Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Hommage à Bernard de Montréal
20 octobre 2020

la femme, les traditions chap17

Chapitre 17 : La femme et les traditions

Les traditions ont violé l’esprit de la femme et contribué au cours des siècles, à la diminution de sa liberté à un point où elle ne put évoluer au même rythme que l’homme.

Dans les pays les plus paralysés par l’ignorance dissimulée sous la couverture des traditions, des politiques de répressions séculaires, ont inévitablement aboutis à une crise de conscience fondamentale, aujourd’hui mondialement reconnue.

Certaines traditions, ont ratifié les formes les plus grossières, viles et souvent meurtrières de l’ignorance et maintenu la femme dans une condition de subordination, favorisant les religions et leurs régimes politiques. Les chefs religieux ont exercé un pouvoir spirituel excédentaire, en la renfermant dans un cocon sous la surveillance malvenue d’une domination spirituelle.

Les traditions ont servi le statu quo et remis à plus tard la solution de la crise féminine, sous peine d’aliéner les populations mâles qui utilisaient la femme sans trop la protéger des abus qui ont marqué son histoire.

Les traditions ont perpétré un crime contre une partie importante de l’humanité, le sexe féminin étant considéré comme le sexe faible sans défense. Avec la modernité, l’éducation et l’accès à la libre diffusion des idées, la femme se taillera une place convenable dans un monde où souvent elle est oubliée, s’éteindront alors les mémoires d’un temps où elle servait, mais ne pouvait se servir.

Les abus perpétrés contre la femme varient selon les cultures et leurs mœurs, dans des temps où les sociétés étaient des amalgames de souvenirs et de pratiques, démarquant la toile de fonds d’un monde ne s’identifiant guère à la cause de l’inviolabilité de l’être. Les valeurs universelles n’ayant pas encore adouci les mœurs, ces derniers servaient de bailleurs de fonds aux populations masculines qui ne connaissaient d’autre de la femme, que ce qu’ils pouvaient en retirer par la force ou la supercherie. L’homme avait banalisé la femme à un point, où elle ne pouvait rien contre et sans lui.

Les bûchers de l’Inde où s'immolaient ses veuves, témoignent de la cruauté et du degré d’engouement pour une ignorance crasse, dont étaient et sont encore étoffées certaines traditions, démontrant sans équivoque, la grossière injustice des systèmes anciens vénérés par des masses, dont le seul instinct est de contourner la nature, au profit de l’ignorance.

Dans certaines sociétés, la femme est perçue comme dépourvue d’intelligence rationnelle et sujette à des crises protestataires devant être réprimées par la violence, ses sanglots étant l’unique signal de la cessation des hostilités entre elle et son partenaire. Les traditions ont octroyé à l’homme le pouvoir sur elle, et démontré historiquement, que le statut quo équivaut à une conspiration du silence à son égard.

Sur un plan plus universel, la femme est à un tel point désavantagée par rapport à l’homme, que seule une crise et une prise de conscience généralisée mondialement, rétablira un ordre naturel de valeurs.

L’histoire a tellement vicié les relations homme et femme, que la poussée actuelle pour son émancipation dans les pays plus avancés, est un avant-goût des luttes à venir dans les pays sous-développés. L’avenir réserve aux traditions un sévère choc en retour. Il s’appliquera sur le plan individuel par des femmes décidées de ne plus se plier aux exigences effrontées, d’une société refusant toute conciliation volontaire avec son être.

La prise de conscience des femmes du monde, dans le 21 ème siècle, par l’entremise des voies médiatiques, créera une pression irrévocable sur les sociétés et leurs agents, une fois manifestée, cette pression sera permanente et proposera un calendrier de changements qui, avec le temps, éteindra le pouvoir des traditions sur la femme.

Ces transformations profondes des sociétés retardataires permettront de restructurer le monde de la femme à tous les niveaux, et à éteindre la disparité entre elle et son homologue masculin. Les traditions, bien que nécessaires par le passé, deviennent une source de frictions entre les femmes modernes et les pouvoirs de soutien face au statut quo. Le climat de friction obligera les forces gouvernantes et les discours dominants, à modifier leurs positions s’ils veulent bénéficier du support politique de la femme, qu’elle refusera aux agents d’une politique religieuse professant trop de support pour les idéologies de droite.

La femme moderne et les traditions, formeront éventuellement une opposition suffisamment marquée pour que se reconnaisse en société, la mort du passé historique. Les femmes découvriront dans ce processus, une liberté qu’elles mettront à profit sous le scellé de la prudence et de l’inviolabilité.

Une fois la femme libérée de son passé, de ses traditions et de ses souffrances historiques, la société connaîtra un renouveau qui lui permettra d’élargir sa conscience sociale, et d’augmenter les bénéfices sociaux à des populations, qui par le passé, avaient accepté le statut quo, au lieu de résister à une gamme d’injustices qui au cours de siècles étaient devenues la Magna Carta de l’iniquité. Les traditions ont créé dans la conscience des masses, des valeurs sociales dissociées de la réalité de l’être féminin, elles ont voulu faire croire que la femme est irrationnelle et sujette à des crises protestataires devant être réprimées par la violence, ses sanglots étant l’unique signal de la cessation des hostilités, entre elle et son partenaire. Les traditions ont octroyé à l’homme le pouvoir sur elle, et démontré historiquement, que le statut quo équivaut à une conspiration du silence à son égard.

Sur un plan plus universel, la femme est à un tel point, désavantagée par rapport à l’homme, que seule une crise et une prise de conscience généralisée mondialement, rétablira un ordre naturel des valeurs.

L’histoire a tellement vicié les relations entre homme et femme que la poussée actuelle pour son émancipation dans les pays plus engagés, est un avant-goût des luttes à venir dans les pays sous-développés.

L’avenir réserve aux traditions un sévère choc en retour et s’appliquera sur le plan individuel, par des femmes décidées de ne plus se plier aux exigences effrontées d’une société refusant toute conciliation volontaire avec son être.

La prise de conscience des femmes du monde dans le 21ème siècle par l’entremise des voies médiatiques, créera une pression irrévocable,sur les sociétés et leurs agents, une fois manifestée, cette pression sera permanente et proposera un calendrier de changements qui, avec le temps, éteindra le pouvoir des traditions sur la femme.Ces transformations profondes des sociétés retardataires, permettront de restructurer le monde de la femme à tous les niveaux et à éteindre la disparité entre elle et son homologue masculin.

Les traditions, bien que nécessaires par le passé, deviennent une source de frictions entre les femmes modernes et les pouvoirs de soutien face au statut quo. Le climat de friction obligera les forces gouvernantes et les discours dominants, à modifier leurs positions, s’ils veulent bénéficier du support politique de la femme, qu’elle refusera aux agents d’une politique religieuse, professant trop de support pour les idéologies de droite. La femme moderne et les traditions formeront éventuellement une opposition suffisamment marquée, pour que se reconnaisse - en société la mort du passé historique. Les femmes découvriront dans ce processus, une liberté qu’elles mettront à profit sous le sceau de la prudence et de l’inviolabilité.

Une fois la femme libérée de son passé, de ses traditions et de ses souffrances historiques, la société connaîtra un renouveau qui lui permettra d’élargir sa conscience sociale et d’augmenter les bénéfices sociaux, à des populations qui par le passé avait accepté le statut quo au lieu de résister à une gamme d’injustices qui au cours des siècles étaient devenues la Magna Carta de l’iniquité.

Les traditions ont créé dans la conscience des masses, des valeurs sociales dissociées de la réalité de l’être et des principes universels rattachés à sa conscience personnelle. Les forces de libéralisation issues des grandes démocraties, forceront les sociétés à se découvrir, à se mettre à nu, afin de voir jusqu’à quel point les codes de conduite historiquement consentis, le furent avec l’appui de la concupiscence et non de l’intelligence.

Les églises du monde ont une grande responsabilité face au passé, et les repentirs de la plus moderne des églises reflètent une conscience politico-religieuse ne pouvant plus mesmériser les populations averties, de ses abus considérables. Les religions sont les plus grandes dispensatrices de l’injustice contre la femme car elles ont interprété les faits, en ont fait des dogmes et ainsi favorisé l’agrandissement de leur pouvoir de domination, en taxant la femme de devoirs moraux excessifs.

Les traditions sont les masques d’un monde, où l’esprit est particulièrement empoisonné par les passions culturelles adoptées par les pouvoirs, pour la domination et la subordination de la femme, écartant ainsi le monde de sa lumière. C’est dans le cadre traditionnel que les religions ont servi le bien et le mal, la lumière et l’ignorance, en excluant la femme d’un rôle plus immédiat dans l’évolution de la conscience de l’humanité.

La femme est autant, sinon plus avancée en conscience spirituelle que l’homme, de sorte qu’elle représenta de tous temps une menace pour l’évolution stratégique des empires. Son exclusion des grands centres de décisions fut nettement renforcée, afin de permettre aux civilisations de s’étendre par la guerre, jusqu’au jour où la mouvance des peuples fut suffisamment avancée pour que la sienne puisse enfin prendre place dans le dernier des grands défis de l’humanité involutive, la dernière des grandes luttes pour sa liberté. Ce combat, déjà entamé dans les pays les plus progressifs se poursuivra malgré les objections et les attitudes réfractaires et bornées, identifiées dans les enfers antiféministes des derniers pays aveuglés par les confessions.

Une femme avertie en vaut deux, car elle ne peut plus être jouée par des manigances malveillantes à son égard. Elle peut facilement contourner la bête dans l’homme et reprendre le flambeau de sa liberté, la délivrant ainsi d’une préoccupation presque innée, mais imposée par la culture, selon laquelle l’homme est indispensable dans sa vie.

La femme fera éclater les mythes et les dogmes la concernant, au fur et à mesure où elle découvrira sa véritable intelligence. Les traditions qui lui avaient crevé les yeux afin qu’elle ne vît point le monstre qui la dominait, ne seront que mémoire reléguée aux archives de l’ignorance institutionnalisée. Elle enseignera à ses filles et à ses fils, une nouvelle manière de traiter avec l’esprit des autres et s’assurera qu’un sexe n’exerce plus de suprématie sur l’autre, au nom des traditions, des religions, et des idéologies qui ne sont que des caricatures de la réalité.

La femme n’est pas faible parce qu’elle est douée d’une nature délicate, au contraire elle peut être extrêmement combative tant et aussi longtemps que la société à laquelle elle appartient, ne la dépossède pas de son droit fondamental, celui de pouvoir lutter contre tout ce qui contraint son être.Dans la mesure où elle exerce ses droits , elle peut rompre les chaînes qui, historiquement, l’ont forcée à abandonner sa liberté personnelle. La modernité lui permettra de tirer avantage d’un statut social renouvelé, lorsqu’elle aura pleine conscience de ne jamais remettre à risque son autonomie. La femme a le pouvoir de se créer une volonté de puissance pour se dégager des conditions qui violent son indépendance et violentent son être. Par contre, lorsqu’elle perd sa liberté de choisir, elle renoue avec l’impuissance et s’engage imperceptiblement à perdre la lutte pour son agrandissement personnel.

....................................................................................

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Hommage à Bernard de Montréal
  • Bernard de Montréal. psychologie évolutionnaire, psychisme, évolution, satan, lucifer, involution , mensonge cosmique, planète Terre, humanité, extraterrestres, nations, astral, conscience, mental, surmental, supramental, conscience , fin de cycle
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Archives
Pages
Visiteurs
Depuis la création 174 415
Publicité