des mystères du sacré, autrement dit, à partir du moment où la pensée humaine est suffisamment haute en vibration pour pénétrer dans les éthers mentaux, l'humain est capable de déloger de ces éthers mentaux, la moindre poussière de mémoire donc il est capable d'assimiler l'énergie créative sur le mental d'une façon absolue, à partir de ce moment-là il n'est plus lié à la mémoire donc il n'est plus lié au rapport involutif de la mémoire avec l'expérience de l'humain, donc il n'est plus relié aux tabous, les tabous sont simplement des manifestations astrales de la conscience de l'humanité, pour la préservation des sociétés qui ont servi au cours de l'involution au maintien de la race, à l'évolution de la race et au développement de la civilisation. S’il n'y avait pas eu de tabous, il n'y aurait pas eu possibilité de créer un centre organisationnel autour des différentes sociétés, donc les tabous, c'est essentiel, c’est comme les religions.

Mais le problème avec les tabous, c'est qu'à partir du moment où l'humain commence à être un peu intelligent parlons de l'humain moderne, à partir du moment où l'humain dépasse les stades de la superstition pour investiguer à travers son mental inférieur, la science, naturellement les tabous commencent à tomber. Mais il demeure encore qu’aujourd'hui, à la fin du 20 ième siècle, alors que nous sommes à un stade où nous avons le pouvoir d’étudier l’atome et les différentes facettes de l'énergie, nous avons encore des tabous. Les tabous ne sont pas nécessairement aussi évidents qu'ils l’étaient par le passé, dans ce sens que ce ne sont plus des tabous grossiers qui sont empreints de stigmates psychoculturels. Ce sont des tabous qui sont beaucoup plus reliés à la qualité de l'émotion face à la valeur de la forme, donc l'humain... je donne un exemple okey ?

François Payotte : oui, oui.

Bernard de Montréal : Bon, prenons par exemple, naturellement puisque je suis en public je ne vais pas donner d’opinion sur le sujet, mais je vais expliquer autour du sujet. Prenons par exemple le problème de l'avortement, prenons le problème de l’euthanasie.

Sur le plan psychologique humain, sur le plan social, la fonction des cultures, en fonction des valeurs sociales, en fonction aussi des paramètres légaux, l'humain a beaucoup de difficulté à s'exorciser du problème psychologique ou psychique qui peut naître de l'affirmation de sa volonté de passer à l'action dans le domaine par exemple de... de…c’était quoi le premier ?

François Payotte : L’avortement.

Bernard de Montréal : L'avortement.

Pour lui il vit ... la femme qui vit l’avortement dans sa première expérience, elle ne vit pas nécessairement un traumatisme, mais elle vit décidément une affection dans ses émotions et elle prend conscience de différentes choses, donc dans le fond la femme, elle vit un peu les conséquences d’un certain tabou, même dans la société moderne.

François Payotte : La vie c'est sacré, c'est ça le problème.

Bernard de Montréal : Parce que nous avons dit que la vie est sacrée !

Je ne dis pas que la vie n'est pas sacrée ! Je dis que nous disons que la vie est sacrée.  Donc à partir du moment où nous qualifions la vie d'un mot donc le sacré, à ce moment-là nous sommes obligés psychologiquement de supporter la valeur foncière de ce mot qui colore la vie et qui imprime sur notre conscience vitale, notre conscience mentale, une limitation.

Le problème avec les mots dans notre société, dans notre civilisation, c'est un problème qui va beaucoup plus loin que ce que Sartre aurait même pu imaginer, le problème des mots dans la civilisation de l'humain est directement relié au fait que les mots que nous utilisons, nous les utilisons pour nous enfermer dans un cocon qui, sur le plan de la civilisation, nous sert pendant une période déterminée.

Mais sur le plan psychique, les mots nous desservent. Pourquoi ?

Non pas parce que les mots en eux-mêmes ne sont pas bons parce que les mots sont nécessaires ils font partie de la communication, l'énergie doit être transformée, elle doit passer dans une forme pour être manifestée, c'est normal, mais nous mettons dans les mots de l'émotion, à un niveau ou à un autre, donc il y a dans notre société, dans notre civilisation, des mots, des concepts, qui se rattachent au sacré. Et l'humain ne possédant pas d'identité, c'est-à-dire l'humain n'étant pas parfaitement clairvoyant dans le mental, c’est ça avoir une identité, c’est être parfaitement clairvoyant dans le mental, il n'est pas capable par lui-même, de faire sauter la valeur psychologique qu’il donne aux mots, donc il devient prisonnier de ses mots, donc il devient prisonnier des tabous.

François Payotte : Mais dans ce cas-là précis, comment pouvoir se libérer du tabou et de sa conséquence psychique et psychologique ? Est-ce que cette personne-là peut se dire : Bon ben si je me fais avorter, il reste quand même cinq milliards d'individus sur la planète qui vont procréer ?

Bernard de Montréal : Ouais mais ça, ce serait rationaliser le tabou, l'humain ne peut pas, même s'il est très... entre parenthèses, s'il appartient à une civilisation moderne, mécaniste, humaniste, libérale, l'humain ne peut pas rationaliser sa relation interne avec le tabou, parce que le tabou exige de lui une responsabilité sociale ou au plus, une responsabilité religieuse, ou spirituelle, ou ésotérique ou occulte.

Mais l'humain doit, ou l'humain éventuellement, avec le développement de son identité, en arrivera finalement à pouvoir se libérer de cette responsabilité face à la valeur de la forme, sur le plan psychologique. Ceci ne veut pas dire que l'humain conscient ou l’humain demain vivra l'avortement comme on vit, comme on mange des donuts, c’est évident ! L’humain aura un sens créatif mais il ne sera pas pénalisé psychologiquement ou psychiquement à travers la valeur de la forme que son mental donne, à cause de la liaison historique entre lui, en tant qu'individu, et la mémoire de l'humanité,

François Payotte : À condition que la société lui en donne la permission, il faut qu’il y ait un certain laxisme à ce niveau-là .

Bernard de Montréal : Évidemment, évidemment, c'est pour ça que lorsque nous parlons de l'humain nouveau, de l'humain intégral, du Surhumain de demain, autrement dit l'humain qui aura des pouvoirs psychiques d’un humain tellement avancé, qu'il ne vivra même plus en relation avec la société présente, autrement dit la sixième race-racine ne vivra pas en parallèle avec la cinquième race-racine, pas plus que la quatrième a vécu en parallèle avec la cinquième. Ce sera une disconnexion, mais la disconnexion se fera à partir du moment où l'humain aura la capacité d'utiliser des principes ou des véhicules subtils qui font partie de lui aujourd'hui, mais dont il n'est pas capable de se séparer à volonté.

Donc à ce moment-là, l'humain vivant dans une société, je ne dis pas à part, parce qu'à partir du moment où l'humain vivra dans une supraconscience ou qu’il aura accès à des corridors de temps parallèles, il aura accès aussi à la matière, mais sa vie intégralement sera sur des plans parallèles, sera en fonction de choses qui se passent sur les plans parallèles, l’humain sera totalement occulte donc à ce moment-là les tabous de l’involution de la cinquième race-racine n’auront plus sur son comportement, de limitations. D'ici à ce temps-là, au fur et à mesure où l'humain évolue, il est obligé de prendre conscience, par respect de la civilisation, par respect de ses mœurs, par respect de ses valeurs ! Donc un humain conscient aujourd'hui va respecter le tabou qui est manifestement prescrit ou parlé ou pris en considération par la civilisation, mais lui, sur le plan personnel, il ne vivra pas de tabous.

François Payotte : Oui mais dans le temps, quand même, il semble que les tabous résistent au passage d'une race à une autre, les tabous religieux qu'on a aujourd'hui dans la Bible, qui est l'expression de l'humanité précédente antédiluvienne.

Bernard de Montréal : Vous avez entièrement raison, les tabous résistent au passage d'une race ou d'une autre en ce qui concerne le mouvement de la conscience planétaire involutive.

À partir du moment où la conscience de l'humain descend dans la matière et que sa conscience se lie avec la matière, les tabous demeurent, ils se changent, ils se transforment, mais lorsque nous parlons de l'évolution, nous parlons du point où l'humain, où l'involution et l'évolution se partagent la conscience humaine à partir du moment où l'humain va passer de l'involution pour aller vers l'évolution, autrement dit pour revenir à sa source, il n'y aura plus de continuité entre la valeur historique de la forme et son processus involutif et la prochaine race-racine, parce que le mental va être transformé. Alors que pendant l'involution, que ce soit le mental de la quatrième race-racine, que ce soit le mental la cinquième race-racine ou des sous-races, le mental fut toujours le même, ce fut toujours un mental assujetti à une prescription absolue ou une prescription régionale, une prescription empirique ! Alors qu'au cours de l'évolution, ce ne sera pas le cas, l'humain vivra sa conscience mentale sur une base absolument identique à lui-même, une base qui sera le produit de sa fusion avec sa propre entité. Donc le phénomène psychologique du tabou, le phénomène psychologique du sacré ne pourra plus faire partie de la conscience de l'humain nouveau, justement parce que l'humain aura fondé ses assises mentales si vous voulez, autrement dit sa conscience, donc son savoir, non pas sur l'appartenance à une civilisation hiérarchisée au niveau des valeurs, mais sur son pouvoir à lui, intégral, de déterminer la valeur de la substance mentale de la forme qui est pensée, pour se donner à lui l'occasion de mesurer le décret du réel.

À partir du moment où l'humain aura lui-même la capacité de supporter l'absolu sur le plan mental, il aura la capacité de définir lui-même l’absolu en relation avec la valeur des mots qu'il donne pour la compréhension des mystères, donc il ne sera plus lié psychologiquement ou psychiquement à l'émotion dans le mot, à l'émotion de la pensée, à l'émotion dans le concept

Je regardais... je vous donne un exemple, j'étais chez un ami hier soir, il y avait des bouquins qui traînaient dans la maison, et je regardais ce fameux livre : La Cosmogonie d'Urantia, livre absolument extraordinaire simplement sur le plan volumétrique, bon ! (Rires du public), et donc, je feuilletais, je regardais ici et là, et ensuite je me suis en allé à la maison et j'ai commencé à parler avec moi-même, avec mon double et je disais :  Quelle est la valeur absolue d’un bouquin ?

Il me répondait : Il n’y en a pas.

Pourquoi ? Il me dit : Il n'y en a pas parce que la valeur des mots ou la valeur que nous donnons aux mots, c'est une valeur qui fait partie de la dynamique créative des civilisations.

Donc si dans un temps, pour une raison cosmique ou une autre, nous avons besoin d'un certain bouquin, il y a quelqu'un dans le monde, un médium, un voyant, un prophète qui va servir d'antenne.

Donc le type lui, qu’il soit même en Angola, ah ! il reçoit, il écrit ce livre-là de par sa vibration, de par sa puissance vibratoire, de par sa capacité de faire vibrer le mental donc de par sa capacité de spiritualiser le mental, surtout si c’est un livre qui est réellement neuf, dans le ce sens qu’il n'est pas copié, il n’y a pas de citations, il est intégralement neuf, ce livre il va faire son chemin dans la société, quelque part dans le temps. Il va se créer des adeptes, il va magnétiser le mental de l'humain et l'humain va vivre quoi ? Il va vivre justement ce que le livre devait faire, la spiritualisation de son mental !

Donc l'humain n'est pas à l'abri des mots tant qu'il n'a pas lui-même été capable, et ça dans sa fusion mentale, de détruire les mots qu'il utilise pour la conversion de son énergie.

 C'est pourquoi je dis souvent dans mes séminaires aux gens, et souvent ils trouvent ça drôle parce que ça semble être une contradiction en terme, je dis : La connaissance c’est une illusion. Quand je dis que la connaissance est une illusion, je ne veux pas dire que la connaissance ne vaut pas la peine, je dis que la connaissance c’est une illusion et que la seule chose qui est réelle chez l'humain, c’est le savoir.

Ils me disent : Quelle est la différence entre la connaissance et le savoir ?

Je dis : La connaissance, c'est un aspect de la réalité que nous voulons comprendre à travers le mental, donc en utilisant des mots. Alors que le savoir fait partie de la réalité imprimée dans la conscience humaine à travers la parole ou à travers l'action créative ou à travers le dialogue télépathique avec les circuits universels, comme l’humain peut le faire, ou comme l’humain pourra le faire demain.

Donc dans le réel du savoir, il n'y a pas de valeurs, alors que dans la connaissance il y a des valeurs, la connaissance elle est fourrée de valeurs, donc elle fourre tout le monde. Alors que dans le savoir il n'y a pas de valeurs, il y a simplement une capacité générative mentale extrêmement puissante qui permet à l'humain de constamment défaire ce qui a été fait, afin de quoi ? Afin d’enlever à l’involution le pouvoir qu'elle a eu sur l’humanité, autrement dit, afin d'enlever à l'involution le pouvoir d’empêcher l'humain d’en arriver un jour à son identité. Mais à partir du moment où l’humain est dans son identité et qu'il parle avec un humain qui est dans son identité, ces deux humains-là ne vivront plus dans leur communication interne la valeur psychologique de la connaissance, ils vont vivre quoi ? Ils vont vivre la capacité créative d'explorer à l'infinité le pouvoir mental.

François Payotte : Bon alors, dans le cas d'un livre comme La Cosmogonie d’Urantia, comment expliquez-vous le fait que les deux tiers du volume sont à caractère quasiment scientifique, et qu'on finit avec un tiers du volume totalement spirituel où on voit la vie du Nazaréen, jour après jour, minute après minute ? Est-ce que ça a été une volonté de l'auteur, justement de respecter un certain tabou qui persiste encore dans la société, pour mieux faire passer son livre ? C'est quoi cette fin-là ? Parce que ça n'a pas de rapport avec la substance même du livre, le dernier tiers, la vie du Nazaréen, minute par minute quasiment ?

Bernard de Montréal : Bon, le livre est adressé aux populations Occidentales, les populations occidentales s'identifient sur le plan religieux à un grand initié qu'on appelle le Nazaréen, donc le livre est obligé de donner de l'information sur la vie du Nazaréen, donc il est obligé de créer un état psycho-spirituel pour faire une connexion ensuite avec un matériel scientifique. Parce que si le livre était simplement scientifique, si on parlait des galaxies, des super-univers et ainsi de suite et qu'on ne faisait pas référence à l'expérience du Nazaréen, à ce moment-là, ce livre aurait pu être écrit par n’importe qui, il aurait pu être écrit par des scientologistes, il aurait pu être écrit par un récepteur quelconque dans le monde et il n'y aurait pas eu de valeurs spirituelles rattachées au livre. Ils ont voulu que le livre spiritualise l'humanité, mais à un niveau différent de ce que nous avons connu au cours de l'involution, à un niveau qui permet à l'humain finalement de sortir de la spiritualité purement niaiseuse en involution, pour entrer dans la spiritualité...heu…heu…. Il faut que je l’écrive le terme, donnez-moi un crayon.

…pour entrer dans la spiritualité nouvelle mais non découverte de l'évolution, autrement dit, au cours de l'évolution, si nous prenons en considération beaucoup de facteurs, le contact entre l'humain et d'autres civilisations, la réalisation sur la Terre que des humains auront des pouvoirs occultes qui feront de ces êtres des magiciens extraordinaires, des humains qui travailleront en science, mais à des niveaux qui ne font pas même partie des rêves de la communauté scientifique, autrement dit, nous parlons d’une nouvelle civilisation, d'une seconde fondation de l'humain, à partir de ce moment-là il y aura des êtres sur la Terre aujourd'hui, qui vivront une régénération spirituelle, qui vivront ce que l'on peut appeler l’ésotérisation de la religion donc « La Cosmogonie » (d’Urantia), ce livre fameux, effectivement ésotérise la religion, autrement dit il donne à la religion, à la fois un point d'appui dans l'expérience du Nazaréen, donc ça calme tout le monde, on sait que si on parle du Nazaréen ça ne fait pas partie des forces noires, et dans un autre contexte, on lance l'esprit de l'humain dans une recherche galactique où le pauvre mental humain qui pense est absolument écrasé par la surcharge quantitative des concepts.

Alors imaginez-vous que quelqu'un qui est spirituel, qui va à l'église tous les dimanches et qui lit “La Cosmogonie d’Urantia”, il ne va pas vivre cette expérience d'une façon facile. Parce que d'abord, il va être confirmé dans la valeur du Nazaréen en tant qu’initié, et cette confirmation elle va être en plus renforcie par toute une dialectique, tout un mouvement, un enchaînement cosmopolitique auquel il est rattaché ou duquel il provient. Donc automatiquement le bonhomme qui, aujourd’hui, va à l'église, demain dans un autre temps, il va aller où ? Il va aller dans des cercles fermés discuter avec des individus qui ont, non pas nécessairement le courage de supporter des thèses absolument abominables sur le plan quantitatif, mais des thèses qui sont rigoureusement nouvelles. Mais quelque part dans le temps, il y aura d'autres humains qui auront dépassé le stade de La Cosmogonie (d’Urantia), autrement dit qui ont dépassé le stage de la valeur formelle du mot, de la capacité du mot d’imprimer dans le mental, sur le plan psychologique ou sur le plan psychique, une valeur quelconque et c'est là, que moi en tout cas personnellement, je me situe, il y a certainement d'autres personnes qui vivent la même expérience. Quelque part dans le temps, l'humain sera obligé de posséder ou de vivre la capacité mentale, pour se déraciner complètement de la valeur psychologique du sacré, parce que même dans La Cosmogonie d’Urantia, il y a un sacré, le sacré qu'on le considère comme une entité alephique, qu'on considère le sacré comme ces super dadas qui contrôlent le cosmos avec des petits lignes, des petits films, le sacré ne peut pas sur le plan de la conscience mentale morontielle, dont ils utilisent le terme, le sacré ne peut pas faire partie de la conscience mentale de l’humain en fusion.

Et le plus drôle, c'est que ce sont ces êtres-là qui ont écrit ces livres qui ont parlé de la fusion, aujourd'hui je l'explique, mais ils ont parlé de la fusion, ils ont parlé du temps où viendra la fusion ainsi de suite. Mais à partir du moment où l'humain vit la fusion, à partir du moment où l'humain connaîtra la fusion, il ne pourra plus supporter la valeur psychologique et psychique des mots. Pourquoi ?

Parce qu’il sera obligé de créer dans son mental, non pas une valeur de connaissance, mais une capacité simplement d'intégrer l'énergie ! L’humain nouveau, l’humain cosmique, appelez-le comme vous voulez, l'humain de l'an 2000-2040-3000, l'humain sera un être qui aura la capacité d'intégrer son énergie, c’est-à-dire au lieu de vivre son énergie par réflection, soit émotive ou mentale, il l’intégrera cette énergie. C'est-à-dire qu’il la fera descendre jusque dans sa matière. Pourquoi ? Parce qu'il aura fait éclater la valeur psychologique des mots qui circonscrit l’énergie.

François Payotte : Ça veut dire que tant qu'on n'est pas capable d'expliquer mot à mot La Cosmogonie d’Urantia, on se fait englober.

Bernard de Montréal : On se fait englober, on se fait englober pour des raisons cosmiques, évolutives suprareligieuses, ça va très loin, on ne se fait pas englober parce que ces gens-là veulent nous englober, parce que les gens qui médiumnisent la Cosmogonie (d’Urantia) sont des gens englobés !

Autrement dit, il y a un domaine dans la vie mentale de l'humain qui sera connu de l'humain nouveau, il y a un domaine où les mots n'ont plus de valeur ! donc que nous essayons de comprendre les aspects infinis du cosmique, l'île du paradis, babababa bababa... ça donne quoi, quant à la fin de semaine il faut que tu te payes ton steak ? Voilà.

François Payotte : Mais vous-même, quand votre livre va sortir, est-ce qu'il va falloir que quelqu'un l'explique à son tour ?

Bernard de Montréal : Le livre que j'écris, je l'écris parce que je sais qu'il y a des gens qui vont le comprendre, surtout les gens que je connais, les gens à qui j'ai donné des séminaires pendant des années. Bon, le livre pour ces gens-là, il va être très facile, autrement dit, il va leur permettre de réaliser que la compréhension du volume est instantanée. Évidemment, le livre va aller à l'extérieur, donc il y a des gens qui vont le lire mais qui vont faire la même chose que l'on fait avec La Cosmogonie(d’Urantia), même si le livre est différent, ils vont essayer de comprendre d’une façon psychologique le matériel que je mets. La raison pour laquelle j’écris le livre, c'est parce que je considère fondamental pour l'humain qui vient, de comprendre les lois qui menacent l'humanité entière aujourd'hui. C'est ce que j'appelle les lois de l'astral, j'emploie des termes qui sont suffisamment connus, qui sont suffisamment malléables pour ne pas rentrer dans une cosmogénèse, si je commençais à expliquer l'astral à la cosmogénèse, à ce moment-là, j’occultifirais tellement le matériel que je ferais encore la même chose. Je ne veux pas faire ça. Donc j'écris un livre qui est réellement simple, j'en suis presque fatigué de l'écrire tant il est simple. Un humain qui ne comprend pas le livre, il n’y a pas de terme compliqué dans le livre, le livre en est niaiseux. Mais il a une profondeur très vaste dans ce sens que les concepts que j'essaie d’utiliser pour expliquer quelque chose qui fait partie de la dynamique mécanique de la conscience humaine, de l'inconscience humaine, il est là le but du livre.

Ensuite, je vais définitivement continuer à écrire, je fais un livre sur le phénomène de l'aliénation mentale et la possession des entités. Si je suis obligé de le faire ! Je suis obligé de le faire parce que, comme je comprends comment ça fonctionne l’aliénation mentale dans le cas où ce n'est pas le cerveau matériel qui est affecté, à ce moment-là je suis obligé de dire : Bon écoute bonhomme, si tu es con ou si tu es cave ou si tu es complètement malade dans la bosse, c'est parce qu'il y a quelque part en toi, des forces psychiques que plus tard dans d'autres livres, on pourra expliquer d'une façon beaucoup plus rigoureuse mais qui interfèrent avec ta radio.

François Payotte : La maladie mentale, c’est un autre sujet tabou ça.

Bernard de Montréal : Ben oui c'est un autre sujet tabou, c'est un autre sujet tabou parce qu'on ne peut pas la regarder de front, on ne veut pas, on lance des concepts dans la science, on dit : Ah ben le bonhomme il hallucine ! le bonhomme il entend des voix, c’est hallucinatoire, la preuve c’est qu’on peut lui donner une pilule et ça coupe ! C'est évident, c’est une radio ! donnez un coup de marteau dans une radio, vous n'entendrez plus la voix !

Bon à ce moment-là, avec le temps, on découvrira que ce que nous appelons aujourd’hui, pour encore ce que nous appelons des raisons de convention, ce que nous appelons aujourd’hui l’esprit, autrement dit un niveau où un autre d'intelligenciation de l'énergie sous une forme, possède des pouvoirs extraordinaires sur la matière, ou à travers la matière, au travers toute la structure psychique de l'humain et l'humain un jour, il va être obligé de devenir face à face avec ceci.

Quand l’humain va venir face à face avec l'autre côté de la médaille, le côté non mécaniste de la médaille, à ce moment-là l’humain va réaliser qu'effectivement, le réel est beaucoup plus près de lui et aussi qu’a l’intérieur du réel, il y a des facettes de la réalité qui doivent être amenées sous son contrôle, s'il veut sur le plan matériel vivre une vie normale, une vie réelle, s’il veut être parfaitement bien dans sa peau et être capable ensuite d’intégrer de plus en  plus d'énergie,  de plus en  plus d’énergie pour qu’un jour il puisse commander à la matière et faire ce  que l’humain doit faire c'est-à-dire réunir en lui-même la polarité cosmique et planétaire, manifester ce qui convient parfaitement à ses besoins sur le plan matériel, et réunir en lui-même la totalité de ses possibilités évolutives au cours des âges et des âges et des âges, qui sont contenues dans le lien expérientiel entre le double ou entre ce que La Cosmogonie (d’Urantia) appelle l'ajusteur de pensée, donc nous avons besoin d'explorer les mystères, nous avons besoin de comprendre l’infinité, nous avons besoin de comprendre l'absolu, nous avons besoin de comprendre les mots que nous avons utilisés pendant l'involution et qui ont créé dans notre mental des conditions superbes pour que nous vivions les tabous ! afin de faire éclater le tabou, mais non pas d'une façon psychologique, parce que faire éclater le tabou d'une façon psychologie ce n'est pas suffisant, nous l'avons fait au 20 ième siècle, aujourd’hui nous sommes rendus quasiment une race de putains ! donc nous avons besoin de faire éclater les tabous, pour finalement découvrir le visage de l'énergie à travers la forme, donc à travers le réel que nous pouvons supporter.

Il y a des humains qui ont une très grande capacité mentale de supporter le contact avec l’invisible, il y des humains qui sont capables de vivre leur relation avec l’invisible comme nous nous vivons la relation avec la matière, mais l'humain au cours de l'évolution, sera amené dans cette nouvelle définition de lui- même, parce que l'invisible c'est une illusion ! L’invisible c’est simplement des mondes en parallèle sur une autre longueur d'onde qui pour nous sont aujourd'hui invisibles, parce que nous n’avons pas les corps pour les voir, mais l'humain développera ces corps subtils et lorsque l'humain rentrera en contact avec des mondes, des univers d’autres temps, des intelligences, des civilisations qui évoluent en parallèle et qui ont la capacité d'intercepter, d’interpénétrer notre monde matériel, et évidemment la science va changer et aussi évidemment le mental de l'humain va changer, le psychisme de l'humain va changer donc la fameuse attraction psychologique de la religion pour le mystère n'existera plus ! À partir du moment où l'humain ne sera plus violé dans sa…  Je ne dis pas dans son droit, je dis dans sa capacité de savoir, parce qu’il est brimé par le besoin de la connaissance involutive, à ce moment-là, l'humain deviendra totalement libre, l'énergie entrera en lui et il se fusionnera à sa source, et l'humain deviendra un être totalement différent de ce qu'il est aujourd'hui, de ce qu’il a été pendant l’involution, donc ce sera une nouvelle  civilisation,  un second empire et ça mènera à l'établissement sur la Terre d’un empire humain, c'est-à-dire de la capacité d’une race planétaire d'intercepter à volonté tous les courants d'énergie tellurique, éthérique, qui existent dans le cosmos, et qui servent à la garder dans la soumission d'une volonté précaire, donc dans la soumission d’une volonté qui est ajustée à une forme de religion ou ajustée à une métaphysique, ou ajustée à une forme d’occultisme, ou à une forme d’ésotérisme. L'humain un jour doit les contrôler ces courants d'énergie, et ces courants d'énergie font partie de la totalité des masses gazeuses du mental supérieur, et l’humain sera obligé d’intervenir un jour dans sa propre évolution. Mais ! il va le faire lorsque lui, en tant qu'individu, aura assumé sa capacité d'intégrer sa propre énergie. S'il laisse une partie de son énergie ou une partie de son esprit manipulé par des formes de tabou, manipulé par des formes psychosociales, manipulé par des formes religieuses, manipulé par des formes métaphysique, manipulé par des formes ésotériques, à ce moment-là qu'est-ce qui lui reste lui ? On pense pour lui ?

On nous dit que le Nazaréen il vient de telle place, qu'il y a telle chose, qu’il y a l'univers du paradis, qu'il y a le paradis central, mais qu’est-ce que c'est le paradis central ! On nous dit que la fusion c’est ceci, que la fusion c’est cela, que l'âme c'est ceci, que l’âme c’est cela. C'est à l'humain de dicter qu'est-ce que c’est l’âme !

Donc un jour, l'humain sur le plan individuel, universel,  lorsqu’il a totalement dépassé le besoin de se confier à la valeur de la forme, il pourra prendre un livre comme La Cosmogonie( Urantia) ou d'autres grands livres qui existent, et le regarder ce livre, et s’il a la vibration pour aller plus loin, il ira plus loin, mais il ira plus loin en fonction de sa capacité créative d'intervenir dans la soumission que les mots dans le monde, exercent sur le mental de l'involution. Donc il dira : Bon ben pour moi, le livre il a une finalité parce que je peux le vivre où je peux en faire éclater les formes pour mon propre plaisir personnel ! qui fait partie de la fusion de l'humain. Mais pour l'humanité, le livre a une importance, l’autre livre a une importance, donc l’humain sera capable de dire : Bon ben toi, tel bonhomme, si tu lis ceci, c’est très bien pour toi, ou toi c'est très bien pour toi. Mais pour lui, l'humain ne pourra pas lire, il ne voudra pas lire, parce que lire veut dire quoi ? Lire veut dire s’assujettir à une pensée qui n'est pas le produit de notre propre création !  Donc lire, si nous le regardons d'un point de vue purement cosmique, purement évolutif, purement intégral, lire c'est toujours dangereux.

La seule chose qui peut défaire un mot, c'est la parole.

Tandis qu’un livre va fixer la forme et les humains n'ont pas la puissance mentale de la faire sauter pour leur propre niveau.

Si vous, vous lisez un livre, vous allez faire pénétrer votre propre lumière dans la forme au niveau où vous êtes capable de le faire, moi je vais faire la même chose, une autre personne va faire la même chose, donc éternellement parlant, l'humain est face à sa propre individualité, à long terme. Donc c'est la même chose pour l'humanité, c'est pourquoi les livres pour moi sont essentiels, parce qu'ils font partie du besoin de l'humanité de se rapprocher de certaines formes extrêmement célestes de la pensée, extrêmement avancées du mental, mais l’humain ne va pas plus loin que ça, l'humain va dans la conscience supramentale, autrement dit dans la conscience qui n’est plus affligée par le besoin de la réflection.

Et tant que l'humain sera obligé de réfléchir sur des mots pour avoir de la connaissance afin d'en arriver au savoir, il sera obligé de subir la présence de ces œuvres dans le monde et il vivra de plus en plus près d'une forme spirituelle du sacré, mais un jour il sera obligé de la faire éclater, pas le choix. Pas de choix !

Moi, dans mon initiation solaire je l’ai vécue cette terrible polarité entre le bien et le mal, le cosmique, le planétaire, les forces lucifériennes, les forces archangéliques, tout, tout, tout leur bordel de l’involution !

François Payotte : Ce sont d’autres tabous.

Bernard de Montréal : ah ben oui, ce sont d’autres tabous, mais quand vous vivez une initiation, quand vous vivez un début de fusion, ainsi de suite, et que vous ne savez pas ce qui s'abat sur votre tête, et que vous n'avez rien demandé à personne, ce n'est pas comme faire de la recherche et un jour se frapper le nez devant le monastère, c'est lorsque le monastère vous tombe tout droit sur la tête ! À ce moment-là, ça prend des années pour en arriver à réellement comprendre le jeu, et à réaliser que les mots n'ont simplement de valeur, que de faire vibrer dans le mental une forme pour permettre à l'humain d'ajuster son mental et d'ajuster son émotion à une plus grande tyrannie de l'infini.

Lorsque l’humain sera capable de vivre la tyrannie de l'infini, lorsque l'humain sera libre dans l’infini, lorsque l’humain sera capable de regarder dans le nord, dans le sud, dans l’est et dans l'ouest de l'univers, selon son expérience qu'elle soit sur le plan matériel, qu’elle soit sur le plan éthérique, qu’elle soit sur le plan astral, qu’il sera capable de déchirer les voiles qui constituent dans l'essence même de son esprit en fusion, les limites spatiales de son mental futur, l'humain n'aura plus besoin de lire.

L'humain n'aura plus besoin de faire référence à la mémoire de l'humanité, l'humain n’aura même plus besoin de faire référence à des mémoires des races qui ont fait partie des humanités antérieures, l'humain sera totalement libre et La Cosmogonie (Urantia) l’explique d’une façon extrêmement sensible ceci, lorsqu’elle dit que l'humain demain, l'humain en fusion demain, sera un avec sa contrepartie cosmique. Ils ne l'expliquent pas comme ça, mais c’est ça que ça veut dire, il sera un, on ne pourra pas faire de différenciation entre l'ajusteur de pensée, le mortel … le mortel sera immortel, ainsi de suite, donc il donne réellement une grande perspective à l'humain, mais cette perspective qu'il donne à l'humain, elle doit être manifestée, réalisée sur la Terre, à partir de la matière, elle ne peut pas simplement être réalisée dans les mondes spirituels, occultes, ésotériques d’un mental qui a besoin d'une  confirmation infinie pour avoir une appréciation de sa petite grandeur, c’est ça la différence.

 Donc éventuellement, avec l'évolution de la conscience sur la Terre, la fusion, l'humain verra qu'effectivement, il y a un processus d'engendrement d’une nouvelle conscience qui constitue pour l'humanité future, la seule voie d'accès à sa propre infinité, qu'on appelle cette infinité Orvonton, qu'on appelle cette infinité Divinington, d’ailleurs il s'agit simplement de voir les concepts pour voir réellement qu’ils sont obligés, les forces, d'utiliser des concepts comme ça, parce que nous sommes reliés à des langues d'origine grecque et latine. Une personne qui est moindrement objective à la nature de ce que pourrait s'appeler par exemple l’île du paradis, c’est évident que ce n'est pas nécessairement un mot qui va sortir des racines grecques et latines que nous avons. Voyons ! Nous avons besoin d'un nouveau vocabulaire, mais nous ne pouvons pas avoir accès à ce vocabulaire parce que nous n'avons pas le cerveau éthérique, nous avons un cerveau matériel, donc nous n'avons pas un cerveau éthérique, donc nous ne sommes pas capables de créer des mots qui constituent sur le plan universel une communication intégrale avec les mondes qui font partie des univers parallèles, donc nous ne sommes pas capables de comprendre des mots qui n’ont aucune signification. Pour nous les mots doivent avoir une signification, donc on parle d’Orvonton, on parle de Divinington, mais qu'est-ce que ça vient foutre ça ? Divinington ? dans la valeur psychique et psychologique d’un ego qui s'en va vers une fusion ? Ça ne foute absolument rien sur le plan psychologique, ésotérique, spirituel d’un humain qui est encore en voie de recherche, évidemment ça foute quelque chose, parce que ça lui dit qu'au moins dans ce centre, dans ce monde qu'on appelle Divinington, il y a le mot divin, déjà on nous emmerde ! ainsi de suite ! Donc tous les livres dans le monde nous emmerdent, mais ils nous emmerdent pour des bonnes raisons

Donc il ne s'agit pas pour l’humain, de dire : Ah ben le livre il m’emmerde ! Il s'agit pour l’humain de réaliser que les livres sont faits pour donner à des humains, au cours de l'involution, le privilège d'augmenter le taux vibratoire de leur mental pour en arriver finalement à une plus grande conscience spirituelle, ésotérique, occulte, pour en arriver un jour à être obligé de débarquer du Titanic.

François Payotte : C'est comme si c'était un test où on peut prendre une mesure de soi-même.

Bernard de Montréal : C’est un test, c'est une mesure de soi, mais le test vient lorsqu’on a mesure de soi, mais avant ça ils deviennent des outils, ce sont des outils, donc ces livres qui viennent des médiums Orientaux, qui viennent des médiums Occidentaux, ce sont des livres merveilleux, mais moi quand j'ai vu La Cosmogonie d’Urantia il y a plusieurs années en 69, juste un peu avant ma fusion, moi qui ne connaissais absolument rien de l'ésotérisme, j'étais totalement un technocrate des conserves, j'étais un intellectuel comme tout le monde et que par hasard quelqu’un me confie et me dit : Lis ce livre.  Vous savez comment j’ai réagi ?

J’ai eu peur, pas pour moi, pour les autres.

(François Payotte émet un rire)

Ça, c'est pour démontrer jusqu'à quel point j'ai réalisé la puissance du livre, et ensuite j’ai des gens qui disent : Ah ben moi je veux lire ce livre-là, je veux passer... je vais lire ça en fin de semaine ! Vous imaginez un type qui lit ça en fin de semaine ?

François Payotte : Je me souviens de l'époque où il y a eu...

Bernard de Montréal : Moi je regarde deux, trois lignes, je vibre pour la semaine.

(Rires du public).

François Payotte : Je me souviens de l’époque où il y a eu des experts en Cosmogonie d’Urantia, qui venaient vous consulter ou vous tester, etc. Et à cette époque-là, vous remplissiez les casiers vides qu’il y avait dans cette cosmogonie-là, qui était un peu comme un gruyère.

Bernard de Montréal : J'étais obligé de le faire pour leur faire réaliser qu'il y a au-delà de La Cosmogonie, au-delà de n’importe quel livre, au-delà de n’importe quelle énergie rendue dans une forme, un esprit parfait dans le mental pour que ces gens-là ne puissent pas être indéfiniment assujettis à une œuvre qui a une très grande importance pour l'humanité. Donc, c’était pour amener les gens à aller plus loin dans la découverte d’eux- mêmes, sinon ils auraient été... Comment veux-tu qu'un type, un pauvre type, parce que pour moi les humains sont des pauvres types face à l’idée d’eux-mêmes, comment veux-tu qu’un pauvre type qui s’imbibe de cette gazoline ne prenne pas feu ? C’est impossible ! Le livre il est too much ! alors si le livre est too much, l’humain, il est tous les autres. Quand l’humain deviendra too much, le livre deviendra tous les autres. C'est comme ça.

François Payotte : C'est toute l'altitude, la perspective qui donne le vertige à l’humain ?

Bernard de Montréal : Mais oui, mais oui, et c'est ça, ce sont des outils qui sont lancés à travers des humains, de grands humains... j’essaie, j’essaie, moi je parle tout le temps vous savez, donc je découvre tout le temps des choses, et j'essaie au cours des années de corriger par la parole parce que c'est la seule façon pour le moment de le faire, de corriger par la parole les abus de confiance que les humains ont face au sacré.

Je le fais en relation avec des humains qui s'acheminent, qui sont prêts à passer d’une étape à une autre, je ne le fais pas avec des humains qui ont besoin encore du sacré, je ne le ferais pas par exemple avec ma mère, ou des gens que je connais, mais avec des gens qui sollicitent une relation avec moi à un niveau ou à un autre, je le fais. Pourquoi ?

Parce que je sais que le sacré c'est la façon cosmique à l'intelligence, à l'énergie, de garder l'humain dans des vapeurs jusqu'à tant qu'il en arrive, au cours de l'évolution, à s'en sortir. Les vapeurs sont essentielles parce qu’elles permettent à l'humain de créer une civilisation matérielle.

Si nous avions sur la Terre à créer une civilisation éthérique, il n'y aurait pas de sacré. Chez les êtres qui ont la capacité de passer d’un infini à un autre, qui ont la capacité de passer du plan matériel au plan éthérique, de passer de la Terre et d'entrer en quelques minutes dans une autre planète, à des distances monstres, ces êtres-là ont dépassé le sacré, ce sont des scientistes de la lumière, mais l'humain lui est en train de construire une civilisation donc il a besoin du sacré.

Donc un humain qui est dans ces choses, ou dans cette expérience doit être extrêmement objectif. S’il est objectif, il laisse la part de sacré à l'humanité.

Et s’il est objectif, il va prendre une partie de la conscience qui est capable d’évaluer ou de regarder le sacré, et il va le donner à des gens qui sollicitent une relation avec lui, c'est comme ça qu'au cours de l'évolution, la science du mental, la science créative que l'humain va manifester sur le plan matériel devrait passer dans le monde. Elle ne devrait pas passer dans le monde d'une façon mondiale, d'une façon... sinon elle va faire de l'église, elle va faire de la communauté, elle va faire du sectarisme, elle va faire quelque chose, donc il y aura certainement à un certain moment, des contacts entre des humains très conscients et des humains en voie d'évolution qui sont prêts à passer à un autre stade de performance au niveau psychique et il y aura effectivement de la communication entre ces êtres, mais cette information-là ne pourra pas être écrite.

Donc il y a des choses qui s'écrivent et il y a des choses, c’est-à-dire qu'il y aura, parce qu'elles ne sont pas arrivées ces choses encore, il y aura des choses qui ne s’écriront pas.

Il y a des choses qui s’écrivent, il y a des choses qui ne s’écriront pas

Il y a des choses qui se parlent, il y a des choses qui s'écrivent.

Moi des fois, comme je manifestais tout à l’heure, si je veux toucher à quelque chose, il faut que je l’écrive, si je le vis dans le mental, la vibration n'est plus la même que si je le mets sur le papier et souvent, quand je traite avec des aspects extrêmement, extrêmement suprarationnels du réel, je suis obligé de faire ceci. Pourquoi ? Pour enlever à l'humain l'impression, la chance de faire de moi un personnage, donc je dis : Ah ! Ce n’est pas moi, regarde ! ce n’est pas moi qui suis intelligent, regarde, ça fait partie du processus médiumnique, cosmique de l'humain ! Sinon l’humain fait de toi un personnage. Donc il va encore contre le processus évolutif, et pour moi autant c'est fatigant d’être obligé de faire ça, parce que je ne fais pas grand-chose, je fais simplement des lignes, alors je fais ça, mais au moins je me désengage de la forme que l'individu ou l'humain peut faire de ma personne. Et éventuellement, il y aura des choses qui ne pourront pas être écrites. Pourquoi ?

Parce que ces choses n'auront aucune valeur pour le mental inférieur, elles n'auront aucune valeur, elles seront totalement vibratoires, c'est là que le savoir devient intéressant, c'est là que le savoir pénètre, c’est là que le savoir fait quelque chose dans l'humain et qu'il déloge la mémoire de l'humanité.

Mais pour que l’humain vive de cette vibration, il faut qu'il ait acquis la réalisation qu'au-delà des formes, au-delà du sacré, au-delà du tabou, commence l’infinité du mental, parce que si nous parlons d’un Dieu, si nous parlons d'un absolu, si nous parlons d’un sacré qui est tabou, nous finitisons notre relation avec un absolu que nous, en tant qu'humain, nous nous donnons pour préserver notre civilisation. Mais l'humain n'a pas à préserver sa civilisation, je parle de l’humain cosmique, l'humain a à créer de nouvelles civilisations et pour créer de nouvelles civilisations, il faut qu'il réinvente l'infinité.

Et l’humain apprendra à réinventer l’infnité, donc lorsqu'il regardera dans le spectrum de la mémoire, lorsqu'il regardera toutes les formes pensées venant de l’Orient, du Moyen-Orient, de l'Europe, de l'Amérique, d'Amérique du Sud, il fera éclater ces formes-pensées, et il commencera finalement à mettre le doigt sur ce que veut dire l'infinité du mental et c’est là qu'il y aura sur la Terre une science cosmique du mental ! Une science cosmique qui fera tellement de changements dans la conscience de l'humain individualisé, ou qui va vers l'individualisation, que ces humains naturellement se sépareront de la cinquième race-racine, simplement par vibration. Ils ne se sépareront pas de la cinquième race-racine parce qu'ils auront opté un jour de ne plus faire partie de l’humanité ! On ne décide pas un jour ou l'autre qu’on ne fait plus partie de l’humanité, ce n’est pas l’affaire de boire un coke (coca) et de changer de planète, c'est l’affaire de changer de vibration et de changer de coke !

François Payotte : C’est intéressant de parler du racisme justement aujourd'hui, on s'aperçoit qu'il est latent chez tout le monde ?

Bernard de Montréal : C’est très intéressant le racisme, qu'est-ce que c'est le racisme si on le regarde d'un point de vue cosmique ? Le racisme c’est l’incapacité à l'humain de vivre de ses convictions profondes qu’il est universel.

François Payotte : Une bonne définition. Oui.

Bernard de Montréal : Elle est au boutte celle-là, elle est nouvelle. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que l'humain, au lieu de parler du racisme comme les philosophes et les sociologues le font, il en parle d’une façon différente mais qui revient à une chose différente, parce que c’est plate (ennuyeux) de toujours remuer les mêmes théories. L'humain n'est pas capable, l'humain involutif n'est pas capable psychiquement, aujourd'hui, de vivre vibratoirement son universalité, il n'est pas capable ! Parce que si l'humain vivait son universalité, il serait obligé de faire éclater en lui la particularité régionale de son expérience de conscience planétaire.

François Payotte : Autant au niveau national que religieux ?

Bernard de Montréal : Ben oui, le racisme il n'existe pas seulement sur le plan des couleurs, il y a un autre racisme qui existe, il y a le racisme religieux, la guerre froide entre les juifs et les chrétiens, la guerre chaude entre les mahométans et les juifs ! Le racisme, on l’applique simplement au niveau de la race parce que le terme, génériquement, vient de cette composition de mauvais intérêt.

Mais dans le fond, l'humain est raciste a beaucoup de niveaux ! Nous sommes des racistes, c'est pour ça que nous n'avons pas d'empire humain parce que nous sommes des racistes, nous n'avons pas d'empire humain sur le plan politique, nous n'avons pas d’empire humain sur le plan économique, n'avons pas d’empire humain sur le plan sociologique, nous n’avons pas d’empire humain sur le plan de l’esthétique.

Nous n’avons pas d’empire humain sur le plan de la science, nous n’avons pas d’empire humain, et tant que nous n’aurons pas d’empire humain, nous serons des racistes. Tous les humains de la Terre sont techniquement racistes.

François Payotte : Il y a un racisme de la pensée.

Bernard de Montréal : C’est un racisme de la pensée, c'est très juste ce que vous dites, c’est un racisme de la pensée qui fait partie de l’incapacité de l'humain d'incorporer son universalité à tous les niveaux. Si l’humain pouvait incorporer son université à tous les niveaux, il ne connaîtrait pas ça, le racisme, même le concept ne pourrait pas sortir de sa bouche, il ne pourrait pas le vivre !

Moi naturellement, je ne peux pas vous parler de choses qui ne peuvent pas être écrites, moi j'aimerais ça un jour écrire un livre sur le racisme planétaire, sur les lois du racisme de notre planète, ce serait extraordinaire, expliquer qu’est-ce que c'est que du racisme, mais je me fais tuer !

François Payotte : Ça ferait d'autres guerres, d'autres particularités ?

Bernard de Montréal : Parce que l'humain n'est pas capable de composer avec une dimension du savoir qui n'est pas permanent dans la conscience égoïque planétaire. C’est comme... il y a toutes sortes de choses que j'aimerais faire, j'aimerais écrire un livre sur la personnalité des nations, qu'est-ce que c'est l'Angleterre au niveau cosmique, qu'est-ce que ça représente en tant qu’entité collective, la France, la France…la Grèce, les États Unis, la Russie, l'Australie, le Japon, tout ça, j'aimerais, mais peut-être qu’il va falloir que je sois délicat. Pourquoi ?

Parce que je ne veux pas créer de situation, ce n’est pas mon job de créer des situations, j'en crée assez comme cela. Mon job, c'est de regarder ce qui se passe dans le mental de l'humain, d'évaluer psychiquement sa valeur au niveau historique, au niveau civilisation, et de faire sauter le reste, pour qu’un segment de l'humanité future appartenant à déférentes civilisations, déférentes races, puisse bénéficier finalement d’une capacité intégrale de renverser la valeur psychologique de la forme pour se libérer du sacré et de ses absolus, pour commencer à parvenir finalement, à mettre le doigt sur l'infnité qui permettra finalement à l'humain de parler sans arrêt comme moi. C'est-à-dire d'investiguer sans arrêt ce qui est sans fin. C'est ça la vie, là ça vaut la peine de faire un party ! Alors quand tu fais un party avec quinze gars comme moi, ça dure jusqu'à cinq heures du matin !

Pourquoi ? Parce qu’il y a toujours de l’énergie, il y a toujours quelque chose, il y a toujours quelque chose, il y a toujours quelque chose, la vie devrait être comme ça, sur le plan mental de l'humain.

François Payotte : Et vous pouvez toujours écrire un livre qui ne s'écrit pas ou qui est dangereux à écrire si vous ne le signez pas personnellement, vous mettez dessus : œuvre collective 3000 personnes ?

Bernard de Montréal : Oui évidemment, mais vous savez ce que je fais ? si je veux écrire un livre et que je veux qu’il ne soit pas dangereux, je l'écris, dans ce sens que je mets le matériel sur le papier, mais je le fais réécrire par quelqu'un d’autre, lui le contamine un peu, il est juste correct (Rires du public).

C’est ce qui se passe avec mon premier livre, je l’ai fait, ensuite je le passe à quelqu'un d'autre, qui lui donne une forme... babababa et quand je le regarde, le livre, je dis : Ah c’est bien !......

François Payotte : Il est plaisant !

 Bernard de Montréal :….. Ce n'est plus mon livre, c’est un autre livre, quelqu’un a écrit quelque chose……C'est ça, je suis obligé de faire ça, je suis obligé de changer la vibration des mots. Le type qui s'occupe de mon livre il dit : Vous me donnez la permission de faire ce que je veux avec le livre ?

Je dis : Oui, fais ce que tu veux. Tu ne peux pas le détruire le livre, il y a une limite, tu ne peux pas taponner trop avec les mots parce que je suis un magicien de la parole ! Donc tu peux travailler entre ça et ça, fais ce que tu veux, je regarde ce qu’il fait, c’est merveilleux. Donc je vais regarder le livre, je vais dire : Ah, il y a quelqu’un qui a écrit un livre intéressant ! (Rires du public).

François Payotte : Vous allez le commenter.

Bernard de Montréal : Là je vais le commenter, oui ! (Rires du public).

François Payotte : Ça va faire d’autres belles conférences. On ne peut pas passer à côté des tabous sexuels, bon on parlait des tabous tout à l'heure qui traversent toutes les époques et qui accompagnent toutes les civilisations : tabou sexuel c’en est un ça, peut-être qu'aujourd'hui on s'en rend plus compte qu’auparavant, dans le sens qu'il y a le sida. Donc grâce ou à cause du sida, on comprend la nécessité des tabous tels qu'ils existaient déjà à l'époque de Sodome et Gomorrhe, c'est l'histoire qui se répète aujourd'hui en fin de civilisation. Est-ce que vous avez un commentaire à faire sur les tabous sexuels, sur leur origine, leur nécessité ?

Bernard de Montréal : Leur origine c'est pour empêcher les abus, de nécessité c’est pour empêcher les abus, les tabous sexuels ont été créés à travers la semi-conscience des races, ils ont eu un effet très profond parce qu’au début les tabous sexuels n'étaient pas reliés à la survivance de la société, ils étaient reliés à la colère des dieux si ils étaient enfreints !

C’est intelligent le cosmique, la politique cosmique ! Donc les humains ne voulaient pas enfreindre les tabous parce que les dieux pouvaient se tourner contre le village, donc les tabous sexuels ont fait partie de la mémoire profonde de l'humanité, ils ont été accumulés et maintenus en état de santé pendant des millénaires à cause de l'émotivité extrêmement primitive de l'humain et naturellement à la fin du 20 ième siècle, ils ont commencé à sauter, parce que l'humain a commencé à passer à une autre niveau d’évolution de conscience, une sensibilité interne, mais les tabous sont très nécessaires tant que l'humain ne sera pas conscient.

Regardez, c’est ça qui est arrivé avec le sida. Le sida c'est un backlash (contrecoup) cosmique pour empêcher l'humanité de vivre d'une puissante énergie qu’est la sexualité, d’une façon totalement libertine, c'est normal, sinon ça engendre des problèmes conséquentiels au niveau de l’évolution de la race, au niveau génétique, ainsi de suite.

François Payotte : On aurait dû aussi parler de la mort en tant que tabou, mais je pense que ça demandera une conférence entière.

Bernard de Montréal : On peut en parler tout à l’heure, c’est intéressant la mort, c’est le fun.

 (Rires du public).

François Payotte : Bernard de Montréal, merci infiniment.

Applaudissements du public.

Fin enregistrement

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Hommage à Bernard de Montréal
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